Parfois l’histoire d’une chute commence par un compliment innocent. Il suffit d’un rencontre pour fissurer des années de silence entre un mari absent et un séducteur trop présent. Dans cette histoire, je me retrouve partagé entre mes désirs et l’image de la femme que je devrais incarner.

 Je m’étais promis de ne jamais tromper mon mari, mais ce soir-là, quelque chose en moi a vacillé. Ce que je croyais tenir sous contrôle a glissé entre mes mains, m’entraînant dans un trouble que je n’avais jamais imaginé. Je ne savais plus si je devais rester dans cette relation ou partir. Peut-être que seul le temps saura me le dire.

 Avant de commencer, dites-moi dans les commentaires d’où vous me regardez. Abonnez-vous à la chaîne pour que nous grandissons vite. Activez la cloche de notification et aimez la vidéo. Surtout restez jusqu’à la fin pour découvrir ma décision à la fin de cette histoire. En tant que femme battante, j’ai appris à tenir ma maison, à diriger une entreprise et à apprivoiser mes silences.

 À 43 ans, je suis une femme toujours belle avec un teint clair et une taille de 1,70. Je m’appelle Roseline. Mon mari, âgé de 52 ans dirige l’entreprise familiale où j’occupe aussi un poste. Un mari respectable, sérieux, mais absorbé par son travail au point d’en oublier le reste. L’écart d’âge entre nous était un peu grand.

 Mais jusque-là, cela n’avait jamais posé de problème. Du moins que jusqu’à ces trois dernières années où j’ai commencé à percevoir chez mon mari une baisse de vigueur comme si la flamme qui animait autrefois nos nuits s’était peu à peu éteintees. Nos activités intimes sont devenues banales et occasionnelles. Le plaisir que je ressentais autrefois a disparu.

 Nos moments d’intimité sont devenus routinières, brèves, sans passion. Juste un devoir accompli par habitude. Avec les années, mes désirs se sont intensifiés comme un feu que rien ne parvient à éteindre. Cette fin silencieuse me rend nerveuse, tendue, presque à fleur de peau. J’y pense souvent, des l’aubes et jusque dans le tumulte du jour.

 Quand j’y pense, j’ai honte de moi et j’essaie d’oublier ce genre de chos. Mais lorsque je vois des hommes d’apparence sauvages et brutes, j’ai tendance à les imaginer, fantasmer sur ce qu’il me ferait, même si dans ma vie, je n’auraiis jamais de relation avec ce genre de personne. J’ai réprimé mes désirs pendant des années, me promettant que peu importe qui se présenterait, je ne faiblirai pas et ne quitterai jamais mon mari.

 Un jour, mon mari a emmené un ami à la maison. Il s’appelle Balac, un homme de 37 ou 38 ans au chômage. Mon mari lui a donc proposé de venir travailler à l’usine comme assistant. Il a 5 ans de moins que moi. J’ai remarqué qu’il me regardait intensément. Il connaissait mon mari depuis longtemps, mais il me rencontrait pour la première fois.

 Il m’a fait toutes sortes de plaisanterie et a souvent joué des yeux lorsque mon mari avait le dos tourné. Je ne me sentais pas à l’aise car il avait l’air peu fiable. Mon mari m’a raconté qu’il était un grand coureur de Jupon. et il a une femme dans chaque province où il va. Il réussit à séduire toutes les femmes qu’il visent, qu’elles soi jeune, âgée, mariée ou non.

 Mon mari a même dit que s’il avait réussi à me séduire, c’était grâce à cet ami qui lui avait enseigné l’art de la drague. J’étais agacé et en colère en entendant parler de son ami avec fierté. J’avais peur et je ne voulais avoir aucune relation avec lui. Mais je devais être sa superviseur car je m’occupais des salaires de tous les employés, y compris lui et de petites tâches lorsque mon mari était absent.

 Il affirma à mon mari qu’il avait de la chance d’avoir une épouse jeune et dévouée. Je lui répondis que je n’étais plus aussi jeune qu’il le croyait, que j’ai 43 ans. Il a répondu que c’est difficile à croire et qu’il me voyait d’en avoir 33. J’ai fait semblant d’être indifférente, mais j’étais secrètement contente car personne ne m’avait jamais dit cela, pas même mon mari.

 Après son départ, je ne pensais plus à lui puisque je l’ai considéré comme tout autre employé. Le lundi suivant, il commença le travail et les weekends, il venait chez nous à la maison. Mais depuis un certain temps, après le travail, il venait à la maison lorsque mon mari n’était pas là. Il me taquinait souvent sans jamais me draguer. Je l’ignorais.

 À chaque fois, il m’appelait grande sœur, ce qui m’énervait. Dans sa manière de faire ses blagues, il semblait avoir trouvé mon point faible, me parlant constamment avec des modou pour se familiariser. Il ne semblait pas craindre que mon mari le surprenne et le renvoie. Peu de temps après son arrivée à l’usine, j’ai appris que deux employés se disputaient à cause de lui, ce qui me bouleversa.

