Kendji Girac, idole adulée, star aux millions d’albums vendus, révèle son secret le plus sombre : analphabète en pleine gloire, il brise le silence et raconte sa honte déchirante

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Kendji Girac : l’aveu bouleversant qui secoue la France

Il est beau, il chante comme un ange, et ses refrains entraînants résonnent dans des millions de foyers. Kendji Girac, l’enfant prodige révélé par The Voice en 2014, est devenu l’un des artistes les plus populaires de sa génération. Avec des tubes comme Color Gitano ou Andalouse, il a fait danser la France entière et s’est imposé comme une figure incontournable de la scène musicale.

Mais derrière les projecteurs, derrière les strass et les paillettes, se cachait un secret lourd à porter. Un fardeau qui, selon ses propres mots, le “mangeait de l’intérieur”. Kendji Girac vient de l’avouer : pendant des années, il ne savait ni lire ni écrire correctement.


L’ombre derrière la lumière

Imaginez : signer des contrats à plusieurs zéros, négocier des tournées internationales, participer à des interviews télévisées… tout en étant incapable de déchiffrer une simple ligne écrite.

« J’étais dans la honte totale », confie-t-il dans une interview bouleversante. « Je faisais semblant, je souriais, mais au fond de moi, j’étais perdu. »

Kendji décrit cette incapacité comme une cicatrice intime, une blessure cachée sous des couches de succès et d’applaudissements. Car si le public voyait l’étoile, l’homme, lui, se sentait prisonnier d’une invisibilité douloureuse : celle de l’analphabétisme.


Une enfance marquée par la différence

Né dans une famille de voyageurs, Kendji a grandi dans une culture où la musique était reine, mais où l’école n’était pas toujours une priorité. Ses parents, très attachés aux traditions gitanes, privilégiaient la transmission orale et la vie communautaire.

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Résultat : le jeune garçon développe très tôt un talent exceptionnel pour la guitare et le chant… mais se retrouve rapidement en marge du système scolaire classique.

« À l’école, j’étais le petit qui ne comprenait rien. J’ai vite décroché », se souvient-il.


Le poids du silence

Pendant des années, Kendji a caché son secret à tout le monde. Même à ses amis les plus proches. Même à ses producteurs.

« Quand on me donnait un papier à signer, je regardais vaguement et je faisais confiance », raconte-t-il. Une confiance parfois aveugle, parfois risquée, mais indispensable pour continuer à avancer dans un monde où tout repose sur l’écrit.

Cette dissimulation l’a rongé de l’intérieur. Car plus sa carrière montait, plus sa peur d’être découvert grandissait.


La honte comme ennemie

Ce que Kendji décrit avec le plus d’émotion, c’est la honte.
« C’est terrible de sourire devant des milliers de personnes, et de se sentir idiot dès qu’on vous tend une feuille », avoue-t-il.

Cette honte, il l’a portée comme un poids invisible, un secret qui l’empêchait de respirer pleinement son succès.


Le déclic : apprendre à tout recommencer

Mais au lieu de se laisser engloutir, Kendji a décidé de se battre. Dans l’ombre, loin des caméras, il a repris des cours. Comme un enfant. Il a appris à déchiffrer les lettres, à assembler les mots, à comprendre les phrases.

« J’ai dû réapprendre comme si j’avais 7 ans », dit-il sans détour. « C’était humiliant parfois, mais libérateur. »

Peu à peu, les murs se sont fissurés. Peu à peu, le chanteur a reconstruit sa confiance, découvrant le bonheur simple de lire un message, un titre de chanson, une phrase écrite de sa main.


Le courage d’en parler

Aujourd’hui, s’il en parle, c’est parce qu’il veut briser un tabou. L’analphabétisme, en France, touche encore plus de 2,5 millions de personnes. Des anonymes, mais aussi des célébrités, des sportifs, des artistes.

En racontant son histoire, Kendji Girac espère envoyer un message d’espoir :
« Si moi j’ai réussi à affronter cette peur, alors d’autres peuvent le faire. »


Une leçon d’humilité et de force

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La révélation de Kendji est un choc, mais aussi une leçon. Elle nous rappelle que derrière chaque sourire public peut se cacher une lutte privée. Que le succès matériel ne suffit pas à combler les failles intimes.

Surtout, elle montre la force de ceux qui osent se reconstruire. Kendji Girac n’est plus seulement une star de la chanson : il devient un symbole de résilience.


L’avenir : une nouvelle page, vraiment écrite

Désormais, le chanteur regarde l’avenir avec un regard neuf. Lire, écrire, comprendre… chaque mot est une victoire. Et chaque victoire renforce sa détermination à ne plus jamais se laisser enfermer dans le silence.

« Aujourd’hui, je peux lire mes propres chansons. Et ça, c’est une liberté immense », conclut-il avec un sourire sincère.


Une histoire qui résonne en chacun de nous

Le parcours de Kendji touche parce qu’il nous rappelle une vérité universelle : tout le monde, peu importe sa réussite apparente, peut porter des blessures invisibles.

Mais le courage, la persévérance et l’envie de se dépasser peuvent transformer ces blessures en forces. Kendji Girac en est la preuve vivante.


✍️ Conclusion :
L’aveu d’analphabétisme de Kendji Girac ne diminue en rien sa grandeur artistique. Au contraire, il humanise la star et inspire des milliers de personnes à affronter leurs propres démons. Une confession déchirante, mais lumineuse.