Il dit non à une campagne contre l’homophobie : un choix personnel ou une trahison publique ? Silence troublant, marques en panique, fans déçus — que cache cette décision ?

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Il aurait refusé une campagne contre l’homophobie : malaise chez ses sponsors

Le monde du sport et du divertissement est à nouveau secoué par une polémique inattendue. Un célèbre athlète français — dont le nom circule à bas bruit dans les coulisses — aurait tout simplement refusé de participer à une campagne nationale contre l’homophobie, déclenchant une vague de malaise chez ses partenaires commerciaux et une tempête sur les réseaux sociaux.

Un refus qui fait trembler l’image publique

Ce sportif, adulé pour ses performances hors normes et son influence médiatique, devait être le visage phare d’une campagne citoyenne visant à sensibiliser les jeunes aux discriminations homophobes dans le milieu sportif. Mais, contre toute attente, il aurait refusé catégoriquement d’associer son image à cette initiative.

Ce choix a immédiatement provoqué un vent de panique parmi ses sponsors. Plusieurs marques phares, qui l’avaient engagé pour son image positive, son rayonnement auprès de la jeunesse et sa prétendue ouverture d’esprit, ont été prises de court. “Nous sommes profondément déçus”, confie anonymement un cadre d’une entreprise de prêt-à-porter engagée de longue date dans des actions en faveur des minorités LGBTQIA+.

Entre liberté d’opinion et responsabilité publique

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Les représentants de l’athlète, contactés par plusieurs médias, refusent pour l’instant de commenter. Ce silence pèse lourd. Sur les réseaux sociaux, les internautes s’enflamment. “Un modèle pour nos enfants ? Vraiment ?”, écrit une utilisatrice sur X (ex-Twitter). D’autres, au contraire, défendent son droit à ne pas s’engager, arguant qu’on ne peut pas forcer quelqu’un à prendre position sur des sujets sensibles.

Mais pour de nombreux observateurs, le refus ne passe pas. “Ce n’est pas une question d’obligation, c’est une question de courage moral”, affirme un militant associatif. “Quand on bénéficie d’une telle exposition médiatique, le minimum, c’est d’envoyer un message positif à la société.”

Les marques en alerte : stratégie de rupture en cours ?

Selon nos informations, au moins deux contrats publicitaires seraient en cours de réévaluation. Certaines marques envisagent déjà de rompre leur collaboration. D’autres tentent de gagner du temps, dans l’attente d’une prise de parole officielle.

“C’est un cauchemar pour nos équipes RP”, avoue une source proche d’une entreprise de boissons énergétiques. “On avait tout misé sur cette campagne estivale, et maintenant on doit tout réorganiser.” La marque, très présente lors des grands événements sportifs, craindrait un bad buzz viral si elle ne prend pas rapidement ses distances.

Un climat tendu dans le vestiaire

Du côté de ses coéquipiers, les langues commencent à se délier. Officiellement, rien ne filtre. Mais plusieurs sources internes évoquent un climat tendu, voire “glacial”. Certains joueurs auraient exprimé leur incompréhension face à cette prise de position, d’autant plus que la campagne était soutenue par plusieurs fédérations nationales.

Un ancien joueur de l’équipe, aujourd’hui à la retraite, n’a pas mâché ses mots lors d’un live Instagram : “Il y a des silences qui valent des gifles. Refuser de dire non à l’homophobie en 2025, c’est presque dire oui.”

Une réputation ternie à l’international

À l’international, la nouvelle commence à circuler. Plusieurs médias étrangers, notamment en Espagne, au Canada et en Allemagne, reprennent l’affaire, mettant en lumière le paradoxe français : une nation qui se dit à la pointe des droits humains, mais dont certains de ses ambassadeurs les plus visibles semblent encore hésitants à afficher leur soutien.

Un journal sportif espagnol titrait ce matin : “La estrella francesa se esconde mientras Europa se une contra la homofobia” (La star française se cache pendant que l’Europe s’unit contre l’homophobie).

La stratégie du silence : un pari risqué

Jusqu’à quand son équipe de communication pourra-t-elle tenir cette ligne du silence ? En coulisses, on évoque la préparation d’une déclaration écrite, sans conférence de presse. Une manœuvre prudente, destinée à calmer le jeu sans envenimer les choses.

Mais cette stratégie pourrait se retourner contre lui. “Aujourd’hui, l’absence de position est déjà une position en soi”, analyse une spécialiste en image de marque. “En ne parlant pas, il laisse le champ libre aux interprétations les plus graves.”

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Un moment charnière pour sa carrière

Ce refus, qu’il soit d’ordre personnel, religieux, ou stratégique, pourrait bien marquer un tournant dans sa carrière. Jusqu’ici perçu comme l’un des visages les plus propres et consensuels du sport français, il risque désormais d’être associé à une forme de conservatisme silencieux.

Alors que de plus en plus d’athlètes s’engagent ouvertement sur les sujets de société — qu’il s’agisse du racisme, du sexisme ou de la cause LGBTQIA+ — son absence de prise de position pourrait le mettre à l’écart d’une nouvelle génération de sportifs plus militants et plus alignés avec les valeurs contemporaines.

Conclusion : une affaire loin d’être terminée

L’affaire ne fait que commencer. Les prochains jours seront décisifs. Un mot mal placé, un communiqué trop flou, une marque qui se retire… et c’est toute une carrière qui pourrait vaciller.

En 2025, peut-on encore être une icône publique sans s’engager ? La neutralité est-elle un luxe qu’on peut se permettre quand des millions de jeunes vous regardent, vous imitent, vous écoutent ?

Ce que l’on sait déjà, c’est que le public n’est plus dupe. Et que le monde réclame des positions claires. Face à l’homophobie, le silence ne protège plus — il accuse.