😢👑 À 60 ans, Stéphanie de Monaco s’effondre : la princesse livre un témoignage bouleversant après deux ans de combat acharné contre une maladie qui détruit sa vie 💔

Pendant longtemps, elle a incarné la force tranquille du Rocher. Stéphanie de Monaco, princesse rebelle et mère aimante, n’a jamais cessé de se battre pour sa famille et pour les causes qui lui tenaient à cœur. Mais derrière ses sourires discrets et son élégance naturelle, un combat bien plus intime se déroulait dans l’ombre. Aujourd’hui, à 60 ans, la princesse fait face à l’une des épreuves les plus éprouvantes de sa vie : une maladie neurologique qui l’a peu à peu affaiblie, malgré deux années de lutte acharnée.

Le 18 novembre dernier, lors d’un événement public à Monaco, Stéphanie semblait rayonnante, apparaissant pour soutenir la nouvelle collection de sa fille Pauline Ducruet, fondatrice de la marque Alter Design. Mais selon plusieurs proches, cette soirée glamour cachait une réalité bien plus sombre : la princesse souffrait, physiquement et psychologiquement, épuisée par une maladie silencieuse dont elle n’avait jamais parlé publiquement.

Un diagnostic tardif et une bataille invisible

Tout commence il y a un peu plus de deux ans. Stéphanie ressent des troubles récurrents : fatigue persistante, difficulté à se concentrer, émotions exacerbées. Longtemps, elle attribue ces symptômes au stress, à la pression médiatique et à un rythme de vie éreintant. Mais en 2023, le diagnostic tombe : trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité et hypersensibilité — plus connu sous le nom de TDAH.

Un choc pour la princesse, qui découvre qu’elle partage ce même trouble avec sa fille cadette, Camille Gottlieb. Cette dernière, lors d’un podcast sur Monaco Info, avait récemment révélé souffrir du même trouble neurologique. Elle y évoquait ses années de souffrance silencieuse, son sentiment d’être “différente”, et la libération qu’a représentée enfin le diagnostic.

Ce que personne ne savait alors, c’est que sa mère vivait le même enfer, en silence.

Le poids d’une vie sous les projecteurs

Depuis son plus jeune âge, Stéphanie de Monaco vit sous les feux des médias. Fille de Rainier III et de la légendaire Grace Kelly, elle a grandi avec un mélange de fascination et de pression constante. L’image publique d’une princesse rebelle, libre, audacieuse, cachait souvent une fragilité profonde.

Selon une source proche de la famille princière :

“Stéphanie a toujours été une femme sensible, très émotive. Elle ressent tout intensément. Le TDAH a probablement amplifié cette hypersensibilité qu’elle portait déjà en elle depuis l’enfance.”

Cette hypersensibilité, longtemps incomprise, a parfois alimenté son image de femme impulsive, voire imprévisible, dans les années 1990. Mais derrière les apparences, il y avait une lutte invisible : celle d’une femme cherchant simplement à se comprendre.

Une souffrance partagée avec sa fille

La révélation de Camille Gottlieb a marqué un tournant. Dans son podcast, la jeune femme de 25 ans raconte son combat contre l’hyperactivité, les difficultés scolaires, les émotions débordantes. “On me disait que j’étais trop, toujours trop : trop émotive, trop agitée, trop intense”, confiait-elle.

Ce témoignage a touché des milliers d’auditeurs… et a conduit Stéphanie à se reconnaître à travers les mots de sa fille. Peu après, des examens ont confirmé qu’elle souffrait du même trouble. Pour la princesse, ce fut un moment de vérité : enfin, elle comprenait pourquoi certaines blessures du passé ne cicatrisaient jamais vraiment.

Mère et fille ont alors décidé de transformer leur douleur en force. Ensemble, elles ont choisi de parler, de sensibiliser et de briser les tabous autour des maladies neurologiques souvent méconnues chez les femmes adultes.

Le courage d’une mère avant tout

Stéphanie de Monaco a toujours fait de la maternité sa mission la plus sacrée. Mère de trois enfants — Louis, Pauline et Camille —, elle a souvent mis de côté ses ambitions personnelles pour les protéger. “Tout ce que j’ai fait, je l’ai fait pour eux”, confiait-elle dans une interview rare.

Ce besoin de protéger, souvent au détriment de soi, explique en partie pourquoi elle a longtemps tu son propre mal-être. Mais aujourd’hui, la princesse semble avoir pris une décision courageuse : celle de ne plus se cacher.

Dans une déclaration émouvante, elle a récemment affirmé :

“Il faut apprendre à parler, à dire qu’on souffre. On croit devoir tout affronter seuls, surtout quand on porte un nom comme le mien. Mais personne n’est invincible.”

Des mots forts, chargés de sincérité, qui ont bouleversé les Monégasques.

Le poids de l’héritage et la recherche d’équilibre

La famille Grimaldi a toujours vécu entre drame et splendeur. De la mort tragique de Grace Kelly aux scandales qui ont émaillé la vie du Rocher, chaque génération porte une part d’ombre. Stéphanie, plus que quiconque, semble en avoir payé le prix.

Mais malgré la maladie, malgré les années, la princesse ne renonce pas. Elle continue à soutenir ses enfants, à s’impliquer dans la Croix-Rouge monégasque et dans ses associations pour la jeunesse. Ses apparitions publiques sont plus rares, certes, mais chaque fois empreintes d’une humanité sincère, loin du faste princier.

Un proche de la famille confie :

“Stéphanie n’a jamais voulu qu’on la plaigne. Elle ne se considère pas comme une victime. Ce qu’elle veut, c’est sensibiliser, faire comprendre que la souffrance mentale n’épargne personne, même les princesses.”

Un avenir à reconstruire

Aujourd’hui, Stéphanie de Monaco poursuit son traitement et apprend à vivre avec le TDAH. Elle suit une thérapie comportementale et pratique régulièrement la méditation. Ses enfants, très présents à ses côtés, la soutiennent dans cette nouvelle étape de sa vie.

Pauline, avec sa marque de mode, incarne la créativité et la force féminine héritées de sa mère. Camille, quant à elle, continue de militer pour la santé mentale et d’encourager la transparence autour des troubles neurologiques.

Malgré la maladie, Stéphanie reste une figure de courage et de résilience. À travers son témoignage et celui de sa fille, elle contribue à changer le regard sur un sujet encore trop tabou : la santé mentale dans les familles royales.

Une princesse humaine, une femme vraie

Ce que le public découvre aujourd’hui, c’est une autre facette de Stéphanie : non plus la princesse des fêtes et des paillettes, mais une femme simple, vulnérable, profondément humaine.

Dans son regard fatigué mais apaisé, certains voient désormais la beauté d’une vérité assumée. Celle d’une femme qui, après avoir tout donné à son nom et à ses enfants, choisit enfin de s’occuper d’elle-même.

Stéphanie de Monaco, autrefois surnommée “la princesse rebelle”, redevient ici ce qu’elle a toujours été au fond : une combattante. Une femme blessée, mais debout.

Et si son histoire inspire aujourd’hui tant de monde, c’est parce qu’elle nous rappelle que même les couronnes ne protègent pas du chagrin — mais que le courage, lui, peut tout transcender.