🌊🤰⚡️ “À 47 ans, déjà mère de cinq enfants, aventurière des océans et militante infatigable, Maud Fontenoy choque la France en révélant son incroyable désir de retenter une grossesse malgré son âge et les risques”

Un nouveau défi à l’horizon ?

Un an après la naissance de sa petite Eléa, la navigatrice et militante écologiste Maud Fontenoy surprend une nouvelle fois l’opinion publique. Connue pour avoir affronté les océans les plus hostiles, la Française de 47 ans s’apprête désormais à affronter un autre défi : celui de tenter une nouvelle grossesse à un âge où beaucoup de femmes pensent déjà à ralentir. Dans une interview accordée au magazine Gala, elle a confié sans détour son désir de donner naissance à un sixième enfant.

“Mes enfants restent mon plus bel accomplissement”, déclare-t-elle avec émotion. “Quand je regarde Eléa jouer dans l’eau, je me dis que je pourrais en avoir six, sept… ou plus encore.”

Une vie rythmée par les vagues et les naissances

Pour comprendre la détermination de Maud Fontenoy, il faut revenir sur son parcours hors du commun. Née à Meaux le 7 septembre 1977, elle s’est imposée dans l’histoire maritime dès 2003 en devenant la première femme à traverser l’Atlantique nord, d’ouest en est, à la rame et sans assistance. Deux ans plus tard, elle récidive avec l’océan Pacifique sud, prouvant à la planète que rien ne pouvait l’arrêter.

Mais au-delà des exploits sportifs, la navigatrice s’est peu à peu muée en icône de l’écologie, consacrant sa notoriété à la protection des mers. Sa fondation, créée en 2008, œuvre aujourd’hui à l’éducation environnementale des jeunes générations.

C’est également cette année-là que commence une autre aventure : celle de la maternité. À 30 ans, elle donne naissance à son premier fils, Mahé. Puis viendront Hina, Loup, Côme et enfin la petite dernière, Eléa, née en 2024.

Une tribu aux mille horizons

La famille de Maud Fontenoy est aussi atypique que ses parcours en mer. Ses enfants sont nés de différentes unions : avec le photographe Thomas Vollaire, le philosophe Raphaël Enthoven, puis Olivier Chartier, qu’elle épouse en 2018 et avec qui elle vit aujourd’hui.

Malgré la diversité des pères, Maud a toujours assumé haut et fort son choix de vie. Pour elle, la famille n’est pas une structure classique mais une force vivante, soudée par l’amour et l’océan. Ses cinq enfants, âgés de 1 à 17 ans, partagent déjà son univers marin. “Ils connaissent parfaitement les enjeux liés aux océans. Tous ont traversé l’Atlantique avec moi. Ce que je veux, ce n’est pas en faire des navigateurs, mais leur transmettre l’attachement charnel à la mer.”

L’âge : un frein ou une force ?

Alors que la société met souvent en avant les risques liés aux grossesses tardives, Maud Fontenoy défie une fois encore les conventions. À 47 ans, certains parleraient de folie, d’autres d’un acte courageux et inspirant.

Les médecins ne cessent de rappeler que la fertilité féminine diminue considérablement après 40 ans et que les risques de complications augmentent. Mais l’aventurière, fidèle à son tempérament, ne se laisse pas intimider. “Quand j’ai décidé de traverser l’Atlantique, beaucoup m’ont dit que c’était impossible, dangereux, insensé. Pourtant, je l’ai fait. Pour une grossesse, c’est pareil : je préfère suivre mon cœur.”

Une maternité militante

Ce désir de maternité tardive n’est pas qu’une affaire personnelle. Pour Maud Fontenoy, la famille est une extension de son combat écologique. Elle veut transmettre à ses enfants – et à travers eux aux générations futures – un message d’amour pour la planète.

Dans son quotidien, la navigatrice vit au rythme d’une simplicité revendiquée. Ses vacances ? Un minibus rempli d’enfants, direction l’Espagne rurale pour camper au bord de la mer. Pas de luxe ostentatoire, mais une vie en immersion totale avec la nature.

“C’est cette simplicité qui me nourrit et que je veux transmettre. La richesse, ce n’est pas l’argent ni les trophées, c’est de voir ses enfants rire au soleil, courir dans les vagues, apprendre à aimer la terre.”

Une annonce qui secoue la France

La confession de Maud Fontenoy a immédiatement fait réagir. Sur les réseaux sociaux, certains saluent son courage et sa liberté de choix. D’autres s’interrogent : est-il raisonnable de songer à un nouvel enfant à 47 ans ?

Les critiques évoquent les risques médicaux, mais aussi la question de l’avenir : “Comment accompagner un enfant jusqu’à l’âge adulte quand on approche de la cinquantaine ?” Un débat qui dépasse largement son cas personnel et qui touche à des enjeux sociétaux : la place des femmes, la maternité tardive, et le droit de décider de sa vie.

Une aventurière jusqu’au bout

Reste que, fidèle à elle-même, Maud Fontenoy semble prête à transformer chaque critique en carburant. Toute sa vie, elle a démontré qu’elle savait naviguer à contre-courant. Qu’il s’agisse de dompter les océans ou de défendre la planète, elle a toujours pris des risques que d’autres n’auraient jamais osé affronter.

Aujourd’hui, son nouveau défi est intime, mais il garde la même intensité : prouver que l’amour, la maternité et la liberté de choix ne connaissent pas de limites d’âge.

Et après ?

Le mystère reste entier. Tenter une nouvelle grossesse est un projet, pas encore une réalité. Mais connaissant Maud Fontenoy, on peut parier qu’elle ne lâchera pas facilement ce rêve.

À 47 ans, l’aventurière continue de surprendre. Ses cinq enfants sont déjà sa plus belle victoire, mais elle semble prête à agrandir encore son équipage familial. La mer lui a appris une leçon essentielle : rien n’est impossible pour qui ose hisser les voiles, même contre vents et marées.