La France se souvient de l’hommage populaire. Des Champs-Élysées noirs de monde, d’une église de la Madeleine résonnant des notes de guitare et d’harmonica, et d’une veuve et de ses filles, dignes dans une douleur infinie, marchant derrière un corbillard blanc. Mais avant cette communion nationale, avant que le public ne prenne sa part du deuil, il y a eu la nuit. Une nuit à huis clos, à Marnes-la-Coquette, où le drame intime, brut et animal, a pris le pas sur tout le reste. Le titre de cette vidéo, “Je veux le voir, laissez-moi le voir!”, n’est pas une simple phrase. C’est le cri du cœur de Laeticia Hallyday, un hurlement de déni et d’amour absolu face à l’inéluctable.
Pour comprendre ce cri, il faut revenir à “La Savannah”, la résidence de Marnes-la-Coquette où Johnny Hallyday a livré son dernier combat. Le 5 décembre 2017, la maison est figée. L’idole des jeunes, le lion, s’est éteint dans la soirée. Les livres et les enquêtes qui ont suivi, comme celle citée dans nos recherches, décrivent une scène où le temps s’est arrêté. Il est 22h30. Le personnel est là, les amis les plus proches, le premier cercle, arrivent. On parle de Sébastien Farran, le manager, et de Laurence Favalelli, l’assistante de Laeticia.
L’atmosphère est lourde, “glacée”. Laeticia, la femme qui a partagé sa vie pendant plus de vingt ans, est en état de choc. Elle étreint ses amis, répétant en boucle une seule phrase, comme un mantra pour tenter de repousser la réalité : “C’est horrible, c’est horrible”. C’est la première phase du deuil, la sidération. L’homme qu’elle aime est parti, mais son esprit refuse encore de l’admettre.

Puis, le protocole de la mort se met en marche. Les avocats sont appelés, les pompes funèbres contactées. Le corps de Johnny doit être préparé, transporté. C’est à cet instant précis que le drame intime se joue. C’est le moment où la maladie, la lutte, basculent vers l’absence. C’est le moment où l’être aimé devient un “corps” que l’on doit gérer.
Et c’est là que Laeticia craque. La dignité s’effondre pour laisser place à la panique. L’idée qu’on lui enlève son mari, qu’on le déplace, qu’on le soustrait à son regard, lui est physiquement insupportable. C’est à cet instant, rapporté par des témoins et confirmé par des articles, qu’elle se met à crier : “Je veux le voir, laissez-moi le voir !”.
Ce n’est pas un caprice. C’est un cri de possession viscérale. C’est la femme qui refuse qu’on touche à son homme. C’est l’amante qui ne veut pas laisser les professionnels du funéraire prendre le relais. C’est une réaction d’une violence inouïe, celle du déni qui se fracasse contre la réalité la plus froide : la mort administrative. Les sources indiquent qu’elle “mettra beaucoup de temps à reprendre ses esprits”. Elle est dans un état second, luttant avec ses propres forces contre une machine qui s’est mise en branle trop vite pour son cœur.
Cette nuit-là, à La Savannah, Laeticia Hallyday n’est pas la veuve de l’idole. Elle est une femme qui perd l’amour de sa vie. Son cri est une tentative désespérée de remonter le temps, de garder son mari près d’elle, dans la chambre, dans leur maison. Mais le temps ne s’arrête pas. Le cortège funéraire se forme.
Le corps de Johnny est finalement transporté au funérarium du Mont Valérien, à Nanterre. C’est là que le public commencera à converger. Des dizaines de personnes sont signalées dès 5 heures du matin, venues déposer des bougies, des fleurs. Le deuil national commence à prendre forme dans le froid de la nuit.
Mais pour Laeticia, la nuit n’est pas encore terminée. Ce n’est que bien plus tard, à 2h34 du matin, une fois le choc peut-être légèrement retombé, ou plutôt une fois la réalité admise de force, qu’elle trouvera le courage d’écrire et d’envoyer le communiqué officiel à l’AFP. “J’écris ces mots sans y croire. […] Mon homme n’est plus. […] Johnny Hallyday est parti.”.

Entre la mort de son mari vers 22h30 et l’annonce officielle à 2h34, il s’est écoulé quatre heures. Quatre heures d’un huis clos tragique, quatre heures de chaos émotionnel, résumées par ce cri primal : “Laissez-moi le voir !”.
Ce moment, capturé par le titre de la vidéo, est crucial pour comprendre tout ce qui a suivi. Il explique la dévastation de Laeticia lors de l’hommage populaire. Sa douleur n’était pas feinte ; elle avait déjà vécu le pire de la tragédie dans l’intimité, hurlant sa douleur quand la France ne le savait pas encore.
Cela éclaire aussi, peut-être, la complexité de la bataille testamentaire qui a suivi. Cette nuit-là, Laeticia s’est battue pour “garder” Johnny. Son cri était le premier acte d’une veuve qui refuse qu’on lui enlève quoi que ce soit de l’homme qu’elle a protégé et aimé jusqu’au dernier souffle. Laeticia, la “gardienne du temple”, est née dans cette violence, dans ce refus de la séparation.
Aujourd’hui, des années après, alors que la paix semble revenue dans le clan Hallyday et que chacun tente de se reconstruire, ce “cri du cœur” résonne encore. Il rappelle que derrière l’icône nationale, derrière les millions d’albums vendus et les stades remplis, il y avait un homme, Jean-Philippe Smet, et une femme qui l’aimait au-delà de la raison. Et qui, face à la mort, n’a eu que sa voix pour hurler son refus de l’inacceptable.
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