“It’s forbidden at home”: this rule imposed by Julia Vignali on Kad Merad’s son, he can’t… 

Julia Vignali est, depuis le mois de septembre, un peu moins matinale : elle a délaissé Télématin pour Affaire conclue. Une nouvelle vie qui ne l’empêche pas d’avoir des exigences, comme cette règle imposée à son beau-fils à la maison.

Julia Vignali ouvre un nouveau chapitre de sa carrière. Après avoir animé Le meilleur pâtissier sur M6 puis Télématin sur France 2 en compagnie de Thomas Sotto, la belle brune a pris les commandes d’Affaire Conclue. Une arrivée rendue possible par l’envol de l’animatrice historique de l’émission. Sophie Davant a en effet souhaité tenter l’expérience radiophonique sur Europe 1.

L’animatrice de 48 ans a pris ses marques et pour l’heure les choses se passent bien même si elle a bien failli assommer un commissaire-priseur. Les téléspectateurs ne résistent pas à sa bonne humeur et à son énergie qui font du bien à l’émission qui sent parfois un brin la naphtaline… Preuve que tout va bien dans le meilleur des mondes, l’épouse de Kad Merad a su séduire Caroline Margeridon, l’acheteuse qui se voyait mourir sans Sophie Davant. “Pour le moment elle est géniale, elle est spontanée, c’est tout ce qu’on aime, tu es exceptionnelle franchement. Vous savez tous que j’ai mon petit coup de cœur pour Soso mais on l’aime quand même”, a déclaré la tempétueuse blonde au sujet Julia Vignali.

Affaire conclue ou la vie retrouvée

Cette dernière n’a donc plus qu’à savourer sa vie retrouvée. Plus de réveil à 3h30 le matin, plus de retrouvailles avec son compagnon entre deux portes. L’animatrice peut enfin retourner au cinéma, accepter des dîners avec des amis. Autant de choses qui lui étaient interdites du temps de la chronophage Télématin. “Tout est incompatible avec Télématin, la vie de famille, la vie de couple, la vie sociale” plaisantait-elle à moitié. Désormais Julia Vignali goûte ce nouveau rythme au sein d’une émission qu’on n’aurait pas spontanément osé proposer à celle qui a publié en février de cette année un livre intitulé Adieu bordel ! et dans lequel elle propose de “Trier-Désencombrer-Ranger”, un concept assez loin de l’esprit collectionneur d’Affaire conclue…

L’animatrice qui avoue ne pas y connaitre grand-chose en brocante et aux antiquités pourra toujours s’appuyer sur ses partenaires à l’antenne et sur son beau-fils Khalil, féru de brocante et très attaché aux objets qu’il a chinés. Mais pour rester fidèle à son précepte de rangement, et pour ne pas se laisser envahir, celle qui affirme n’être pas passéiste, ni matérialiste a fixé une règle dans la maison – qui ne manquera pas d’apparaître comme cruelle aux collectionneurs – “quand un objet rentre, un autre sort”, disait-elle en septembre dernier à Nous Deux. Cruel on a dit !

🎬 « C’est interdit à la maison » : La règle surprenante imposée par Julia Vignali au fils de Kad Merad !

Il y a des couples discrets… et puis il y a Julia Vignali et Kad Merad. S’ils préfèrent vivre leur amour loin des projecteurs, une confidence récente de l’animatrice star a soudainement mis leur intimité familiale sous les feux de la rampe. Et pas n’importe quelle confidence : une règle stricte qu’elle impose à leur domicile, et qui vise directement le fils de Kad Merad, Khalil.

Une règle que certains jugeront excessive, d’autres totalement justifiée. Mais une chose est sûre : elle a fait couler beaucoup d’encre et a suscité un véritable débat sur l’éducation, la vie de famille recomposée… et l’omniprésence des écrans !

📺 Une maison… sans télé ?

C’est au cours d’une interview accordée à un média lifestyle français que Julia Vignali, désormais à la tête de Affaire Conclue sur France 2, a lâché la bombe :

« À la maison, c’est très simple : les écrans, c’est quasiment interdit. »

Et quand elle dit « les écrans », elle ne parle pas que de la télévision, mais aussi de tablettes, jeux vidéo, smartphones. Un univers technologique dont Khalil, le fils de Kad Merad (né d’une précédente union), doit se passer lorsqu’il est chez eux.

« Il y a des livres, de la musique, des jeux de société, on cuisine, on parle, on débat… Mais pas question qu’il passe des heures scotché à un écran. »

Une prise de position tranchée, à contre-courant de notre époque ultra-connectée, qui a provoqué un véritable raz-de-marée sur les réseaux sociaux.

