Entre larmes, silence et révélation : la phrase inattendue de la mère de Jean-Baptiste Marteau lors de son coming-out qui a bouleversé toute la famille devant les caméras de France 5
Dans un mélange d’émotion brute et de sincérité rare, Jean-Baptiste Marteau, journaliste bien connu des téléspectateurs de France 2, a ouvert une fenêtre intime sur sa vie privée, une vie où le courage, la peur et l’amour maternel se sont entrecroisés. À l’occasion de la sortie prochaine du documentaire Homos en politique, diffusé le 28 octobre sur France 5, le présentateur a accepté de se livrer comme jamais. Mais derrière le ton posé du professionnel se cache une histoire profondément humaine — celle d’un fils qui a dû affronter les regards, les jugements et, surtout, la peur de décevoir la personne qu’il aime le plus au monde : sa mère.
“Le premier truc qu’elle m’a dit…” : un aveu qui fend le cœur
Dans un entretien exclusif, Jean-Baptiste Marteau se souvient de ce moment suspendu dans le temps, celui où il a révélé à sa mère et à sa grand-mère qu’il était homosexuel.
« On a beaucoup hésité. Je me demandais comment le faire », confie-t-il. À travers ces mots, on imagine l’angoisse, la tension du silence avant la vérité. Puis vient la phrase — celle que tout enfant redoute ou espère.
“Le premier truc qu’elle m’a dit, c’est : ‘Mon fils va être malheureux.’”
Une simple phrase, mais lourde de tout l’amour d’une mère. Ce n’était pas un rejet, non, mais une peur viscérale. Peur que son fils souffre. Peur qu’il soit rejeté, moqué, freiné dans sa carrière.
« Elle savait que je rêvais d’être journaliste. Elle avait peur que ça me nuise », raconte-t-il, la voix tremblante mais apaisée, comme s’il revivait chaque seconde de cet instant.
Une mère entre douleur et protection
Pour cette mère, ce coming-out n’était pas une simple confidence : c’était une onde de choc. Élevée dans une génération où l’homosexualité restait taboue, elle a d’abord cru qu’il s’agissait d’une malédiction sociale.
Mais rapidement, les sentiments ont pris le dessus sur la peur. Le regard d’une mère ne change pas, même face à la surprise. Derrière les larmes et la confusion, il y avait avant tout la volonté de protéger son enfant contre un monde qui, elle le savait, pouvait être cruel.
Et aujourd’hui, Jean-Baptiste Marteau le dit avec tendresse :
« Maman a eu besoin de temps, mais elle est devenue ma plus grande alliée. »
Une grand-mère libre et lucide
Si la mère a eu besoin d’un temps d’adaptation, la grand-mère, elle, a réagi tout autrement.
« Au contraire, ma grand-mère l’avait pressenti avant tout le monde et me disait : ‘Bon, t’as pas quelque chose à me dire ?’ »
Avec un rire sincère, le journaliste se souvient de cette femme à la langue bien pendue, toujours un peu en avance sur son époque.
« C’est quelqu’un de très atypique, qui a toujours une parole très libre », dit-il, admiratif.
Cette grand-mère, pilier affectif et miroir de vérité, sera d’ailleurs présente dans le documentaire. Elle y apporte une touche d’humanité et de tendresse, rappelant qu’au-delà des débats politiques ou sociaux, il y a des familles, des histoires, des émotions.
Un documentaire qui brise les tabous
Homos en politique n’est pas un simple reportage : c’est un cri de vérité. Jean-Baptiste Marteau y rencontre des figures politiques françaises ouvertement homosexuelles — Gabriel Attal, Bertrand Delanoë, Sarah El Haïry, Jean-Luc Romero-Michel, Jean-Philippe Tanguy et Franck Riester.
À travers leurs témoignages, c’est toute une génération de personnalités qui racontent leur combat pour exister, aimer, et être respectées.
Mais ce qui frappe le plus, c’est le courage du journaliste lui-même. En osant exposer sa propre histoire, il devient bien plus qu’un observateur : il devient le témoin vivant d’un changement sociétal.
Un père comblé, un homme apaisé
Aujourd’hui, loin des tumultes du passé, Jean-Baptiste Marteau respire le bonheur. Il partage sa vie avec Jean de Reynal et est papa d’une petite fille prénommée Colette, née de son union précédente avec Bruno Loup.
Sur son compte Instagram, il n’hésite pas à montrer des moments de douceur : une promenade au soleil, un anniversaire, un éclat de rire. Le 18 août dernier, il célébrait les six ans de Colette sur l’île paradisiaque de Porquerolles, entouré de proches et d’amour.
« Elle est ma lumière, mon moteur », a-t-il écrit sous une photo pleine de tendresse.
Cette nouvelle vie, il la doit à sa force, mais aussi à ces deux femmes — sa mère et sa grand-mère — qui, chacune à leur manière, l’ont aimé sans conditions.

Le poids du silence, la puissance de la parole
En se livrant, Jean-Baptiste Marteau montre que le coming-out n’est jamais un acte anodin. Il est à la fois libération et douleur, peur et renaissance.
Beaucoup s’y reconnaîtront : ce moment où l’on révèle au monde — et surtout à ceux qu’on aime — une vérité qu’on a parfois cachée pendant des années.
Mais à travers son histoire, le journaliste rappelle aussi une évidence : l’amour familial, même bousculé, finit toujours par triompher.
Sa mère, aujourd’hui, est fière. Sa grand-mère, complice. Et lui, enfin, libre d’être pleinement qui il est.
Une leçon d’humanité
Au-delà du scandale ou du buzz médiatique, cette confession de Jean-Baptiste Marteau touche parce qu’elle sonne juste.
Elle parle à tous ceux qui, un jour, ont eu peur d’être jugés pour ce qu’ils sont.
Elle parle de ces familles françaises, parfois maladroites, mais profondément aimantes.
Elle parle d’un pays qui change, lentement, mais sûrement.
Et, dans un monde souvent bruyant et cynique, ces quelques mots — “Le premier truc qu’elle m’a dit…” — résonnent comme une prière.
Une prière d’amour, de compréhension, et d’acceptation.
🖋️ Jean-Baptiste Marteau, entre courage et tendresse, nous rappelle qu’aucun coming-out n’est anodin. Mais lorsqu’il est accueilli, même dans les larmes, par un “je t’aime” silencieux, il devient la plus belle des victoires.
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