Brisée mais pas seule : Faustine Bollaert révèle l’homme secret qui l’a sauvée après la fin de son mariage avec Maxime Chattam – un amour fraternel plus fort que tout

Sous les projecteurs, Faustine Bollaert a toujours incarné la douceur, la bienveillance et cette sincérité rare qui touche le public en plein cœur. Mais derrière son sourire lumineux et sa voix apaisante, l’animatrice de “Un jour, une vie” a récemment traversé une tempête intime. Après des années d’un mariage que beaucoup croyaient indestructible, la séparation avec l’écrivain Maxime Chattam a bouleversé la perception que les Français avaient du couple. Pourtant, alors que d’autres se seraient murés dans le silence, Faustine a choisi la vérité, la tendresse et surtout, l’amour inconditionnel d’un homme… pas comme les autres.

Ce samedi 11 octobre 2025, sur RTL, dans l’émission “On refait la télé”, la journaliste a confié, la voix tremblante mais le regard franc :

« C’est l’homme de ma vie… mon frère. »

Un aveu simple, presque enfantin, mais chargé d’une émotion pure. Car oui, au moment où son monde s’effondrait, c’est son frère Charles, installé depuis plusieurs années aux États-Unis, qui a su la porter, la protéger, la “couver” — selon ses propres mots.

💔 Une séparation sous le feu des projecteurs

Lorsque, en juillet dernier, le magazine Voici a confirmé la fin du mariage entre Faustine Bollaert et Maxime Chattam, la France entière a eu du mal à y croire. Pendant plus de dix ans, ils avaient formé l’un des couples les plus admirés du paysage médiatique : elle, figure emblématique de la télévision, symbole de douceur et d’écoute ; lui, auteur à succès, mystérieux et cérébral. Ensemble, ils semblaient indestructibles.

Mais la réalité, comme souvent, est plus nuancée. Faustine n’a jamais voulu entrer dans les détails ; elle a simplement choisi le silence, accompagné d’un message symbolique sur Instagram : la photo de deux petites filles se tenant la main sur une plage, avec ces mots :

« Le cœur des petites filles… »

Un message poétique, presque codé, qui disait tout sans rien dévoiler : la fragilité, la nostalgie, et surtout, la tendresse d’une femme qui refuse le cynisme, même face à la douleur.

👨‍👧 “Il me couve beaucoup” : le frère, ce refuge inattendu

Face à la tempête médiatique, Faustine a trouvé refuge dans un lien plus fort que tout : celui de la fraternité. Son frère Charles, qu’elle décrit comme “hyper timide, hyper pudique, mais tellement fier d’elle”, est devenu son pilier.

Dans l’extrait diffusé par Télé-Loisirs, elle confie :

« On s’appelle énormément, on s’envoie des messages tous les jours. Je pense que c’est la personne à qui je dis le plus que je l’aime. »

Ces mots, simples mais bouleversants, révèlent une complicité rare. Malgré la distance — Charles vit désormais aux États-Unis — leur lien est resté intact. Un amour fraternel qui a résisté au temps, à la maladie, et aux épreuves de la vie.

🌧️ Une épreuve qui les a changés à jamais

Leur relation fusionnelle ne date pas d’hier. En mars 2024, Faustine avait déjà évoqué, dans une interview accordée au Parisien, la maladie grave que son frère avait traversée lorsqu’il était plus jeune. Une période douloureuse, où la jeune femme s’était transformée, dit-elle, en “grande sœur, en maman parfois”.

Cette épreuve a scellé entre eux un pacte silencieux, une forme d’amour indestructible. “Nous sommes fusionnels, très complices”, confiait-elle alors. “Même s’il vit aujourd’hui loin, il reste ma boussole.”

Et c’est justement cette boussole qui l’a empêchée de se perdre quand son mariage a pris fin.

🌅 Un nouveau départ tout en pudeur

Aujourd’hui, Faustine Bollaert ne parle plus de rupture, mais de renaissance. Elle continue de se lever chaque matin pour animer “Un jour, une vie” sur RTL, avec cette voix douce que les auditeurs reconnaissent entre mille. Elle enregistre aussi des entretiens dans sa série YouTube Safe Zone, où elle offre un espace d’écoute sincère à ceux qui n’en ont pas.

Mais ceux qui la connaissent savent : derrière chaque mot se cache une histoire personnelle. En aidant les autres à se confier, Faustine se reconstruit elle-même. Elle transforme la douleur en force, le silence en message d’espoir.

Sur les réseaux sociaux, elle partage parfois des bribes de sa nouvelle vie : des couchers de soleil, des moments avec ses enfants Peter et Abbie, ou encore une photo d’un sourire retrouvé, celui d’une femme qui a décidé de ne plus se définir par ce qu’elle a perdu, mais par ce qu’elle continue d’aimer.

❤️ Une histoire d’amour… autrement

Le public, d’abord surpris par la confession “C’est l’homme de ma vie, mon frère”, a compris que derrière cette phrase se cachait une vérité universelle : l’amour ne se résume pas à la romance. Il peut être fraternel, protecteur, infini.

Car dans une société obsédée par les ruptures et les scandales, Faustine Bollaert rappelle une leçon simple : on peut tomber, souffrir, douter, mais tant qu’il existe un lien d’amour — qu’il soit familial ou amical — on n’est jamais vraiment seul.

Dans un monde où l’intimité est constamment scrutée, elle a choisi la pudeur. Pas de déballage, pas de règlements de comptes publics. Juste la vérité du cœur.

🌻 “Pour lui, je suis sa petite frangine…”

La phrase a fait sourire les auditeurs : “Pour lui, je suis sa petite frangine… quand il revient en France, il a un peu le vertige.” Une phrase tendre, presque enfantine, qui résume à elle seule la relation entre Faustine et Charles.

Deux âmes liées par la vie, séparées par l’océan, mais reliées par un amour sans condition. Et si cette complicité semble aujourd’hui être le socle sur lequel Faustine reconstruit son bonheur, c’est aussi une leçon pour tous ceux qui la regardent : parfois, les véritables histoires d’amour ne se vivent pas dans les bras d’un partenaire, mais dans la fidélité silencieuse d’un frère, d’une sœur, ou d’un ami.

🌈 Conclusion : une femme debout

Quelques mois après l’annonce de sa séparation, Faustine Bollaert se tient debout, lumineuse, entière. Elle ne cherche pas la pitié ni la revanche, mais simplement la paix. Et dans cette paix, il y a le rire de ses enfants, la présence discrète de son frère, et la certitude que la vie continue, autrement.

À travers ses mots, ses silences et ses regards, Faustine incarne aujourd’hui bien plus qu’une animatrice : elle est devenue le symbole d’une résilience douce, d’une élégance émotionnelle rare.
Et si elle a perdu un mari, elle a retrouvé, peut-être, quelque chose de plus précieux encore : elle-même.