À 83 ans, Eddy Mitchell explose enfin : les révélations interdites sur Læticia Hallyday, les millions cachés et la trahison qu’il ne voulait jamais avouer au public !

C’est un ton qu’on ne lui connaissait plus. À 83 ans, Eddy Mitchell, le crooner légendaire de la chanson française, a décidé de vider son sac. Face à un public médusé, l’artiste, habituellement discret et mesuré, a lâché des propos d’une rare intensité à l’égard de Læticia Hallyday, la veuve du rockeur mythique Johnny Hallyday.
Ce qui devait être une simple interview hommage s’est transformé en un moment explosif, un véritable règlement de comptes qui fait aujourd’hui trembler le petit monde du show-business français.

“J’en ai assez du mensonge autour de Johnny”

Tout commence lors d’un entretien radiophonique que personne ne pensait si brûlant. Invité pour parler de sa longue carrière et de son nouvel album, Eddy Mitchell a soudain changé de ton lorsqu’on évoque le nom de Johnny.

“Johnny était mon frère, mais il y a eu trop de mensonges après sa mort. Trop d’hypocrisie. Et je ne peux plus me taire.”

Dans le studio, un silence glacial. Puis, sans détour, il cite Læticia Hallyday :

“Elle a fait de la mémoire de Johnny un commerce. Tout ce qu’il détestait, elle l’a fait au nom de l’amour. C’est une trahison pure et simple.”

Les auditeurs n’en croient pas leurs oreilles. Depuis le décès du Taulier en 2017, peu d’amis de Johnny avaient osé s’exprimer aussi frontalement. Mais Eddy, fatigué de ce qu’il appelle “la mascarade médiatique”, a décidé de tout dire.

Læticia, la veuve de fer ?

Depuis des années, Læticia Hallyday vit entre Paris, Los Angeles et Saint-Barthélemy, gérant l’héritage moral et financier du chanteur. Mais les tensions autour du testament, notamment avec David Hallyday et Laura Smet, avaient déjà laissé des traces.
Eddy Mitchell, proche des deux enfants aînés, n’a jamais caché son malaise face à ce qu’il appelle “l’exploitation posthume d’un mythe”.

Selon ses mots :

“Johnny n’aurait jamais voulu que sa mémoire serve à remplir des comptes bancaires. Il voulait qu’on se souvienne de lui pour la musique, pas pour les procès ni les produits dérivés.”

Et d’ajouter avec une froideur qui a glacé l’antenne :

“Quand l’amour devient une entreprise, il n’y a plus d’amour. Seulement du marketing.”

Des millions en jeu et des secrets bien gardés

Mais ce qui a véritablement fait bondir le public, ce sont les révélations financières qu’Eddy Mitchell aurait laissées entendre.
Selon lui, certains fonds liés à la succession de Johnny auraient mystérieusement disparu, et des comptes offshore auraient été utilisés pour “protéger” certains actifs.

“Je ne dirai pas tout, mais beaucoup de gens savent que tout n’a pas été déclaré. Johnny n’était pas un saint, mais il n’aurait jamais voulu ça.”

Des propos qui ont immédiatement relancé la machine médiatique. Les tabloïds français et belges se sont emparés de l’affaire, et les fans du rockeur sont partagés : certains défendent Læticia avec ferveur, d’autres estiment qu’Eddy a simplement eu le courage de dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas.

Une amitié brisée

Eddy Mitchell et Johnny Hallyday, c’était une fraternité de plus de cinquante ans. Ensemble, ils avaient partagé les tournées, les nuits blanches, les excès, mais aussi les confidences les plus intimes.
C’est dire si les mots d’Eddy ont eu un effet de bombe.

Un proche du chanteur confie :

“Eddy a toujours respecté Johnny. Mais il a vu trop de choses qui l’ont dégoûté après sa mort. Quand il parle de trahison, il parle d’un sentiment profond, pas d’un simple désaccord.”

Selon cette même source, l’artiste aurait longtemps gardé le silence par respect pour les enfants de Johnny, mais les récents projets commerciaux autour du nom Hallyday — expositions, biopic, tournées posthumes — auraient été “la goutte de trop”.

Læticia riposte, le ton monte

Face à la tempête médiatique, Læticia Hallyday n’a pas tardé à réagir. Par l’intermédiaire de son avocat, elle dénonce “des propos calomnieux et blessants”, assurant que tout ce qu’elle fait vise à “préserver la mémoire et la légende” de son mari.
Mais en coulisses, plusieurs témoins racontent que Læticia aurait été profondément blessée par la sortie d’Eddy Mitchell, qu’elle considérait autrefois comme un ami fidèle.

Une amie proche de la veuve confie :

“Elle pleure beaucoup. Elle dit qu’Eddy l’a trahie, qu’il a sali l’héritage de Johnny pour se faire remarquer. Mais au fond, elle sait que certains points qu’il évoque ne sont pas complètement faux.”

Les fans divisés

Sur les réseaux sociaux, le débat fait rage.
D’un côté, les fidèles de Læticia, qui voient en elle la gardienne de la flamme Hallyday.
De l’autre, ceux qui applaudissent la franchise d’Eddy, estimant qu’il incarne encore une certaine intégrité du rock à l’ancienne, loin des manipulations et du glamour creux.

Un internaute résume l’état d’esprit général :

“Eddy dit tout haut ce que tout le monde murmure depuis des années. Johnny méritait mieux que des querelles d’héritage et des documentaires à la chaîne.”

Le dernier coup de gueule d’un homme libre

À 83 ans, Eddy Mitchell n’a plus rien à prouver. Ni à vendre. Son franc-parler, longtemps mis de côté, refait surface comme un cri du cœur, celui d’un artiste fatigué de voir le showbiz trahir ses propres légendes.

“Je partirai tranquille quand on arrêtera de mentir sur Johnny. C’est tout ce que je demande.”

Une phrase simple, mais lourde de sens.
Car derrière cette colère, il y a la douleur d’un ami, la nostalgie d’une époque où la musique valait plus que l’argent, et où l’amitié n’avait pas besoin de communiqué de presse.

Et maintenant ?

Depuis cette interview, ni Eddy Mitchell ni Læticia Hallyday n’ont souhaité se revoir.
Les fans, eux, attendent la suite. Une nouvelle guerre des mots ? Une réconciliation impossible ?
Ce qui est sûr, c’est que le mythe Hallyday continue de diviser, même sept ans après la mort du chanteur.

Et quelque part, dans le silence d’un vieux studio parisien, Eddy Mitchell fredonne encore une chanson qu’il n’a jamais publiée — une chanson sur l’amitié perdue et les vérités qu’on tait trop longtemps.