« Il n’y a pas plus important » : Kendji Girac brise enfin le silence, confesse ses erreurs passées et promet de protéger ses enfants d’un destin identique, coûte que coûte

People. « Je tenais à m'excuser » : Kendji Girac sort du silence pour la  première fois depuis le drame

Dans le tourbillon du show-business, rares sont les artistes qui osent mettre leur cœur à nu. Kendji Girac, lui, a décidé de le faire. Derrière son sourire solaire et sa voix qui a conquis des millions de Français depuis The Voice en 2014, se cache un homme marqué par ses propres blessures. Aujourd’hui, il l’avoue sans détour : « Il n’y a pas plus important que de protéger mes enfants de mes propres erreurs. »

Une déclaration choc qui bouleverse ses fans et relance le débat sur la difficulté de concilier gloire, jeunesse et responsabilités familiales. Mais que s’est-il réellement passé ? Quelles erreurs Kendji tente-t-il d’exorciser ? Et surtout, comment entend-il préparer ses enfants à un avenir loin des pièges qui l’ont fait souffrir ?

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Un parcours éclatant, mais semé d’embûches

Kendji Girac, né en 1996 à Périgueux dans une famille de voyageurs, a grandi au rythme des guitares, des fêtes familiales et des traditions gitanes. Dès son plus jeune âge, la musique devient une échappatoire, un refuge et un langage universel. Son passage triomphal à The Voice en 2014, qu’il remporte à seulement 17 ans, le propulse du jour au lendemain au rang de star nationale.

Mais derrière la lumière, l’ombre. Kendji le reconnaît aujourd’hui : il n’était pas préparé à gérer une telle ascension. Les tentations, les excès, la pression médiatique… tout s’est enchaîné trop vite. « Je me suis parfois perdu, avoue-t-il. J’ai fait des erreurs que je ne veux pas voir mes enfants répéter. »


Les « erreurs » dont il parle

S’il reste discret sur les détails, plusieurs épisodes publics et privés laissent entrevoir les difficultés qu’il a traversées.

Une jeunesse éclipsée : Kendji confie avoir sacrifié des années précieuses de son adolescence à la scène, sans recul ni repères solides.

La pression des médias : Chaque geste, chaque sortie, chaque mot analysé et critiqué, jusqu’à provoquer une profonde anxiété.

Des choix personnels discutables : Sans entrer dans le sensationnalisme, l’artiste a laissé entendre qu’il avait cédé à des influences négatives, s’éloignant parfois de ses valeurs initiales.

Aujourd’hui, père attentif, Kendji regarde en arrière avec lucidité. « J’ai payé le prix fort. Mais je refuse que mes enfants paient à leur tour. »


Le rôle de la paternité

Depuis la naissance de sa fille Eva Alba en 2020, Kendji a changé. Ses priorités ne sont plus les mêmes. Là où autrefois les tournées, les studios et la notoriété occupaient tout l’espace, c’est désormais la famille qui passe avant tout.

« Être père, dit-il, m’a réveillé. J’ai compris que mes erreurs pouvaient devenir leurs chaînes si je ne faisais rien. »

Il confesse passer beaucoup de temps à inculquer à sa fille les valeurs de respect, d’humilité et de travail. Loin des projecteurs, Kendji s’efforce d’être un modèle, non pas d’artiste parfait, mais d’homme conscient de ses fragilités et de ses responsabilités.


Une confession qui fait l’effet d’une bombe médiatique

Les propos de Kendji ne sont pas passés inaperçus. Ses fans, touchés par sa sincérité, ont salué son courage. Sur les réseaux sociaux, des milliers de messages de soutien ont afflué.

« Tu es un exemple de vérité, écrit une internaute. On ne demande pas aux stars d’être parfaites, mais d’être humaines. »
« Ton témoignage me touche, confie un autre. Grâce à toi, je comprends que même nos idoles doutent et apprennent de leurs erreurs. »

Mais bien sûr, certains critiques accusent l’artiste de « jouer la carte de la confession pour redorer son image ». Une accusation balayée par Kendji lui-même : « Je n’ai rien à prouver. Je parle pour mes enfants, pas pour la presse. »


La leçon universelle

Ce que Kendji met en lumière dépasse largement sa propre histoire. Ses mots résonnent comme un avertissement adressé à toute une génération de jeunes parents : nos erreurs, nos blessures, nos choix laissent des traces.

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En refusant de cacher ses failles, Kendji montre qu’il est possible de transformer ses échecs en enseignements. « Il n’y a pas plus important, répète-t-il, que de transmettre à nos enfants non pas une image parfaite, mais une vérité qui les libère. »


Une nouvelle étape dans sa carrière

Cette confession intime pourrait bien marquer un tournant artistique. Selon ses proches, Kendji préparerait un nouvel album beaucoup plus personnel, inspiré de ses expériences de père et de ses réflexions sur la vie.

« Attendez-vous à découvrir un Kendji plus mature, plus profond, confie un membre de son entourage. La légèreté des débuts va laisser place à des textes puissants, empreints de sincérité. »

Ses concerts, eux aussi, évoluent. Désormais, il prend le temps d’échanger avec son public, d’envoyer des messages d’encouragement et de prévention aux jeunes qui l’admirent.


Une promesse gravée dans le cœur

Au fond, la phrase clé de Kendji résume tout : « Il n’y a pas plus important. » Plus important que la gloire, que l’argent, que la reconnaissance médiatique. Plus important que l’ego d’un artiste.

Ce qui compte, pour lui, c’est de voir ses enfants grandir sans répéter les erreurs qui l’ont blessé. De les protéger, même si cela signifie exposer sa propre vulnérabilité. De leur transmettre non pas une carrière, mais une vie équilibrée, faite d’amour, de respect et d’authenticité.


Conclusion

La confession de Kendji Girac résonne comme un cri du cœur, mais aussi comme une leçon universelle. Dans un monde où l’image prime souvent sur la vérité, l’artiste choisit de montrer ses failles pour mieux protéger ses enfants.

Il nous rappelle que, derrière chaque star adulée, il y a un être humain en quête de rédemption. Et que parfois, le courage ultime n’est pas de chanter devant des foules immenses, mais de regarder ses enfants dans les yeux et de leur dire : « Je veux que vous soyez libres de mes erreurs. »