🎭 Derrière le masque du journaliste implacable, Pascal Praud craque en direct 😢 : son aveu bouleversant 💔 sur le combat secret de sa fille Faustine 👧, atteinte de troubles “dys” 🧩, émeut la France entière 🇫🇷

Pascal Praud : Découvrez sa fille Faustine, qui a déjà obtenu son  baccalauréat

Un moment de télévision qui restera gravé

Les téléspectateurs de L’Heure des Pros n’étaient pas préparés. Habitués au ton ferme, parfois tranchant, de Pascal Praud, ils ont découvert un tout autre visage du journaliste le 7 septembre dernier : celui d’un père, d’un homme brisé par la douleur et la fierté, incapable de retenir ses larmes en parlant de sa fille Faustine.

Cette scène rare a bouleversé la France. Le plateau, d’ordinaire animé par les débats vifs, est soudain devenu un lieu de silence solennel, où chaque mot du journaliste sonnait comme un cri du cœur.


Le poids d’un aveu en direct

Tout est parti d’un débat sur l’école et le handicap. Alors que ses invités échangeaient sur les difficultés d’intégration des enfants “dys”, Pascal Praud s’est interrompu, visiblement troublé. Ses yeux embués, sa voix plus grave, il lâche alors :

« Ma fille Faustine fait partie de ces enfants-là. Et je peux vous dire que l’école classique n’est pas faite pour eux. »

Un aveu qui glace le plateau. L’homme de télévision, réputé pour sa maîtrise et son sang-froid, laisse soudain entrevoir une faille intime.


Faustine, une guerrière invisible

Pascal Praud ému aux larmes en parlant du handicap de sa fille Faustine -  YouTube

Faustine n’est pas une enfant comme les autres. Elle vit avec plusieurs troubles cognitifs dits “dys” :

dyslexie, qui freine l’apprentissage de la lecture,

dyspraxie, qui perturbe la coordination des gestes,

dyscalculie, qui complique la relation aux chiffres et au calcul.

Ces handicaps invisibles sont de véritables obstacles dans un système scolaire pensé pour la norme. Pour Faustine, chaque devoir, chaque contrôle, chaque journée de classe est un combat titanesque.

Pascal Praud l’explique avec des mots qui frappent :

« On les prend pour des paresseux, des rêveurs… Alors qu’ils se battent trois fois plus fort que les autres. »


L’école Diagonale : un pari salvateur

Face à un système scolaire rigide, les Praud ont dû chercher des solutions. Leur choix s’est porté sur l’école Diagonale, un établissement privé parisien spécialisé dans l’accompagnement des enfants à besoins particuliers.

Un choix coûteux, mais vital. Car c’est là que Faustine a trouvé sa voie. Soutenue par des enseignants attentifs, entourée d’élèves qui lui ressemblent, elle a pu surmonter les barrières et décrocher son baccalauréat en 2019.

Un moment inoubliable pour son père :

« Elle l’a eu… et ce fut d’une intensité incroyable. J’ai pleuré comme un enfant. »


Des larmes lourdes de sens

Les mots de Pascal ne sont pas ceux d’un journaliste mais d’un père blessé, conscient du privilège qu’il a eu de pouvoir offrir à sa fille une école adaptée. Dans un élan de sincérité, il reconnaît :

« J’ai eu la chance de pouvoir payer cette école. Mais combien d’autres parents n’ont pas cette possibilité ? »

Cette phrase, plus que toutes les autres, résonne comme une dénonciation du système. Derrière l’émotion, c’est une critique implacable d’une école française encore trop fermée aux différences.


L’injustice d’un système scolaire rigide

Le cas de Faustine met en lumière une réalité inquiétante : des milliers d’enfants “dys” peinent chaque jour à s’intégrer dans un modèle éducatif trop normatif.

Faute de moyens, beaucoup n’ont pas accès à des établissements spécialisés. Ils restent prisonniers d’un système qui les stigmatise, les classe comme « mauvais élèves », alors qu’ils sont simplement différents.

Pascal Praud fait de rares confidences sur la maladie de sa fille - YouTube

Le cri du cœur de Pascal Praud, amplifié par sa notoriété, donne une voix à toutes ces familles souvent ignorées.


Le message d’un père à tous les parents

Au-delà de sa propre histoire, Pascal envoie un signal fort :

Aux parents : « Ne perdez pas espoir, battez-vous. Vos enfants ne valent pas moins que les autres. »

Aux enseignants : « Regardons ces enfants autrement. Ce ne sont pas des anomalies, mais des forces dormantes. »

Aux institutions : « L’école doit s’adapter à l’élève, pas l’inverse. »

Son témoignage résonne comme une exhortation à changer le regard, à bâtir une école plus humaine, plus inclusive.


Quand l’émotion devient plaidoyer

En craquant devant des millions de téléspectateurs, Pascal Praud a fait plus que livrer un secret intime. Il a ouvert une brèche. Il a montré qu’un journaliste, même habitué aux joutes politiques et médiatiques, reste avant tout un père, vulnérable devant la souffrance et la force de son enfant.

Et ce moment, rare, restera comme un tournant : celui où la télévision s’est faite miroir de la vraie vie, où l’émotion brute a pris le pas sur le débat.


Conclusion : une leçon d’humilité pour la France entière

Le témoignage de Pascal Praud est bien plus qu’une anecdote personnelle. C’est un plaidoyer national pour les enfants différents, une invitation à regarder la société autrement, à ouvrir les yeux sur des batailles invisibles.

En partageant l’histoire de Faustine, il a rappelé que la réussite ne se mesure pas en lignes droites, mais en victoires arrachées au prix d’efforts surhumains.

Et si les larmes d’un père peuvent changer ne serait-ce qu’un regard, alors elles n’auront pas coulé en vain.