Apolline de Malherbe, mère courage de quatre enfants, révèle ses secrets inattendus pour survivre à la rentrée scolaire : entre chaos, organisation militaire et confidences jamais entendues

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La rentrée scolaire est toujours un moment chargé d’émotions, de stress et d’organisation pour tous les parents. Mais lorsqu’on s’appelle Apolline de Malherbe, journaliste phare de BFMTV, et que l’on doit jongler entre une carrière exigeante et quatre enfants, le défi prend une toute autre dimension. Dans une interview récemment accordée, la journaliste s’est confiée sans filtre sur son quotidien, révélant ses méthodes parfois étonnantes – et très humaines – pour garder la tête hors de l’eau à cette période cruciale de l’année.

Une rentrée pas comme les autres

Le mois de septembre, pour Apolline, ne se résume pas à une reprise des débats politiques à l’antenne. C’est d’abord la valse des fournitures scolaires, des réunions de parents, des horaires à coordonner et des plannings à jongler.
« Je fais comme beaucoup de parents », avoue-t-elle, consciente que malgré sa notoriété, elle partage les mêmes galères que la plupart des familles françaises.

Et c’est bien là que réside la surprise : derrière l’image de la journaliste brillante et combative, se cache une mère qui, comme tant d’autres, doit improviser pour gérer le chaos d’une maison pleine de vie.

Apolline de Malherbe : connaissez-vous le célèbre père de la journaliste ?

Quatre enfants, quatre personnalités, quatre emplois du temps

Ses enfants – dont les âges varient et qui sont chacun à des étapes différentes de leur scolarité – représentent pour elle une source de joie immense, mais aussi une véritable équation logistique.
Entre les devoirs du soir, les activités extra-scolaires, les petites disputes fraternelles et les imprévus, Apolline explique devoir « s’organiser comme une cheffe d’état-major ».

Chaque matin ressemble à un marathon : réveiller tout le monde, préparer les petits-déjeuners, vérifier les sacs et courir pour ne pas rater la cloche de l’école. « Il m’arrive de souffler une fois seule dans la voiture, avant de foncer en plateau », confie-t-elle avec humour.

Le soutien d’une “armée de l’ombre”

La journaliste ne cache pas qu’elle ne pourrait pas tout faire seule. Entre le père de ses enfants, les proches, et parfois un peu d’aide extérieure, elle a su mettre en place un réseau solide.
« On ne peut pas être partout à la fois, et c’est une illusion de croire qu’on peut tout réussir parfaitement », admet-elle.

Ce constat, beaucoup de parents s’y reconnaissent : assumer une vie professionnelle intense tout en restant disponible pour ses enfants est un exercice d’équilibriste. Apolline ose dire ce que beaucoup taisent : la culpabilité existe, mais elle ne doit pas dominer.

Le poids de la culpabilité parentale

Dans ses confidences, la journaliste évoque ce sentiment de ne jamais en faire assez. « Quand je pars travailler tôt, je culpabilise de ne pas avoir pris plus de temps le matin. Quand je rentre tard, je culpabilise de ne pas avoir dîné avec eux », explique-t-elle.
Ce dilemme universel touche une corde sensible. Car derrière l’image publique d’une femme forte et éloquente, il y a une mère qui doute, qui s’inquiète, et qui cherche, comme toutes les autres, à trouver le bon équilibre.

Une rentrée sous tension… et pleine d’anecdotes

La journaliste raconte aussi les petits imprévus qui viennent pimenter la rentrée : un cahier oublié, une chaussure introuvable au moment de partir, ou encore une crise de larmes de dernière minute.
« Ces moments-là, je les prends maintenant avec humour », confie-t-elle. Car après tout, ces galères du quotidien sont aussi celles qui, avec le recul, deviennent les souvenirs les plus marquants.

Le regard des téléspectateurs

Ce qui frappe dans les confidences d’Apolline, c’est la sincérité. Les téléspectateurs, habitués à la voir poser des questions incisives aux politiques, découvrent une facette plus intime et vulnérable. Et cette proximité séduit. Sur les réseaux sociaux, de nombreux parents ont réagi en saluant son authenticité.
« Merci Apolline de dire tout haut ce que beaucoup vivent en silence », a écrit une internaute.

Le secret d’Apolline : accepter l’imperfection

Si elle devait résumer son approche, Apolline parlerait d’acceptation. « J’ai compris qu’il fallait arrêter de courir après la perfection », dit-elle.
Oui, parfois les repas ne sont pas équilibrés. Oui, parfois les devoirs sont bâclés. Oui, parfois elle s’endort avant d’avoir répondu à tous les mails. Mais c’est ça, la vraie vie, rappelle-t-elle.

Apolline de Malherbe "parfois épuisée" entre ses émissions et ses 4 enfants,  elle explique comment elle arrive à tout gérer - Purepeople

Cette philosophie lui permet d’alléger la pression et de savourer les instants importants : un sourire au réveil, un câlin à l’heure du coucher, ou un fou rire autour de la table.

Le parallèle avec son métier

Fait surprenant, Apolline explique que son rôle de mère nourrit aussi sa carrière de journaliste. La patience, l’écoute et la capacité à gérer des situations tendues sont des compétences qu’elle exerce aussi bien sur un plateau de télévision qu’à la maison.
« Finalement, interroger un ministre ou négocier avec un enfant de 8 ans pour qu’il mette ses chaussures, ça demande la même énergie », plaisante-t-elle.

Une leçon universelle

L’histoire d’Apolline de Malherbe dépasse son cas personnel. Elle illustre la réalité de milliers de parents français, partagés entre leurs ambitions professionnelles et leur rôle de père ou de mère. En s’exprimant sans tabou, elle met en lumière une vérité : il n’existe pas de recette miracle. L’essentiel est de faire de son mieux, avec les moyens dont on dispose, et d’accepter les imperfections.

Conclusion : la rentrée comme miroir de nos vies

La rentrée d’Apolline de Malherbe est un condensé de la vie moderne : stressante, épuisante, mais aussi pleine de tendresse et de petites victoires. En partageant ses confidences, elle ne cherche pas à donner de leçons, mais à rappeler que derrière chaque façade publique, il y a une réalité familiale complexe, faite de compromis et de moments imparfaits.

Et peut-être est-ce cela, finalement, le véritable message : au lieu de viser la perfection, il faut apprendre à savourer l’essentiel – même au milieu du chaos d’une rentrée scolaire à quatre enfants.