Antoine Dupont investit en secret dans un club américain, bouleverse le rugby mondial et mise sur un empire aux USA avec des légendes du foot et du rugby

Antoine Dupont change les règles du jeu : De star du XV de France à magnat du rugby américain

Le monde du rugby n’était pas prêt. Alors que la Major League Rugby (MLR) approche de sa phase finale, une annonce retentissante a secoué les terrains comme une mêlée improvisée en prolongation : Antoine Dupont, capitaine du XV de France et icône mondiale de l’ovalie, vient d’investir dans le Rugby Football Club Los Angeles (RFCLA). Une décision audacieuse, visionnaire et surtout lourde de conséquences pour l’avenir du rugby… aux États-Unis.

Quand la légende entre en affaires

Ce n’est pas un simple partenariat, ni un coup de communication. Dupont intègre officiellement le cercle très fermé des propriétaires minoritaires du RFCLA, une franchise en pleine ascension qui ne cesse de faire parler d’elle. Après avoir affronté les Fijian Drua – équipe de Super Rugby – en février dernier, voilà qu’elle accueille l’un des plus grands noms du rugby moderne… non pas comme joueur, mais comme stratège de l’ombre.

Antoine Dupont, actuellement en convalescence après une grave blessure au genou lors du Tournoi des Six Nations, n’a pas perdu de temps. Loin de se laisser abattre, le demi de mêlée transforme son temps d’arrêt en tremplin stratégique. À seulement 28 ans, il montre qu’il pense déjà à l’après-carrière — et pas n’importe comment.

Un coup d’éclat avec des partenaires hors normes

Dupont n’est pas seul dans cette aventure. Il rejoint une constellation de stars : Ma’a Nonu (double champion du monde avec les All Blacks), Marshawn Lynch (légende de la NFL), et Nate Ebner (ancien joueur NFL et olympien en rugby à 7). Ce quatuor improbable symbolise l’union explosive entre rugby, football américain et vision entrepreneuriale.

Ces icônes, issues de cultures sportives différentes, misent sur la même ambition : faire exploser le rugby aux États-Unis. Et selon Pete Sickle, PDG du RFCLA, la venue de Dupont est « un moment charnière » pour le rugby américain.

« Il ne s’agit pas seulement de business. Antoine partage nos valeurs : passion, rigueur, humilité. Il veut bâtir un rugby populaire, accessible, et durable. »

Pourquoi ce choix fait trembler l’Europe

La France perd-elle sa plus grande star au profit d’une ligue naissante ? Pas encore, mais la symbolique est forte. Dupont a été vu portant une casquette RFCLA au Stade de France. Un signe ? Une provocation ? Ou simplement un avertissement aux institutions européennes trop rigides pour rêver plus grand ?

Ce mouvement pourrait inspirer d’autres joueurs stars à investir dans des marchés émergents. Car ce que les États-Unis manquent en tradition, ils le compensent en infrastructures, investissements massifs et soif de spectacle.

Et surtout : le rugby US attire de plus en plus de jeunes. En 2024, le pays a enregistré une croissance de +17% dans les inscriptions aux clubs de rugby pour les 13-18 ans.

Un timing parfait pour un empire à bâtir

Dans trois ans, Los Angeles accueillera les Jeux Olympiques de 2028. Le rugby à 7 y jouera un rôle central. Dupont, entrepreneur précoce, sait que c’est le moment idéal pour asseoir sa marque et ses idées. Lui qui a toujours milité pour un rugby moderne, dynamique, pourrait bien trouver dans le modèle américain un terrain de jeu sans limite.

Et ce n’est que le début : certains bruits courent qu’un documentaire est en préparation autour de son aventure américaine. Objectif : démocratiser le rugby à travers les médias, les réseaux et les partenariats croisés avec d’autres sports.

Old Glory DC électrise la ligue

En parallèle de cette annonce choc, une autre équipe fait trembler la conférence Est : Old Glory DC. L’équipe dirigée par Simon Cross a réussi un exploit rare : deux victoires consécutives en seulement cinq jours, engrangeant dix points cruciaux dans la course aux play-offs.

Avec un effectif renforcé par d’anciens joueurs du Super Rugby, comme un ex-Higlanders en grande forme, Old Glory s’installe comme une menace sérieuse pour les favoris. La dynamique est claire : la MLR entre dans une phase d’intensité jamais vue.

Le rugby américain, nouveau Far West des investisseurs ?

La présence de Dupont dans le paysage rugbystique américain rebat les cartes. Les clubs européens pourront-ils suivre cette vague ? Ou risquent-ils de voir leurs talents fuir vers des franchises où l’innovation prime sur la tradition ? Une chose est sûre : les regards sont désormais tournés vers la MLR, qui attire non seulement les talents mais aussi les capitaux.

Selon les analystes sportifs, le geste de Dupont pourrait accélérer l’arrivée de sponsors européens aux États-Unis. Certains évoquent même une future ligue mondiale hybride, où la MLR jouerait un rôle pivot.

Conclusion : un avenir dessiné au-delà de la ligne d’essai

Ce que réalise Antoine Dupont aujourd’hui n’est pas un simple investissement. C’est un message. Une déclaration d’intention. Une ouverture vers un rugby globalisé, où les frontières entre nations s’effacent au profit d’un projet commun : faire du rugby un sport universel.

Et si l’on en croit la vitesse à laquelle les billets s’arrachent pour les prochains matchs du RFCLA, le pari est déjà en train de porter ses fruits.