🎤👦🇦🇲 Un enfant de 11 ans venu d’Arménie bouleverse la France entière : sa voix, son histoire et une chanson du génocide ont réduit The Voice Kids au silence le plus absolu 😢🌟🎶

Une rencontre «pour l'éternité»: dans « The Voice Kids », Patrick Fiori  prend une claque émotionnelle avec ce chant arménien composé après le  génocide (vidéo)

Le silence avant la tempête

Le samedi 13 septembre 2025, la scène de The Voice Kids saison 11 s’est transformée en un sanctuaire de mémoire et d’émotion. Alors que des millions de téléspectateurs suivaient l’émission en direct sur TF1, un silence glacial a soudainement envahi le plateau. Ce silence n’était pas vide : il était chargé de gravité, de respect, d’une tension qui annonçait un moment historique.

Le protagoniste de cette soirée ? Albert, un garçon de seulement 11 ans, venu tout droit d’Erevan, en Arménie. Derrière son visage enfantin se cachait une mission bien plus grande que son âge : transmettre à la France entière une douleur séculaire, celle d’un peuple marqué au fer rouge par le génocide.


Une chanson comme un cri de mémoire

Albert n’a pas choisi une chanson commerciale ou un tube international. Non. Il a osé interpréter “Dle Yaman”, un chant traditionnel arménien né des cendres du génocide. Une mélodie qui, depuis des générations, incarne le deuil, la souffrance et l’espoir fragile d’un peuple.

Accompagné par Levon, membre du groupe Il Cello – déjà vainqueur de la saison précédente – qui jouait du duduk, instrument ancestral arménien à la sonorité plaintive, Albert a ouvert la bouche… et la magie a opéré.

Dès la première note, les cœurs se sont figés. Patrick Fiori, lui-même d’origine arménienne, n’a pas pu retenir ses larmes. Paralysé par l’émotion, incapable de buzzer, il s’est simplement levé, les yeux fermés, comme transporté dans une prière silencieuse.

VOICI - "Je suis meurtri" : Patrick Fiori les larmes aux yeux dans Vivement  dimanche (ZAPTV)


Les coachs désarmés

Un à un, les coachs ont cédé. Matt Pokora, bouleversé, a appuyé sur son buzzer à la toute fin, avouant : « Il nous a fait voyager bien au-delà de ce plateau. »
Soprano, la voix tremblante, a déclaré : « J’espère que vous réalisez tous que nous venons de vivre un moment unique, qui ne reviendra peut-être jamais. »
Santa, hypnotisée, a ajouté : « On dirait que son âme a été appelée par la chanson elle-même. »

Jamais une audition de The Voice Kids n’avait atteint un tel degré d’intensité émotionnelle.


Un duo improvisé, gravé dans l’histoire

Lorsque les applaudissements ont enfin libéré le plateau, Albert, d’une sincérité désarmante, s’est tourné vers Patrick Fiori :
“Puis-je chanter avec vous ?”

Sans hésiter, le coach a accepté. Ce qui devait être une simple audition s’est transformé en un duo improvisé qui restera gravé dans les mémoires. La salle entière, debout, a fondu en larmes. Même Matt Pokora a plaisanté, encore tremblant d’émotion : « À ce stade, même nous, on veut chanter avec Patrick ! »

Puis, dans un geste quasi rituel, Albert a choisi Patrick comme coach. Une alliance naturelle, presque écrite par le destin.


La toile en ébullition

Quelques minutes après la diffusion, les réseaux sociaux explosaient. Sur X (Twitter), les messages se succédaient à un rythme effréné :

« Ce gamin a gelé le temps. »

« Le moment où Patrick Fiori a pleuré, j’en tremble encore ! »

« Albert et son duduk… C’était plus qu’une chanson, c’était un hommage à toute l’humanité. »

Des milliers de partages, de vidéos virales et de réactions enflammées ont propulsé Albert en phénomène national.


Un enfant pas comme les autres

Ce qui frappe chez Albert, ce n’est pas seulement sa voix. C’est sa détermination.
À peine trois mois avant l’émission, il ne parlait pas un mot de français. Mais animé par son rêve de participer à The Voice Kids, il a suivi des cours intensifs, chaque jour, pour apprendre la langue et pouvoir s’exprimer devant les coachs.

« J’ai voulu représenter mon pays et ma culture », a-t-il confié à Télé-Loisirs. « Chanter “Dle Yaman” était une évidence. »

À 11 ans, il a compris ce que beaucoup d’adultes oublient : la musique n’est pas seulement un divertissement, c’est une arme de mémoire, un acte de transmission.


Patrick Fiori, mentor au cœur tendre

Depuis plusieurs saisons, Patrick Fiori se distingue par sa douceur et son humanité. Mais ce soir-là, il a révélé une part intime de lui-même. L’histoire d’Albert, la chanson, le duduk, tout s’est mêlé à ses propres origines arméniennes.

« À partir d’aujourd’hui, nous nous sommes rencontrés pour l’éternité », a-t-il déclaré au jeune chanteur. Des mots simples, mais lourds de sens, qui ont bouleversé le public.

Patrick Fiori: biographie, photos, actualité - Page 2 - Melty


Une soirée marquée par l’Histoire

Bien sûr, d’autres candidats ont brillé ce soir-là : Ella, 13 ans, avec une reprise moderne de Good Luck, Babe! ; Shilath, 7 ans, avec une performance pleine d’énergie sur Mamma Mia. Mais dans l’histoire de The Voice Kids, la saison 11 restera avant tout la saison où un enfant arménien a fait pleurer la France entière.


Le poids de l’héritage

La chanson choisie par Albert n’était pas un hasard. “Dle Yaman” résonne comme un hymne de résilience. Pour les Arméniens, elle est un rappel permanent de ce que signifie survivre, malgré la douleur, malgré l’exil.

En interprétant ce chant devant des millions de Français, Albert a transformé son audition en acte de mémoire universel. Il n’était plus seulement un candidat, mais un messager d’histoire et d’humanité.


Et après ?

Albert a déjà conquis la France. Mais ce n’est que le début. Avec Patrick Fiori comme mentor, il s’apprête à franchir une nouvelle étape de son aventure musicale.

« Oui, je chante déjà en français », a-t-il confié. Barbara Pravi, Slimane, Lara Fabian, Charles Aznavour : son répertoire s’élargit de jour en jour. Et quand on lui demande s’il aimerait vivre en France, il répond avec un sourire : « Oui, la France est géniale ! »


Conclusion : Quand un enfant rappelle au monde la puissance de la musique

Il y a des moments rares où la télévision cesse d’être un simple spectacle pour devenir un miroir de l’humanité. Ce soir-là, grâce à un garçon de 11 ans et une mélodie ancestrale, la France entière a redécouvert la force brute de la musique : celle qui unit, qui bouleverse, qui réveille la mémoire collective.

Albert n’a pas seulement chanté. Il a offert son âme, rappelant à tous que les enfants ont parfois le pouvoir d’enseigner aux adultes ce qu’ils ont oublié : écouter, ressentir, se souvenir.