 J’ai dû les convoquer pour régler le problème. Dans l’usine, les employés ne cachaient plus leur rivalité. Toute voulait attirer l’attention de Balac. De plus, l’une d’elles était mariée et voulait quitter son mari pour sortir avec lui. Je ne comprenais pas ce que cet homme avait de si bien. Il n’était pas aussi beau que ça.

 Je ne pensais pas qu’il avait de l’argent car le salaire que je lui versais n’était pas aussi élevé. De plus, des femmes venaient souvent le chercher à l’usine. Je devais être encore plus prudente. Je me suis juré de ne jamais me mêler à lui ou de céder à cet homme. Pourtant, au fond de moi, je me sentais étrange, me demandant ce qui le rendait si spécial pour que les femmes soient si folles de lui.

 Il était l’exact opposé de mon mari. Un soir, mon téléphone sonna. C’était Balac. Je me suis réveillé et j’ai décroché. Mon mari n’était pas à la maison cette nuit-là. Il était en voyage d’affaires avec des clients et devait rentrer le lendemain. De l’autre bout du fil, j’entends “Salut grand sœur Roseline, c’est Balac.

 Tu dors ?” Je lui ai répondu : “Pourquoi tu m’appelles si tard ? Et depuis quand suis-je ta sœur ?” Il rétorqua qu’il pensait à moi et qu’il voulait parler. J’ai lui et répondu : “N’importe quoi. Tu es fou d’appeler si tard ? Si ce n’est pas pour le travail, ne m’appelle plus.” J’ai raccroché mais au fond de moi, je me sentais étrange et j’aurais voulu continuer à parler.

 Je voulais savoir ce qu’il voulait mais je trouvais ça inapproprié. Alors, j’ai décidé de raccrocher. La nuit suivante, il a rappelé vers 23h. Curieuse de savoir ce qu’il voulait, j’ai accepté de parler. Il me posait des questions sur tout et de rien. Il parlait de ma vie passée, de ce que j’aimais ou non.

 Mais ces paroles étaient toujours suggestives, pleines de mots doux et de compliments. Il était très éloquent, l’opposé de mon mari en tôt. Je n’avais jamais rencontré un homme comme ça. Je me sentais dépassé et fragile. Il m’appelait chaque soir, toujours avec cette voix douce et flatteuse. Il disait que j’étais belle, désirable, qu’un homme aurait de la chance de m’avoir.

 Et souvent, il ajoutait sans détour qu’avec une femme comme moi, il ferait l’amour toutes les nuits. Je m’étais dit que s’il parlait de sexe ou devenait plus vulgaire, j’arrêterais immédiatement de lui parler. Mais j’ai découvert qu’il était très subtil. Il parlait de ces sujets sans que je me rende compte qu’il était vulgaire.

 Un soir, dans notre discussion, il me demanda : “Grande sœur Roseline, quel genre de pyjama portez-vous ? Dormez-vous avec un soutiengorge ?” Je lui ai répondu que c’est impoli de poser ce genre de question et que je porte un pyjama normal avec un soutieng gorge. Pourquoi demandez-vous cela alors qu’en réalité je n’en portais pas ? Il répondit avec un ton moqueur et provoquant, insinuant que j’aimais porter des nuisettes et que je devais faire attention à ne pas trop bouger la nuit de peur que mon pyjama ne remonte. Puis avec un sourire que

j’imaginais plein d’arrogance, il ajouta qu’il doutait qu’il y ait grand-chose à voir. De toute façon, une vive colère m’a traversé. Sans hésiter, je lui ai lancé qu’il parlait comme s’il savait déjà ce que je valais. Il a souris avant de dire qu’il ne faisait que plaisanter, que j’avais un corps magnifique et un homme qui ne s’occupe pas de moi n’est pas un homme. J’ai ris malgré moi.

 Puis il ajouta d’une voix tranquille mais chargée de sous-entendu que mon rire lui plaisait, qu’il adorait la façon dont je riais si facilement. J’étais flatté et je lui ai dit “Arrête de me draguer, ça suffit.” Il ria de bon cœur. Je me sentais étrange à l’intérieur. Je n’avais jamais eu ce genre de conversation avec qui que ce soit auparavant.

 Depuis cette nuit, tout a changé entre moi et Balac. Il m’appelait tous les soirs, trouvant toujours quelque chose à me raconter, à me taquiner et à me draguer jusqu’à ce que je devienne accro. Les nuits où il n’appelait pas, j’étais très anxieuse et j’attendais son appel. Pendant la journée, il m’arrivait souvent de penser à lui et à ses paroles.

 Je savais qu’il était un coureur de Jupon, mais à ce moment-là, j’oubliais tout. Récemment, lorsque je lui demandais de raccrocher pour dormir, il me demandait de garder la ligne ouverte et de ne pas raccrocher, même pendant mon sommeil. Je ne comprenais pas pourquoi. Je ne sais pas si c’était sa technique de drage. Au fur et à mesure que les jours passent, nos sujets de conversation devenait de plus en plus profonds.

