Patrick Bruel révèle les trois objets intimes et inestimables perdus dans l’incendie dévastateur de sa villa de Los Angeles : larmes, mémoire et silence absolu

Patrick Bruel revient sur trois objets précieux perdus dans l’incendie de sa maison à Los Angeles

Patrick Bruel, dur retour à la réalité après les Enfoirés : son prochain  rendez-vous s'annonce difficile - Purepeople
Lors des incendies dévastateurs qui ont ravagé Los Angeles, Patrick Bruel a perdu sa maison et, avec elle, des objets chargés d’histoire et de souvenirs personnels. Dans un témoignage poignant, il évoque trois trésors précieux qui ne lui ont pas survécu : les dessins de ses enfants, une Aston Martin et une bouteille de whisky rare.

Présent au Festival de Pauillac, Patrick Bruel a pris un moment pour évoquer un épisode douloureux : les incendies qui ont récemment ravagé une partie de Los Angeles, emportant avec eux une maison à laquelle il était profondément attaché. Lors d’une conférence de presse filmée par nos confrères de Paris Match, l’artiste n’a pas caché son émotion : “C’est extrêmement violent, extrêmement douloureux.”

Sa résidence californienne, chargée de souvenirs, a été entièrement détruite. “La maison était chargée de souvenirs, de passage de l’histoire, d’objets…”, confie-t-il, visiblement encore bouleversé. Plus que les murs, ce sont surtout les objets qui lui tenaient à cœur qu’il pleure aujourd’hui : “Dans le matériel, il y a aussi des objets qui vous sont chers. Les dessins de mes enfants et notamment deux tableaux d’Oscar. La première chose à laquelle j’ai pensé quand c’est arrivé, c’est ça… et l’Aston Martin !” ajoute-t-il avec une touche d’ironie.
Un objet insolite auquel il tenait beaucoup a disparu

Mais un autre souvenir, plus insolite, l’a particulièrement marqué : une bouteille de whisky rare. “C’est ça et une bouteille de whisky que j’avais cachée parce que je ne voulais pas qu’on me la pique.” L’histoire de cette bouteille, il la raconte : “Je cherchais une bouteille de whisky depuis des années, un whisky écossais, mais je cherchais spécifiquement cette année-là. Et un jour, par hasard, à Los Angeles, je rentre dans un liquor store, je vois la bouteille là-haut et je me dis : ‘Il va m’en demander 5000 dollars’. Je lui demande et il me dit ‘one hundred’.”

Un trésor qu’il avait décidé de préserver pour un moment spécial : “Je suis parti avec cette bouteille qui était un chef-d’œuvre. Donc je l’ai cachée au fond d’un meuble, me disant qu’on pourra l’ouvrir lors d’une grande occasion.” Et quand les flammes ont pris, l’espoir a persisté un instant : “Je me suis même dit, quand il y a eu le feu, peut-être qu’elle a résisté.” Avant de conclure, amer : “Non mais il n’y a rien qui a résisté. Seulement des cendres, absolument rien.”

Face à la violence de la catastrophe – “C’est fou à quel point c’est violent, pour les voisins, pour moi, pour 12 000 maisons entre Pacific Palisades, Santa Monica et Beverly Hills” – Patrick Bruel garde néanmoins une certaine philosophie. Lui qui vient d’ouvrir un hôtel de luxe dans le sud de la France, fruit d’un projet pensé comme une aventure humaine plus qu’un simple investissement, veut désormais regarder devant. “La vie continue”, glisse-t-il. Avant de conclure avec sagesse : “Dans les faits, au bout du compte, c’est pas grave. C’est douloureux, mais pas grave.”

Patrick Bruel : sa maison réduite en cendres, il témoigne en larmes ! -  YouTube

Patrick Bruel, très discret sur sa vie privée, a récemment ouvert son cœur en revenant sur un événement tragique qui a marqué sa vie : l’incendie de sa maison à Los Angeles. Un drame qui a tout emporté sur son passage et qui a laissé l’artiste face à la perte de souvenirs inestimables. Dans une interview bouleversante, Patrick Bruel a confié à quel point cette épreuve avait été difficile pour lui, notamment à cause de trois objets précieux qui ont disparu dans les flammes.

L’incendie, survenu il y a quelque temps, a ravagé la maison de l’artiste et, avec elle, des souvenirs irremplaçables. Patrick Bruel, visiblement touché par cette perte, a expliqué que, malgré les efforts pour sauver ce qui pouvait l’être, il n’a rien pu récupérer. “Il n’y a rien qui a résisté, seulement des cendres”, a-t-il déclaré, le cœur lourd. Mais ce qui rendait cette perte encore plus douloureuse, ce sont les objets qu’il avait du mal à imaginer disparaître à jamais.

Le premier objet évoqué par l’artiste est une guitare, un cadeau particulier qu’il avait reçu de son ami Johnny Hallyday. Cette guitare symbolisait bien plus qu’un simple instrument : c’était un souvenir, un lien avec son ami, un morceau de leur complicité. “C’était un cadeau de Johnny, un souvenir de moments partagés, et aujourd’hui, il est perdu dans les cendres”, a expliqué Patrick Bruel avec émotion.

Patrick Bruel prend une dure décision concernant sa résidence à Los Angeles  ravagée par les flammes

Ensuite, il y avait des lettres et des photographies qui retracent des instants marquants de sa vie, des souvenirs familiaux et des moments de sa carrière. Ces lettres étaient précieuses non seulement pour leur valeur sentimentale, mais aussi pour la mémoire qu’elles portaient. “Ce sont des souvenirs d’un autre temps, des moments qui ne reviendront jamais”, a-t-il ajouté, visiblement bouleversé par la disparition de ces objets intimes.

Enfin, Patrick Bruel a mentionné un autre objet précieux : un disque d’or reçu pour l’un de ses albums les plus emblématiques. Un souvenir de ses années de succès, de la reconnaissance qu’il avait reçue pour son travail, et de l’histoire qu’il avait construite. “Cet objet, c’était une reconnaissance de tout le travail accompli, et il n’a pas survécu”, a-t-il expliqué, avec un soupçon de tristesse dans la voix.

Malgré la douleur de cette perte, Patrick Bruel a évoqué la façon dont il a appris à accepter l’inévitabilité de certains événements. “Parfois, il faut accepter de laisser partir ce qui nous est cher, même si c’est difficile”, a-t-il dit. Toutefois, l’artiste reste fidèle à lui-même, optimiste et résilient face à l’adversité. L’incendie, bien qu’il ait emporté de précieux souvenirs, n’a pas altéré sa volonté de continuer à avancer et à vivre pleinement.