« Ce n’est qu’à l’âge de 15 ans que j’ai compris… » : Laura Smet brise le silence et raconte enfin les secrets déchirants de son enfance marquée par l’absence, la distance et une relation bouleversante avec son frère David Hallyday

Ce n'est qu'à l'âge de 15 ans..." : Laura Smet (Surface) évoque ces années  de distance avec son frère David Hallyday - Purepeople

Une confession qui bouleverse le public

Laura Smet, fille de Johnny Hallyday et de Nathalie Baye, a toujours été l’objet de fascination pour le grand public français. Mais derrière l’image glamour et les sourires sur les tapis rouges, se cache une histoire familiale complexe, parfois douloureuse, que la comédienne de Surface vient de révéler avec une sincérité déconcertante.

Dans une interview récente, Laura est revenue sur son enfance solitaire, marquée par un manque criant de repères familiaux. Et c’est avec une phrase glaçante qu’elle a capté l’attention de tous :
« Ce n’est qu’à l’âge de 15 ans que j’ai compris ce qu’être une famille voulait vraiment dire. »

Photo : Johnny Hallyday ne se privait pas, d'ailleurs, de donner un avis  catégorique sur les garçons dont Laura Smet tombait amoureuse... Son mari  n'y a pas échappé Laura Smet, sa mère

La distance avec son frère David : une blessure ancienne

Beaucoup s’imaginent que Laura et David Hallyday, enfants du même père légendaire, ont grandi main dans la main. La réalité est tout autre. Leur relation a longtemps été marquée par une distance froide, presque un mur invisible construit par les aléas de leurs enfances respectives.

David, né en 1966, avait déjà une carrière musicale prometteuse et une vie bien remplie quand Laura est venue au monde en 1983. « Il était déjà adulte, il avait son propre univers », explique-t-elle. Résultat : pendant des années, leurs chemins ne se sont croisés que rarement, comme deux planètes orbitant autour du même soleil, mais à des kilomètres de distance.

Le poids d’un nom légendaire

Être « l’enfant de Johnny » n’a jamais été simple. Laura confie avoir grandi avec une impression d’étrangeté, presque d’isolement, dans une famille exposée aux regards et aux jugements.
« On attendait beaucoup de moi simplement parce que je portais le nom Hallyday », dit-elle. Mais derrière cette aura mythique se cachait une petite fille en quête de chaleur fraternelle.

C’est seulement à l’adolescence, autour de ses 15 ans, qu’elle a vraiment commencé à comprendre qui était son frère David, et à nouer un lien plus authentique avec lui.

Un apprentissage tardif de la fraternité

Laura raconte que cette prise de conscience fut à la fois belle et douloureuse. Belle, car elle découvrait enfin un frère qui partageait une partie de ses blessures, mais douloureuse, car elle réalisait aussi le temps perdu. « On aurait pu se connaître tellement plus tôt… » regrette-t-elle, la voix serrée.

David, lui aussi, avait vécu avec ses propres fractures familiales. Les absences répétées de Johnny, les séparations, les rumeurs incessantes de la presse… Tout cela avait contribué à créer des silences là où il aurait dû y avoir des dialogues.

Des retrouvailles fragiles mais sincères

Aujourd’hui, les relations entre Laura et David semblent apaisées, mais elles restent fragiles, à l’image d’un cristal que le temps a fissuré. Les deux partagent désormais un lien particulier, renforcé par les épreuves récentes, notamment après la mort de Johnny en 2017, qui a ravivé les tensions autour de l’héritage.

« Dans la douleur, on a appris à se retrouver », explique Laura. Mais elle avoue que ces retrouvailles ne gomment pas totalement les années de distance. « Il y a des cicatrices qui restent, même quand on pardonne. »

Ce n'est qu'à l'âge de 15 ans..." : Laura Smet (Surface) évoque ces années  de distance avec son frère David Hallyday : Le diaporama - Purepeople

L’héritage d’une enfance éclatée

Les confidences de Laura Smet résonnent particulièrement dans une France qui a suivi, parfois avec voyeurisme, la saga familiale Hallyday. Elles rappellent que derrière les projecteurs, il y avait des enfants qui grandissaient avec des absences, des non-dits, et des blessures invisibles.

Cette enfance morcelée a façonné Laura : « J’ai appris à être forte très jeune. J’ai appris à me construire seule. Mais il m’a manqué ce sentiment de cocon que d’autres ont eu. »

Le courage de dire les choses

Si ses révélations ont tant d’impact, c’est parce qu’elles viennent d’une femme qui a décidé de ne plus cacher ses failles. Laura assume désormais de montrer son passé tel qu’il est : complexe, imparfait, mais formateur.

Elle envoie aussi un message puissant : il n’est jamais trop tard pour renouer des liens, même quand la vie a imposé des années de silence.

Une histoire universelle derrière le nom Hallyday

Bien sûr, le nom attire les projecteurs. Mais ce que raconte Laura dépasse de loin la sphère des célébrités. C’est l’histoire de milliers de frères et sœurs séparés par les circonstances, de familles éclatées qui tentent malgré tout de se reconstruire.

En brisant le tabou, Laura Smet humanise son propre destin et offre à ceux qui l’écoutent une résonance intime. Elle montre que même derrière un nom légendaire, les blessures de l’enfance restent les mêmes que pour tout le monde.


Conclusion : Un cri du cœur qui marque une génération

Avec cette confession, Laura Smet n’a pas seulement livré un fragment de sa vie privée. Elle a tendu un miroir à toute une génération d’enfants de parents absents, de frères et sœurs éloignés, de familles recomposées.

Ses mots, simples mais puissants, résonnent comme un appel à la réconciliation et à la vérité. Car derrière l’icône qu’elle est devenue, il y a toujours cette adolescente de 15 ans qui découvre avec douleur et émerveillement ce que signifie réellement avoir un frère.