Tremblement de terre médiatique en France 2 : Anne-Sophie Lapix brise enfin le silence sur son éviction brutale du 20H — confidences inédites, trahisons internes, manipulations politiques et soulagement immense d’un départ qu’elle attendait en secret depuis longtemps !

C'est officiel : Anne-Sophie Lapix quitte le JT de France 2, la date de son

Un départ qui fait trembler la télévision française : les coulisses d’une éviction orchestrée dans l’ombre

Pendant des mois, les rumeurs enflaient. Le sourire impeccable d’Anne-Sophie Lapix chaque soir à 20h masquait-il un malaise profond ? Cette semaine, la journaliste vedette de France 2 a enfin rompu le silence dans une interview exclusive accordée à L’Hebdo Media. Et ce qu’elle révèle donne froid dans le dos. Manipulations politiques, pressions internes, trahisons silencieuses et guerre d’ego : les dessous de son départ du JT de 20h sont bien plus sombres qu’on ne l’imaginait.


Une “décision éditoriale” qui n’en était pas une ?

Quand la chaîne a annoncé début juin qu’Anne-Sophie Lapix quitterait la présentation du 20H, le communiqué parlait d’un « choix éditorial » visant à « renouveler l’offre d’information ». Un message lisse, froid, presque mécanique. Mais aujourd’hui, la journaliste de 52 ans dévoile une toute autre version des faits. « Ce n’est pas moi qui ai décidé de partir. On m’a poussée lentement mais sûrement vers la sortie. »

Selon ses confidences, tout aurait commencé il y a plus d’un an, quand les audiences du JT ont connu un léger repli. « J’ai commencé à ressentir des regards différents dans les couloirs, des silences gênés. » Peu à peu, le climat s’est tendu. Les décisions éditoriales étaient de plus en plus imposées sans discussion. « Je n’étais plus consultée, même pour les sujets que je présentais. »


Une guerre d’influence au sommet de France Télévisions

Anne-Sophie Lapix fait ses adieux au 20 Heures de France 2

Mais ce n’est pas tout. Derrière ce départ se cacherait un conflit bien plus profond, opposant Lapix à certaines figures puissantes de France Télévisions. Dans les pages du Canard Enchaîné, des sources anonymes évoquent des tensions récurrentes entre la journaliste et plusieurs membres de la direction, notamment autour de la ligne éditoriale.

« On m’a reproché d’être trop indépendante, de ne pas me contenter de lire ce qu’on me préparait », explique-t-elle. « J’ai souvent tenu tête, parfois sur des sujets sensibles, comme la politique ou la santé. Et visiblement, cela dérangeait. »


La pression politique en toile de fond ?

Un autre facteur déterminant : l’ingérence supposée de certains cercles politiques. Plusieurs proches de Lapix affirment que des pressions discrètes auraient été exercées par des conseillers gouvernementaux, peu satisfaits de la rigueur de certaines de ses interviews. L’une d’elles, très tendue avec un ministre de l’Économie, aurait « mis le feu aux poudres » en haut lieu.

« Je n’ai jamais fait de journalisme de cour. Mon rôle n’est pas de flatter les puissants », assène Lapix, la voix ferme. « Si cela m’a coûté ma place, alors je pars la tête haute. »


Un soulagement malgré tout ?

Mais contre toute attente, au milieu de ces révélations explosives, Anne-Sophie Lapix confesse… un immense soulagement. « Je ne pouvais plus respirer dans ce climat. Tous les jours, je me levais avec la boule au ventre. » Ce JT de 20h, vitrine de l’information publique, était devenu pour elle une cage dorée.

Elle raconte les longues journées sans pause, les nuits écourtées, la pression constante de l’audience. « Mon visage restait souriant à l’écran, mais à l’intérieur, je m’effondrais. » Elle évoque aussi l’absence de reconnaissance, le manque de soutien. « J’étais seule, en permanence sur la corde raide. »


Un avenir déjà en marche ?

Alors que certains la voyaient sombrer dans le silence ou l’amertume, Anne-Sophie Lapix semble au contraire tournée vers l’avenir. Selon plusieurs sources proches, elle aurait déjà été approchée par des plateformes privées, notamment Netflix et Arte, pour des projets de documentaires d’investigation. Elle n’exclut pas non plus de revenir à la radio, son premier amour journalistique.

« Je vais enfin pouvoir choisir mes sujets, reprendre le contrôle sur mon métier. Je veux raconter des histoires qui comptent, sans avoir à rendre de comptes à des intérêts que je ne partage pas. »


Réactions en chaîne dans le monde médiatique

Depuis ses révélations, les réactions pleuvent. Sur les réseaux sociaux, des milliers d’internautes ont salué son courage. Plusieurs journalistes ont aussi exprimé leur soutien. Laurent Delahousse, lui-même à la tête du 20H du week-end sur France 2, a posté un message énigmatique : « Quand dire la vérité devient un acte de bravoure, c’est que le système est malade. »

En interne, la direction de France Télévisions reste silencieuse. Mais selon Le Monde, un audit interne aurait été lancé discrètement pour « apaiser les tensions et éviter une nouvelle crise d’image ».


Conclusion : un miroir tendu aux médias français

Anne-Sophie Lapix s'effondre en direct sur France 2 | Toutelatele

Au-delà du cas Anne-Sophie Lapix, cette affaire jette une lumière crue sur le fonctionnement parfois opaque des grandes rédactions françaises. La parole de la journaliste vient briser un tabou : celui de l’influence politique, des pressions internes et du mal-être silencieux qui ronge certains visages publics de l’info.

Son départ, loin d’être une fin, pourrait bien devenir le début d’un débat national sur la liberté de la presse et l’indépendance des journalistes dans les chaînes publiques.

« J’ai choisi d’être journaliste, pas porte-parole. Si mon honnêteté m’a coûté ma place, alors tant mieux : cela prouve que j’étais à la bonne place. » — Anne-Sophie Lapix