Caroline Roux brise le silence : pourquoi elle a refusé le trône sacré du 20 Heures de France 2, son message secret à Léa Salamé et ses révélations explosives

Je lui ai envoyé un message" : Caroline Roux a refusé de présenter le JT de  20 heures sur France 2, son avis sur les débuts de Léa Salamé

Caroline Roux, une décision qui surprend la France médiatique

Le 20 Heures de France 2. Trois mots qui résonnent comme une institution, presque un Graal dans l’univers journalistique français. Depuis des décennies, cette tranche horaire symbolise le pouvoir médiatique ultime : parler chaque soir à des millions de téléspectateurs, tenir dans ses mains l’agenda de l’information nationale et internationale.

Télévision. Pourquoi l'Iséroise Caroline Roux a refusé la présentation du 20  Heures de France 2

Alors, quand Caroline Roux, journaliste respectée, figure familière des plateaux de France Télévisions, a révélé qu’elle avait délibérément refusé de prendre les commandes du JT de 20 Heures, la France des médias a retenu son souffle. Pourquoi dire non à ce qui apparaît comme le couronnement d’une carrière ? La réponse de Roux, teintée de franchise et d’un brin de provocation, a de quoi surprendre.


« J’ai envoyé un message » : un aveu inattendu

Tout est parti d’une confidence lors d’une interview qui se voulait pourtant anodine. Interrogée sur son parcours, Caroline Roux a lâché une bombe :

« Oui, on me l’a proposé… mais j’ai refusé. »

Et d’ajouter, presque malicieusement :

« J’ai envoyé un message à Léa Salamé. »

Une phrase courte, énigmatique, mais qui en dit long. Car derrière ces mots se cache non seulement une décision personnelle, mais aussi une vision claire de ce que doit être, ou ne pas être, le rôle d’un journaliste aujourd’hui.


Refuser le trône du 20 Heures : un choix stratégique ou une rébellion ?

Accepter le 20 Heures, c’est entrer dans une cage dorée. La notoriété, la puissance, la reconnaissance… mais aussi la contrainte, la rigidité, le poids écrasant d’un rendez-vous quotidien où chaque erreur se paie cash.

Caroline Roux, connue pour sa liberté de ton dans C dans l’air ou Les 4 vérités, aurait-elle craint de perdre cette spontanéité ? Selon plusieurs observateurs, oui. Le 20 Heures, c’est la solennité, le cadre figé, la mise en scène presque militaire de l’actualité. Pas sûr que le style incisif et analytique de Roux y trouve sa place.

« C’est une décision courageuse, analyse un proche du service public. Beaucoup auraient accepté par ego ou par ambition. Elle, elle a dit non, car elle savait que ce n’était pas fait pour elle. »


Léa Salamé, la destinataire d’un message secret

Mais que vient faire Léa Salamé dans cette affaire ? C’est la deuxième révélation choc de Caroline Roux. « J’ai envoyé un message », confie-t-elle, évoquant sa consœur.

Il ne s’agit pas d’un conflit ouvert, bien au contraire. Roux aurait voulu faire comprendre à Salamé qu’elle n’était pas une rivale, qu’elle respectait son travail et qu’elle refusait d’entrer dans une guerre de succession médiatique.

Car dans le petit monde des journalistes vedettes, les rivalités sont légion. Chaque nomination est scrutée, chaque sourire interprété, chaque absence commentée. Roux, en envoyant ce fameux message, aurait tenté de couper court aux spéculations : pas de duel, pas de jalousie, pas de trahison.


La face cachée du 20 Heures

Derrière cette affaire se cache aussi une réalité méconnue du grand public : le 20 Heures n’est pas toujours le rêve qu’on imagine. La pression est immense, les critiques permanentes, les chiffres d’audience obsédants.

« On vous sacre le soir de la nomination, mais le lendemain vous êtes seul face aux millions de téléspectateurs », résume un ancien présentateur.

Pour Caroline Roux, cette solitude, ce poids, cette exposition permanente ne correspondaient pas à sa conception du journalisme. Elle préfère débattre, analyser, décrypter, plutôt que de lire froidement un prompteur.


Un choix féministe ?

Certaines voix s’élèvent pour voir dans ce refus un geste féministe. Depuis toujours, le JT de 20 Heures reste dominé par des figures masculines : Patrick Poivre d’Arvor, David Pujadas, Gilles Bouleau, Laurent Delahousse…

Certes, des femmes y ont brillé, de Christine Ockrent à Anne-Sophie Lapix. Mais accepter ce rôle, c’est aussi endosser une charge symbolique énorme : représenter la voix de la vérité chaque soir.

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Roux aurait-elle voulu éviter de devenir « la femme du 20 Heures », une étiquette trop lourde, qui aurait écrasé tout le reste de sa carrière ?


Les réactions : admiration ou incompréhension

Dans la profession, les réactions ne se sont pas fait attendre. Certains saluent un geste rare, presque iconoclaste. « Caroline a fait preuve d’une liberté incroyable », commente un rédacteur en chef parisien.

D’autres, au contraire, y voient une erreur stratégique. « On ne refuse pas le 20 Heures ! C’est comme dire non à l’Élysée pour un homme politique », ironise un chroniqueur.

Le public, lui, semble partagé. Sur les réseaux sociaux, certains internautes applaudissent son courage, d’autres l’accusent de mépriser une fonction prestigieuse.


Caroline Roux, l’anti-star par excellence

Finalement, ce qui ressort de cette affaire, c’est l’image d’une journaliste à contre-courant. Là où beaucoup cherchent la lumière, Caroline Roux choisit l’ombre relative. Là où beaucoup rêvent de pouvoir, elle revendique la liberté.

Ce choix, loin de la fragiliser, pourrait bien renforcer son aura. En refusant le 20 Heures, elle s’affirme comme une journaliste différente, capable de dire non, capable de suivre son instinct plutôt que l’attrait du prestige.


Une décision qui fera date

Qu’on l’admire ou qu’on la critique, une chose est certaine : le refus de Caroline Roux restera dans les annales du paysage audiovisuel français. Car rares sont ceux qui osent tourner le dos à une telle opportunité.

Son message à Léa Salamé, sa franchise désarmante, sa vision du journalisme… tout cela dessine le portrait d’une femme qui refuse d’être enfermée dans un rôle écrit d’avance.

Le 20 Heures de France 2 continuera, avec ou sans elle. Mais l’histoire retiendra que, cette fois, le Graal n’a pas séduit la chevalière.