Dans une interview accordée à “Femme actuelle”, Vitaa se confie sur son rôle de mère, elle qui a le bonheur d’avoir trois enfants. Si tout se passe bien dans l’éducation de ses enfants, il y a tout de même une chose qui lui fait très peur.

“Je ne veux pas qu’ils aient…” : Vitaa, maman de trois enfants (13, 10 et 2 ans), dévoile cette chose qui lui fait “peur” concernant leur éducation

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Vitaa fait partie de ses artistes qui ont réussi à conjuguer vie professionnelle et vie familiale et à 41 ans, la chanteuse semble plus comblée que jamais. “La maternité, ça a changé beaucoup de choses chez moi. C’est-à-dire que, quand on est artiste, avant de construire sa vie de famille, on est un peu autocentré. On a l’habitude que tout le monde soit autour de vous. Tout tourne autour de notre carrière… Moi, dans ma vie, vraiment, j’ai signé mon premier album, j’avais 22 ans. Tout est dramatique quand ça marche, quand ça marche pas, en fait il n’y a que ça. Et puis, j’ai construit ma vie de famille, j’ai rencontré mon mari et j’ai fait une pause”, raconte celle qui a invité un membre de sa famille sur scène pour chanter en plein concert l’an dernier, dans une interview accordée à Femme actuelle, ce lundi 20 janvier.

Mariée au discret Hicham Bendaoud depuis 2010, la grande copine de Slimane a eu la chance d’avoir trois enfants. Un premier garçon prénommé Liham, aujourd’hui âgé de 13 ans, suivi par un deuxième garçon, Adam, âgé de 10 ans et une petite Noa, âgée de 2 ans. “Je suis tombée enceinte de mon premier fils et ça m’a bouleversée et j’ai eu envie de faire que ça. Pendant 4 ans, j’ai fait une vraie pause et chaque priorité se remet à sa place et soudain, tu réalises qu’en fait, faire de la musique c’est merveilleux, c’est une passion, c’est cool, ça marche, tant mieux, ça ne marche pas, c’est pas grave”, raconte Vitaa, qui a révélé ses fluctuations de poids et son trouble qui peut rendre la vie infernale par le passé, avant de poursuivre : “Ton enfant c’est ta priorité. À côté de ça, le bonheur se construit autrement donc vraiment, moi, ça a soigné beaucoup de choses chez moi.”
Vitaa interdit plusieurs réseaux sociaux à ses enfants
Malgré le bonheur d’avoir trois enfants en bonne santé, Vitaa n’en reste pas moins consciente de la période compliquée dans laquelle ses enfants vont grandir. “On est dans un monde qui n’est pas facile. J’ai le sentiment qu’ils n’auront pas la même enfance que nous et que, à la fois ils sont connectés donc ils grandissent beaucoup plus vite. C’est ce qui me fait le plus peur. À la fois, j’essaie vraiment de passer des vrais moments avec eux, de leur enseigner le respect, la tolérance, c’est primordial, d’être à l’écoute des autres et d’être en adéquation avec le monde dans lequel on vit”, raconte celle qui possède une maison immense avec terrain de foot, piscine et ascenseur, avant d’expliquer comment elle s’y prend avec ses enfants : “J’essaye de tout faire pour les déconnecter des écrans. C’est très très dur parce que c’est des ados, mes grands (Liham et Adam) mais je lâche pas. J’ai des techniques, j’ai des semaines de punition, j’enlève tout et quand je découvre que, quand j’enlève tout pendant deux jours, ils tournent en rond, à partir du troisième jour ils font des jeux qu’ils n’ont jamais fait, ils s’éclatent, ils vont dehors, ils jouent au foot, ils font des jeux de société. Là je me dis, en fait, ils seraient 10 fois plus heureux sans écran dans leur vie au quotidien. Sauf que les ados, ils ont tous un téléphone… C’est très dur ! Mais je pense vraiment qu’il faut absolument les encadrer.”

Mère attentive aux dérives de la société, Vitaa va même jusqu’à interdire certains réseaux sociaux à ses enfants pour leur bien. “Je ne veux pas qu’ils aient TikTok, je ne veux pas qu’ils aient Instagram, je ne veux pas qu’ils aient Twitter. Ils ont Snapchat. C’est très leur génération Snapchat. Je leur laisse ça, ils communiquent, ils ont des groupes avec leurs copains”, détaille l’artiste taxée de bimbo et en difficulté dans sa carrière il y a quelque temps, avant de conclure : “J’ai la chance d’avoir des enfants qui se confient beaucoup à moi (…) Je pense que, tant qu’on communique, on est sur la bonne voie.”