📱 Le choc des générations

À 19 ans, Khalil est un adolescent comme tant d’autres, né avec un smartphone dans la main et habitué aux plateformes comme TikTok, YouTube ou Netflix. Autant dire que la règle de sa belle-mère a dû lui faire l’effet d’un choc culturel.

Selon des proches du couple, l’ambiance à la maison est très cadrée : les repas sans téléphone sont obligatoires, les échanges verbaux sont encouragés, et le moindre jeu vidéo est perçu comme une perte de temps.

« Julia est très à cheval sur les valeurs. Elle veut transmettre une forme de sobriété, un retour à l’essentiel. Elle pense que les écrans anesthésient les jeunes. »

Mais est-ce une simple lubie ? Ou une véritable philosophie éducative ?

🎓 Une règle… fondée sur son propre vécu

Ce que peu de gens savent, c’est que Julia Vignali n’a pas toujours été aussi stricte. Elle a elle-même avoué avoir traversé une période de dépendance aux écrans :

« Je pouvais passer trois heures sur Instagram sans m’en rendre compte. À la fin, je me sentais vidée, inutile, déconnectée de moi-même. »

Cette prise de conscience l’a poussée à revoir totalement son rapport au numérique… et à transmettre ce choix de vie à ceux qui partagent son quotidien.

« Ce n’est pas une punition, c’est une protection. J’essaie simplement de préserver notre bulle familiale. »

Et Kad Merad, dans tout ça ? L’acteur semble soutenir sa compagne, bien qu’il soit parfois plus souple.

« Kad, lui, est plus cool. Il adore les séries, il aime rire devant des vidéos absurdes. Mais il comprend la démarche de Julia et essaie de suivre le mouvement. »

💥 Des tensions à la maison ?

Interdire les écrans à un adolescent de 19 ans… c’est tout sauf simple. Des proches du couple ont confirmé que les débuts ont été tendus. Khalil aurait vécu cette règle comme une forme d’autorité excessive, voire de rejet.

« Il l’a mal pris au début. Il pensait qu’elle voulait contrôler sa vie, qu’elle ne l’acceptait pas. Mais avec le temps, il a vu les bénéfices. »

Julia, de son côté, a tenu bon, tout en gardant le dialogue ouvert.

« Je lui ai dit : je ne suis pas ta mère, je ne cherche pas à prendre sa place. Mais ici, c’est notre maison, et on a des règles. Tu es libre de ne pas les aimer, mais elles s’appliquent à tous. »

Un discours clair, respectueux, mais ferme. Et au fil des mois, il semble que la relation entre Julia et Khalil se soit apaisée. Il aurait même trouvé un nouvel intérêt pour la lecture et l’écriture, des passions que Julia cultive depuis toujours.

🧠 Et si Julia avait raison ?

De nombreuses études récentes pointent les effets néfastes des écrans sur le cerveau, surtout chez les jeunes : troubles du sommeil, perte de concentration, repli sur soi, anxiété sociale… Julia Vignali ne fait donc que suivre une tendance de plus en plus soutenue par la recherche scientifique.

D’ailleurs, certains parents sur les réseaux sociaux l’ont applaudie :

« Bravo Julia, il faut du courage pour imposer des limites aujourd’hui. »
« On a besoin de plus de personnalités publiques qui osent dire non aux écrans. »

D’autres, en revanche, l’ont accusée d’être trop rigide, voire d’imposer une vision archaïque de l’éducation.

« Les écrans, ce n’est pas le diable. Il faut apprendre à vivre avec, pas les supprimer. »

Mais au fond, la vraie question n’est-elle pas : quelle place voulons-nous donner aux écrans dans notre intimité ?

💡 Une nouvelle tendance chez les stars ?

Julia Vignali ne serait pas la seule à imposer ce genre de règle. Des célébrités comme Julien Doré, Gad Elmaleh ou Emma Watson ont, eux aussi, évoqué leur volonté de se désintoxiquer du numérique.

Le « digital detox » devient presque une nouvelle norme dans les cercles VIP, avec des maisons sans Wi-Fi, des « journées sans téléphone », et même des vacances en silence.

Et si Julia Vignali n’était qu’une pionnière d’un mouvement bien plus vaste ?

❤️ Une maison sans écran, mais pleine de vie

Malgré les critiques, Julia Vignali reste fidèle à sa vision :

« Je ne veux pas vivre dans une maison où chacun est enfermé dans sa bulle. Je veux entendre les rires, les discussions, voir les regards se croiser. »

Et pour ceux qui trouvent cela trop extrême, elle conclut simplement :

« On peut toujours allumer la télé… mais ensemble, et pour une bonne raison. »