💔 “« Il m’a brisé à jamais » — Faustine Bollaert se confie pour la première fois sur la trahison cachée derrière son divorce avec Maxime Chattam, et révèle la véritable raison pour laquelle elle ne se mariera plus jamais”

Le visage doux et lumineux de Faustine Bollaert, que les téléspectateurs ont appris à aimer dans Ça commence aujourd’hui, cache une douleur que peu auraient soupçonnée. Derrière ses sourires professionnels et son ton bienveillant, l’animatrice a longtemps porté un secret déchirant. Après son divorce avec l’écrivain à succès Maxime Chattam, Faustine s’est murée dans le silence. Mais aujourd’hui, pour la première fois, elle brise le tabou : « Je ne me marierai plus jamais. Parce qu’on ne sort pas indemne de certaines trahisons. »

Ce sont des mots lourds, empreints de gravité. Pendant des années, le couple qu’elle formait avec Maxime Chattam semblait être l’un des plus solides du paysage médiatique français. Elle, la femme solaire de la télévision ; lui, le romancier à l’univers sombre, mystérieux, presque inquiétant. Ensemble, ils formaient un équilibre fascinant, une alchimie étrange entre la lumière et l’ombre. Mais derrière cette façade parfaite, quelque chose s’est fissuré.

Un mariage rêvé… puis les fissures

Quand Faustine et Maxime se sont mariés, tout semblait sorti d’un conte de fées. Ils s’étaient rencontrés lors d’une émission littéraire. Le coup de foudre fut immédiat : « Il avait ce regard profond, cette intensité qui m’a happée, » racontait-elle à l’époque. Très vite, ils se sont installés ensemble, ont fondé une famille, ont construit une vie.

Mais la réalité, souvent cruelle, s’est invitée dans ce rêve doré. Maxime, plongé dans ses romans noirs et ses tournées, s’isolait de plus en plus. Faustine, de son côté, vivait sous la pression d’une exposition médiatique permanente. Deux mondes qui, peu à peu, se sont éloignés. « J’avais l’impression de dormir à côté d’un fantôme, » confie-t-elle aujourd’hui, la voix tremblante.

La trahison qu’elle n’avait pas vue venir

Selon des proches du couple, tout aurait basculé lorsqu’une rumeur de liaison entre Maxime et une jeune éditrice a commencé à circuler dans les milieux littéraires. Faustine, d’abord incrédule, aurait tenté de nier l’évidence. « Je ne voulais pas y croire. Je refusais de penser qu’il puisse me faire ça. »

Mais les signes étaient là : des absences prolongées, des messages effacés, des silences pesants. Puis un soir, en ouvrant par hasard un dossier sur l’ordinateur de son mari, Faustine découvre une série de courriels. Des mots tendres. Des promesses. Une complicité indéniable. « J’ai eu l’impression que tout mon univers s’effondrait. Ce n’était pas juste une infidélité, c’était une trahison morale. »

Cette révélation, dit-elle, a marqué la fin de son innocence amoureuse. Elle n’a pas éclaté en colère. Elle a simplement rangé son alliance dans un tiroir et n’a plus jamais regardé Maxime de la même façon. Quelques mois plus tard, le divorce était prononcé, dans un silence discret mais chargé de douleur.

Faustine après Maxime : renaissance ou cicatrice ouverte ?

Depuis cette rupture, Faustine Bollaert s’est consacrée corps et âme à son métier. Son émission sur France 2 est devenue un espace d’écoute et d’humanité, où les confessions des autres résonnent étrangement avec les siennes. « J’écoute les blessures des gens, mais souvent, c’est comme si je panse les miennes, » dit-elle avec émotion.

Certains y ont vu une forme de thérapie publique, un moyen de sublimer sa souffrance en empathie. Pourtant, derrière la force tranquille qu’elle dégage à l’écran, ses proches assurent qu’elle n’a jamais vraiment guéri. « Elle donne de la lumière aux autres, mais sa propre lumière, elle la garde sous clé, » confie une amie d’enfance.

“Je ne veux plus appartenir à personne”

Quand on lui parle d’amour aujourd’hui, Faustine sourit, mais son regard se voile. « J’ai aimé profondément, sincèrement, totalement. Et j’ai appris que parfois, aimer ne suffit pas. »

Elle ne renie pas son passé avec Maxime. Elle le respecte même. Mais elle ne veut plus revivre cette dépendance émotionnelle, cette fragilité. « Je ne veux plus appartenir à personne. Je veux m’appartenir à moi-même. »

Ces mots, puissants, résonnent comme un manifeste. Dans un monde où les femmes sont souvent jugées par leur statut sentimental, Faustine revendique sa liberté. Pas par rancune, mais par lucidité. « Le mariage, pour moi, c’est une promesse qu’on fait souvent à la mauvaise personne. J’ai déjà payé le prix de la naïveté. »

Une confession qui secoue les réseaux

Depuis la diffusion de son entretien exclusif, les réseaux sociaux s’enflamment. Des milliers de femmes ont réagi, certaines en larmes, d’autres inspirées par son courage. #TeamFaustine est devenu en quelques heures un symbole d’émancipation féminine.

« Elle dit tout haut ce que beaucoup d’entre nous pensent tout bas », écrit une internaute. D’autres saluent la sincérité de son témoignage : « Faustine n’est pas qu’une animatrice, c’est une femme vraie, une survivante du cœur. »

Mais d’autres voix, plus critiques, estiment qu’elle ravive inutilement le passé. Des fans de Maxime Chattam défendent l’écrivain, affirmant qu’il a lui aussi souffert du divorce et qu’il mérite la paix.

Le dernier mot de Faustine

Pourtant, Faustine ne cherche ni vengeance ni polémique. « Je ne raconte pas ça pour faire du mal. Je le raconte parce que j’en ai eu marre de me taire. Parce que d’autres femmes doivent savoir qu’on peut se relever, même après l’humiliation. »

Son message est clair : l’amour n’est pas toujours synonyme de bonheur, et parfois, la plus belle preuve d’amour qu’on puisse se faire, c’est de s’en aller.

Aujourd’hui, elle vit seule, mais apaisée. Ses enfants sont sa priorité, son moteur. Elle voyage, lit, écrit, rit avec ses amis. Et surtout, elle ne se force plus à sourire quand elle n’en a pas envie. « La liberté, c’est ça, finalement : ne plus avoir peur de la solitude. »

Conclusion :
Faustine Bollaert n’est plus la femme brisée d’hier. Elle est devenue une figure de force tranquille, de résilience et de vérité. Derrière ses larmes, une promesse : celle de ne plus jamais trahir son propre cœur.

Et quand on lui demande si elle croit encore à l’amour, elle répond simplement :
« Oui, mais pas à celui qu’on scelle avec une bague. »