 Ces paroles étaient plus douces avec des mon amour et des chéries. Je lui disais d’arrêter mais il répondit simplement que c’était normal que les gens qui s’aiment se parlent comme ça. Je sentais que je ne pouvais plus me contrôler. Un soir vers 21h, il m’a appelé. J’étais si heureuse. J’ai décroché.

 Il m’a demandé s’il y avait quelqu’un à la maison. Je lui ai répondu d’un ton ferme. Ne sais-tu pas que mon mari est en voyage d’affaires ? Pourquoi poser une telle question ? Ensuite, il a demandé s’il pouvait venir à la maison. J’ai hésité un moment, craignant qu’il ne se fâche. Alors, j’ai accepté.

 Quand il est arrivé, je me suis senti excité. Je portais une robe de nuit en dentelle. J’ai hésité à un long moment à me changer pour une tenue plus appropriée, mais j’ai pensé que c’était mieux de laisser les choses comme ça. Quand il est entré, il portait des vêtements comme s’il revenait d’un match de football avec une forte odeur de sueur.

 Il portait un short de football très fin. J’ai eu peur en voyant cela. Je ne savais pas s’il l’avait fait exprès. En le voyant, je n’étais pas surprise que les filles soient folles de lui. Il me regardait sans sill. Quand je passais près de lui, il mettait sa main sur mon corps, me touchant subtilement. Après avoir été privé du contact masculin pendant si longtemps, le simple fait qu’il me frôle le corps me rendait mle et faible.

 Quand il retirait sa main, mon corps semblait vouloir le suivre. Au bout d’un moment, il a demandé à prendre une douche. Je lui ai apporté une serviette. Il est entré dans la salle de bain mais n’a pas fermé la porte. Je ne savais pas quoi faire. Il a passé la tête à travers la porte, n’exposant que la moitié de son corps jusqu’au ventre et m’a demandé du savon.

Je suis allé lui en apporter en essayant de regarder ailleurs. Puis je suis retourné m’asseoir sur le canapé pour regarder la télévision. Quelques instants plus tard, il est sorti de la salle de bain. Je pensais qu’il mettrait des vêtements, mais il portait seulement une petite serviette qu’on utilise pour le visage nouée autour de sa taille.

 Son ventre était musclé. J’ai senti une chaleur intense à l’intérieur. Mon corps tremblait étrangement. Il s’est tenu devant moi, parlant normalement comme si de rien n’était. Je bégais, incapable de me souvenir de ce que j’avais dit. Il était vraiment audacieux. Il est venu s’asseoir à côté de moi dans cet état.

Je lui ai dit d’aller s’habiller d’abord, mais il a refusé et s’est assis sur le même canapé, regardant la télévision avec un visage impassible. J’ai dû supporter ça. Assise avec lui, tout tendu, n’osant pas le regarder, il continuait de parler. J’ai jeté un coup d’œil, mais au fond de moi, j’avais très peur.

 Je n’avais jamais été aussi proche d’un autre homme que mon mari dans cet état. Il était assis là, le visage impassible, se rapprochant de moi. Nos corps ont commencé à se toucher. Je me sentais étrange avec une chaleur intense qui montait. Soudain, il a dit “Tu veux regarder ?” Regarde, ne te cache pas. Au bout d’un moment, il a passé son bras autour de moi.

 J’ai repoussé sa main, lui demandant ce qu’il faisait. Il n’a pas répondu. Il a mis son bras autour de mon épaule et a caressé mon autre bras. À ce moment-là, j’étais complètement perdu. J’étais sur le point de craquer. J’ai pensé à protester, mais mon désir a pris le dessus. J’ai cédé en silence. Balac a commencé à me serrer plus fort contre lui.

 J’étais sous son emprise et je me délectais comme jamais auparavant. À cet instant, j’étais prête à le laisser faire tout ce qu’il voulait. Peu de temps après, alors que notre activité était sur le point de se terminer, il a semblé le savoir. Il m’a demandé entre moi et ton mari, qui est le plus grand ? Je n’ai pas répondu.

 Il a accéléré jusqu’à ce que je ne puisse plus me retenir et que je dois crier. Balac est plus grand. Après cela, j’ai eu l’explosion la plus forte que je n’avais plus connue depuis 5 ans. Soudain, quelqu’un frappa à la porte. J’ai sursauté, me demandant si mon mari savait. La peur m’a saisi d’un coup et j’ai cherché Balac du regard comme pour y trouver une réponse.

 Il avait l’air de rien. Je me suis levé et j’ai couvert mon corps pour aller ouvrir. Je doutais que mon mari ait pu s’entendre avec Balac pour qu’il vienne me tenter car il est très orgueux et n’aurait jamais accepté ce genre d’arrangement. Mais à cet instant précis, quelque chose derrière cette porte allait tout changer.

 Était ce mon mari ou quelqu’un d’autre ? Je n’en savais rien, mais mon cœur battait si fort que j’en oubliais de respirer. Abonnez-vous maintenant pour découvrir la suite de cette histoire car la partie 2 est pleine de surprises, de secrets révélés et de rebondissements que vous ne verrez pas venir.