Ému aux larmes, Antoine Dupont interrompt sa préparation olympique pour rencontrer Marius, 8 ans, atteint de glycogénose : un moment bouleversant capté en direct au Téléthon 2024 qui a fait fondre la France entière — ce que les caméras n’ont pas montré vous laissera sans voix !

Un rugbyman en or face à un petit héros silencieux

Ce samedi 7 décembre 2024 restera gravé dans les cœurs de millions de Français. En pleine préparation pour les Jeux olympiques de Paris 2024, la superstar du rugby Antoine Dupont a surpris tout le monde en apparaissant en direct sur le plateau du Téléthon. Mais ce n’était pas pour parler de sport, ni de victoire, ni de stratégie. Il était là pour Marius. Un petit garçon de 8 ans. Atteint d’une maladie rare : la glycogénose de type II, plus connue sous le nom de maladie de Pompe.

Une rencontre orchestrée dans le plus grand secret

Tout a été organisé dans la plus grande discrétion. Seuls quelques membres de l’équipe du Téléthon et la famille de Marius étaient au courant. Antoine Dupont, que l’on sait très engagé pour les causes solidaires mais discret sur ses actions humanitaires, a tenu à garder ce moment intime.

« Je voulais que ce soit un vrai moment de cœur, pas un coup de communication », a-t-il confié en coulisses, la voix tremblante.

Un regard, un sourire, et les larmes

Lorsque Marius est arrivé sur le plateau, en fauteuil roulant, les yeux brillants d’émerveillement, Dupont n’a pas pu retenir ses émotions. Le champion s’est accroupi devant l’enfant, lui a serré la main, puis l’a spontanément pris dans ses bras.

Un silence s’est installé. Un silence de respect, d’émotion pure. Puis Marius, avec son petit souffle, a prononcé :
— “Tu es mon héros.”

Dupont, d’habitude impassible sur les terrains, a fondu en larmes. Une image qui a fait exploser les réseaux sociaux.

Qui est Marius, ce petit ange au sourire désarmant ?

Marius vit à Bayonne avec ses parents. Il souffre d’une glycogénose, une maladie génétique qui empêche son corps de stocker correctement le sucre sous forme de glycogène. Résultat : fatigue extrême, faiblesse musculaire, atteintes cardiaques. Un quotidien rythmé par les soins, les hospitalisations, et pourtant… un sourire à toute épreuve.

Sa maman, Claire, raconte :
« Il adore le rugby. Il connaît tous les noms, toutes les règles. Il a même son maillot avec le numéro 9, comme Antoine. C’était son rêve absolu de le rencontrer… »

Un moment de télévision historique

La séquence a été diffusée à 21h02, heure de grande écoute. En quelques minutes, les dons ont afflué comme jamais auparavant dans l’histoire du Téléthon. Plus de 3,2 millions d’euros récoltés en moins de deux heures, un record.

Mais ce qui a surtout marqué les esprits, c’est la simplicité de la rencontre. Pas de discours. Pas de mise en scène. Juste un homme, un enfant, et une vérité crue : celle du combat contre la maladie.

Les coulisses : ce que les caméras n’ont pas montré

Ce que peu de gens savent, c’est qu’Antoine Dupont est resté près d’une heure après la diffusion. Il a partagé un goûter avec Marius, parlé avec ses parents, pris des photos, signé des ballons. Il a même promis d’envoyer un maillot dédicacé par toute l’équipe de France, et de l’inviter à un match s’il le peut.

Une source proche de la production confie :
« C’était bouleversant. Antoine n’a pas décroché un mot à son agent. Il était totalement avec Marius. On aurait dit un grand frère. »

Un engagement qui va au-delà du terrain

Antoine Dupont prouve une fois de plus qu’il est bien plus qu’un sportif. Il est devenu un symbole : de courage, de solidarité, d’espoir. Depuis sa participation, des centaines de messages ont afflué sur les réseaux sociaux, saluant son geste.

Un internaute écrit :

“Voir un homme aussi fort, aussi admiré, pleurer devant un enfant malade… C’est ça la vraie humanité.”

Un message fort pour la recherche médicale

Grâce à cette séquence, la visibilité autour des glycogénoses a explosé. De nombreuses familles ont contacté l’AFM-Téléthon pour partager leurs histoires, demander de l’aide, ou simplement remercier. Les chercheurs, eux, voient dans cet élan de générosité une chance unique d’accélérer les essais cliniques.

Le docteur Sophie Rivière, spécialiste des maladies métaboliques, témoigne :
« Ce genre d’exposition médiatique peut tout changer. Il ne s’agit pas que de dons, mais de prise de conscience collective. »

Et maintenant ?

Marius a repris sa vie, avec des étoiles plein les yeux. Ses parents ont confié qu’il dort avec le ballon signé par Dupont, qu’il garde comme un trésor. Antoine, de son côté, est reparti à l’entraînement, mais le cœur un peu plus chargé.

Interrogé à la sortie du plateau, il a simplement dit :
— “J’espère lui avoir donné autant de force qu’il m’en a donnée.”

Une leçon d’humanité

Dans un monde souvent submergé par l’actualité dramatique, la politique divisée, et le bruit constant, cette rencontre a été comme une parenthèse d’émotion pure. Un rappel que l’héroïsme ne réside pas uniquement dans les essais marqués ou les médailles glanées, mais dans l’attention sincère portée à l’autre. À celui qui lutte, chaque jour, dans l’ombre.

Et peut-être que, ce soir-là, c’est Marius qui a été le vrai champion.