Des contes sans fin, des secrets jamais révélés : Aurélie Cabrel brise le silence sur son enfance magique et mystérieuse auprès du légendaire Francis Cabrel, père et conteur infatigable

“Ca pouvait durer des mois” : l’enfance enchantée d’Aurélie Cabrel, entre guitare, contes et héritage d’un père mythique
Sous les lumières douces du Sud-Ouest, une petite fille grandissait dans un univers où la poésie se mêlait aux notes de guitare. Cette enfant, c’est Aurélie Cabrel, aujourd’hui âgée de 39 ans, fille du célèbre chanteur Francis Cabrel. Elle vient de livrer, dans une rare confession accordée au Parisien, des fragments d’une enfance suspendue entre rêve et réalité, entre l’ombre d’un père immense et la lumière de sa propre destinée.
Une enfance bercée par la musique et l’imaginaire
« J’étais une grande rêveuse, » confie Aurélie, un sourire dans la voix. Dans la maison familiale, les sons d’un piano et d’une guitare accompagnaient chaque moment de la journée. Mais ce n’était pas seulement la musique qui nourrissait son imaginaire – c’étaient aussi les histoires. Des histoires inventées par son père, ce conteur infatigable, qui transformait chaque soir en un voyage fabuleux.
« Mon père avait une imagination de dingue. Le soir, il nous racontait des histoires pas possibles avec ma sœur, et elles pouvaient durer des mois ! », se souvient-elle avec émotion. Ces récits infinis, où les deux petites filles devenaient les héroïnes de mondes enchantés, ont profondément marqué Aurélie. « Elles nous ont tant fait voyager… », ajoute-t-elle, les yeux perdus dans la nostalgie.

Un père pas comme les autres : le musicien devenu magicien
Francis Cabrel n’était pas seulement une star de la chanson française. Pour ses filles, il était avant tout un père attentif, un rêveur contagieux, un homme capable de transformer le quotidien en légende.
« Il a toujours tout fait pour être proche de nous, » raconte Aurélie, évoquant les soirées de lecture, les rires autour d’un livre, ou les moments de silence où son père, guitare à la main, testait un nouveau couplet.
Dans leur maison, les partitions s’empilaient comme des souvenirs, les refrains s’échappaient des fenêtres, et la poésie flottait dans l’air. « Il y avait toujours une guitare qui traînait, un piano… et lui, très grand bosseur, répétait sans cesse, » dit-elle. Ce dévouement a laissé une empreinte indélébile sur la jeune femme. « C’est là que j’ai compris que l’art n’était pas un caprice, mais une manière de respirer. »
Refuser l’héritage facile pour construire son propre nom
Malgré le poids d’un patronyme légendaire, Aurélie Cabrel n’a jamais voulu se reposer sur la renommée paternelle. « Je voulais me faire un nom toute seule », insiste-t-elle.
Dans un monde où la filiation artistique peut être une bénédiction ou un fardeau, Aurélie a choisi la voie la plus difficile : celle de l’indépendance.
Son père, pourtant, ne l’a jamais freinée. Il a simplement observé, avec bienveillance, sa fille tracer son chemin, loin des projecteurs familiaux.
« J’ai commencé à écrire des scénarios un peu effrayants, » confie-t-elle, amusée. Des courts-métrages filmés avec le caméscope paternel, des jeux d’enfant devenus apprentissage d’artiste. Là, entre rires et maladresses, naissait une vocation.
Les soirs de lecture : une tradition sacrée
Chez les Cabrel, la lecture du soir est presque un rituel sacré. Francis, passionné de mots autant que de musique, a transmis à ses filles le goût des belles histoires.
« Je me suis toujours attachée à lire de jolis livres à mes enfants, » expliquait-il déjà en 2021. Pour Aurélie, ces moments partagés autour d’un conte sont aujourd’hui des souvenirs d’une tendresse rare.
Chaque page tournée, chaque mot prononcé, semblait créer un lien invisible entre eux – un fil d’amour et d’imaginaire.
« Chez nous, c’était une vraie tradition, » se souvient-elle.
Et peut-être est-ce dans cette tradition que s’est forgé l’ADN artistique d’Aurélie : une alliance entre mots, mélodies et émotions.
Un héritage artistique, mais aussi émotionnel
Il serait trop simple de dire qu’Aurélie est “la fille de”.
Ce qu’elle a hérité de Francis Cabrel, ce n’est pas la gloire ni la fortune, mais une sensibilité rare, une rigueur de travail, et une foi absolue dans la beauté des choses simples.
Aujourd’hui, l’artiste marche dans les pas de son père, mais sans jamais effacer les siens. À la tête d’un spectacle qui lui tient à cœur, elle s’impose peu à peu comme une voix authentique, sincère, et profondément ancrée dans son époque.

Elle l’admet pourtant : “La musique est dans mes veines. Je n’ai pas choisi, c’est venu à moi.”
Des secrets encore gardés pour demain
Malgré sa générosité en confidences, Aurélie garde une part de mystère. Elle refuse de dévoiler les fameuses histoires inventées par son père.
« Je ne vais pas vous en parler, parce que j’adorerais les écrire un jour et les faire découvrir au monde, » glisse-t-elle avec un clin d’œil.
Un projet littéraire, peut-être ? Une promesse silencieuse à celui qui lui a appris à rêver.
Et on imagine sans peine que ces contes, tissés d’amour, de musique et de lune gasconne, seraient capables d’émouvoir la France entière.
Une filiation d’âme plus que de nom
Chez les Cabrel, la transmission n’est pas une question de sang, mais d’âme.
Francis a su, sans imposer son art, en faire un langage commun.
Aurélie, quant à elle, incarne cette nouvelle génération d’artistes qui portent la poésie comme une armure face au monde.
« Mon père m’a appris à écouter avant de parler, à rêver avant d’agir, » dit-elle doucement.
Et à travers elle, c’est un peu du génie discret de Francis Cabrel qui continue de chanter.
Épilogue : les contes d’hier, les chansons de demain
Dans la voix d’Aurélie, on entend encore les échos d’un piano, les histoires qui “pouvaient durer des mois”, et la tendresse infinie d’un père qui préférait les fables aux leçons.
Aujourd’hui, c’est elle qui écrit, qui chante, qui raconte. Et dans chaque mot, dans chaque note, on devine la même flamme – celle de la famille Cabrel, où le rêve n’a jamais cessé de durer.
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