Jeté par toutes les maisons de disques, exilé en Italie, et aujourd’hui millionnaire en dormant : comment “Born to be Alive” fait gagner 1500€ par jour à Patrick Hernandez, 46 ans après sa sortie
“Born to be Alive”, ou comment une chanson rejetée est devenue une machine à billets internationale
Parfois, le destin aime jouer les grands scénaristes. Et dans le cas de Patrick Hernandez, il a écrit un scénario que même Hollywood aurait hésité à imaginer tant il frôle l’improbable.
En 1973, Patrick Hernandez, jeune chanteur français au look aussi unique que ses ambitions, griffonne les premières notes d’un morceau disco qu’il baptise “Born to be Alive”. L’époque n’était pas encore prête. En 1975, une tentative de version rock du titre échoue lamentablement. Résultat : les maisons de disques ferment toutes leurs portes. Personne ne veut de lui. Personne ne croit en cette chanson jugée “trop différente”, “trop osée”, voire “sans avenir”.
Mais Hernandez n’abandonne pas. Avec ses producteurs, il s’exile en Italie. Et là, miracle. Le morceau sort discrètement… pour mieux exploser. Numéro 1 en Italie, disque d’or, puis succès immédiat en Belgique et en France. La machine est lancée. En quelques mois, “Born to be Alive” conquiert l’Europe, puis le monde.
Une chanson qui traverse les générations
Aujourd’hui, difficile de passer à côté de ce tube disco. Mariages, anniversaires, boîtes de nuit, spots publicitaires, bandes-son de films et même TikTok… “Born to be Alive” est partout. C’est l’un de ces titres cultes qui transcendent les modes et les époques. Et pour Patrick Hernandez, cela signifie un pactole quotidien bien réel : entre 1000 et 1500 euros par jour.
Oui, vous avez bien lu. C’est ce que le chanteur de 76 ans a révélé dans un entretien accordé au magazine Ici Paris. “Je suis propriétaire à 150% du titre. Je suis auteur, compositeur, interprète, producteur et éditeur. Tout me revient”, explique-t-il sans détour.
Un jackpot continu, même 46 ans plus tard
On pourrait croire que cette fortune s’estomperait avec le temps. Que nenni. L’an dernier, “Born to be Alive” a encore été utilisée dans quatre publicités différentes : une au Mexique, une en Autriche, et deux en France. “Les droits voisins rapportent aussi”, glisse Patrick Hernandez, presque amusé. En somme, chaque diffusion, chaque utilisation commerciale, chaque remix lui garantit un revenu sans lever le petit doigt.
Et ce n’est pas fini. Le titre est utilisé dans des jeux vidéos, des séries, et bien sûr, dans de nombreuses playlists rétro. Le secret ? “C’est un hymne à la vie. Un morceau joyeux, universel, qu’on comprend même sans en connaître les paroles”, confie un DJ parisien.
Une revanche éclatante sur l’industrie musicale
Ce succès phénoménal est aussi une belle revanche. Rejeté par toutes les maisons de disques dans les années 70, Patrick Hernandez a su prouver que le flair artistique pouvait surpasser les logiques commerciales. “Je me suis fait jeter de partout”, raconte-t-il. “Mais je savais que j’avais quelque chose d’unique.”
Son obstination, son exil en Italie, et surtout sa vision musicale ont fini par payer. Et aujourd’hui, il est l’exemple vivant qu’un seul tube, bien pensé, bien produit, et intemporel, peut rapporter bien plus qu’une carrière entière faite de compromis.
Pas besoin de 50 albums pour devenir millionnaire
Dans un monde où les artistes enchaînent les sorties, les tournées et les collaborations pour survivre, Patrick Hernandez démontre qu’un seul morceau peut suffire. “Born to be Alive” n’est pas qu’un tube : c’est un empire. Et il est l’unique roi sur ce trône.
Contrairement à beaucoup d’artistes de sa génération, il n’a pas sombré dans l’oubli ou la précarité. Il vit confortablement, reçoit ses royalties quotidiennement, et continue de voir son œuvre vivre sans efforts supplémentaires.
Le syndrome “one hit wonder”… transformé en conte de fées
Certes, Patrick Hernandez est ce qu’on appelle un “one hit wonder”. Mais quel “hit” ! “Born to be Alive” n’a jamais quitté les classements des morceaux les plus diffusés dans les playlists des années 70 et 80. Mieux encore : il reste un incontournable de la culture pop mondiale.
Et pendant que certains artistes courent après la célébrité, Hernandez la voit frapper à sa porte chaque jour, sous la forme d’un virement bancaire.
Et la suite ?
À 76 ans, Patrick Hernandez n’a plus rien à prouver. Il continue de faire quelques apparitions publiques, participe à des documentaires, et savoure sa vie tranquille entre la France et l’Italie. Lorsqu’on lui demande s’il aurait aimé avoir d’autres succès, il répond : “Un succès comme celui-là, c’est une bénédiction. Je n’ai aucun regret.”
Et qui pourrait le lui reprocher ? Grâce à “Born to be Alive”, il a acquis une forme d’immortalité musicale. Une chanson, un tube, un destin. Et un exemple criant que parfois, il suffit d’un seul coup de génie… pour vivre heureux jusqu’à la fin de ses jours.
CONCLUSION
L’histoire de Patrick Hernandez est bien plus qu’un conte disco : c’est une leçon de persévérance, d’audace et de vision. Un hymne à la ténacité. Rejeté, moqué, exilé… puis acclamé, célébré, récompensé. Et chaque jour, pendant que le monde danse sur “Born to be Alive”, Patrick Hernandez encaisse. En silence. Et avec le sourire.
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