Accusé de crimes, en pleine tempête médiatique, Slimane bouleverse la France entière avec une chanson déchirante sur Gaza — même Vitaa fond en larmes en l’écoutant

Slimane brise le silence : entre accusations, désespoir et cri du cœur, une chanson qui bouleverse tout un pays

Paris, juillet 2025 — Silence pesant, regards fuyants, carrière figée. Depuis plusieurs mois, Slimane n’était plus que l’ombre de lui-même. Accusé d’agression sexuelle et de harcèlement à la fin de l’année 2024, le chanteur avait choisi de disparaître du paysage médiatique. Mais ce 23 juillet 2025, un tremblement d’émotion a parcouru la toile : Slimane est de retour. Et pas n’importe comment. Il revient avec une chanson si puissante, si viscérale, qu’elle a retourné le cœur de ses fans, de ses détracteurs… et même celui de sa fidèle amie, la chanteuse Vitaa.

Une disparition brutale… et une réapparition bouleversante

Depuis décembre dernier, plus aucune interview, plus aucun plateau télé. Slimane, d’habitude si expressif et si proche de son public, s’était enfermé dans un mutisme rare. Son dernier post Instagram, une citation d’Albert Camus, laissait planer un goût amer de fatalisme : “Au milieu de l’hiver, j’ai découvert en moi un invincible été.”

Mais ce 22 juillet, lors du prestigieux Festival Mawazin à Rabat, le silence s’est brisé. Slimane est monté sur scène. Et là, à la surprise générale, au milieu de ses plus grands tubes, il interprète une chanson totalement inédite : “À quoi je sers ?” Un titre sobre, mais lourd de sens.

Slimane - Si je pouvais t'appeler encore, Papa - YouTube

“À quoi je sers ?” : un cri qui déchire le cœur

Dès les premières notes, c’est le silence. Pas un mot dans le public. Juste un piano. Une voix tremblante. Et des paroles qui frappent comme un uppercut.

“À quoi je sers quand je vois des enfants crever,
Et que je ne peux rien faire à part en parler…”

Impossible de rester insensible. Slimane ne cache rien : sa douleur, sa colère, son impuissance face au monde en feu. Le conflit israélo-palestinien, les enfants noyés en Méditerranée, les familles déchirées. C’est une chanson de rage, d’humanité, de désespoir pur.

Et dans cette nuit marocaine, Slimane, sans jamais nommer les choses directement, parle pourtant de tout. Du sang. Des larmes. De cette douleur qui le ronge depuis des mois.

Vitaa en larmes : l’amitié plus forte que la tempête

Mais le choc ne s’arrête pas là. Quelques heures après la prestation, Slimane publie un extrait de la chanson sur Instagram. Et en dessous, un commentaire en apparence simple : un émoji en pleurs. Signé… Vitaa.

Slimane – Tu m’as aimé comme si c’était passager (Chanson déchirante  officielle)

Un symbole fort. Depuis des années, Vitaa est la confidente, la partenaire musicale, la sœur de cœur de Slimane. Même quand les accusations ont surgi, elle ne l’a jamais publiquement abandonné. Et ce commentaire, silencieux mais éloquent, en dit long sur la force de leur lien — et sur l’impact de cette chanson.

Une carrière en pause… ou un nouveau départ ?

Cela fait maintenant près d’un an que Slimane est absent des radars. Ses projets musicaux suspendus, ses collaborations interrompues, son image entachée. Pourtant, “À quoi je sers ?” semble avoir rallumé une flamme. Le morceau, encore inédit, est déjà partagé des milliers de fois sur les réseaux sociaux.

Des fans émus, des anonymes bouleversés, mais aussi des personnalités qui saluent le courage artistique de l’auteur-compositeur. Dans un monde saturé de divertissement superficiel, Slimane ose encore chanter l’insoutenable. Il ose poser LA question :

“Et maintenant on fait quoi ? On fait quoi ?
Oh, mais répondez-moi, on fait quoi ?”

Un coup de poing émotionnel… mais aussi politique

Derrière la voix douce, il y a une colère sourde. Une urgence. Une vérité que peu d’artistes osent encore porter. La chanson ne se contente pas d’émouvoir. Elle accuse. Elle questionne notre inaction. Elle met en lumière les chiffres terrifiants que l’on préfère oublier : 14 500 enfants tués à Gaza selon les dernières estimations de l’ONU. Plus que dans toutes les guerres mondiales sur quatre ans.

Slimane, par sa chanson, transforme ces données brutes en une douleur palpable. Il leur donne une voix. Et cette voix, c’est la sienne.

Une rédemption artistique… mais pas encore publique ?

Si cette chanson semble ouvrir une nouvelle ère dans la carrière de Slimane, reste une ombre au tableau : les accusations judiciaires. Aucun jugement n’a encore été rendu, l’enquête est toujours en cours, et la présomption d’innocence s’applique. Mais l’opinion, elle, a parfois déjà tranché.

Slimane et Vitaa interprètent "De l'or" dans La Boîte à Secrets

Ce retour par la musique est-il une tentative de réhabilitation ? Un cri sincère d’un homme brisé ? Ou un coup stratégique de communication ? Difficile à dire. Ce qui est certain, c’est que la sincérité émotionnelle de “À quoi je sers ?” ne laisse aucun doute.

L’art comme exutoire, la musique comme arme

Dans une société de plus en plus cynique, où les polémiques se succèdent à la vitesse d’un tweet, Slimane choisit de répondre non par la justification, ni par le silence, mais par l’art. Un art brut, douloureux, engagé.

Et dans ce cri du cœur, nombreux sont ceux qui se reconnaissent. Parents, enfants, exilés, humanitaires, jeunes perdus… tous trouvent un écho dans ces mots simples mais puissants.


Vers un album de la renaissance ?

Rien n’est confirmé pour le moment. Ni album, ni tournée. Mais les rumeurs s’emballent. Certains proches parlent d’un projet conceptuel en préparation, axé autour des grandes crises humanitaires. D’autres évoquent une mini-tournée acoustique.

Mais peu importe ce qui viendra après. Car avec “À quoi je sers ?”, Slimane a déjà accompli l’essentiel : il a osé chanter ce que tant d’autres taisent.


Un cri. Un choc. Un espoir.
Slimane n’est plus seulement un chanteur à voix. Il est, plus que jamais, la voix d’une génération perdue entre la douleur du monde et le besoin de sens.