UN MILLIARDAIRE VOIT UN GARÇON DES RUES DANSER POUR SA FILLE PARALYSÉE… LA SUITE ÉTONNE !

Jamal n’était qu’un enfant des rues, affamé, pieds nu, sans personne au monde. Mais un jour, alors qu’il ramassait des canettes dans un quartier upé, il aperçut une fillette en pleur derrière un portail. Ce qu’il fit ensuite changea sa vie et celle de la petite fille aussi.
Quand le père de celle-ci découvrit qui était à l’origine du sourire retrouvé de sa fille, un événement incroyable se produisit. Mais avant de commencer cette histoire, dites-nous en commentaire d’où vous regardez cette vidéo. C’est toujours émouvant de voir jusqu’où nos récits voyagent. Jamal avait 12 ans et connaissait chaque recoin de ce quartier comme s’il y habitait depuis toujours. En réalité, la rue était sa maison.
Cela faisait 3 ans qu’il vivait ainsi depuis que sa mère était morte d’une maladie que personne n’avait su vraiment diagnostiquer. Sans famille, sans papier, sans rien d’autre que les vêtements qu’il portaiit et un sourire têtu qui s’accrochait à ses lèvres, même les jours les plus sombres.
Ce samedi matin-là, le soleil tapait fort, bien trop fort pour quelqu’un qui marchait pied nu sur l’asphalt. Jamal poussait un vieux chariot de supermarché rouillé, rempli de canettes écrasées et de bouteilles en plastique. Chaque canette lui rapportait quelques centimes. En ramassant beaucoup, il pouvait s’acheter du pain et avec un peu de chance un morceau de poulet.
En tournant au coin d’une rue dans le quartier chic, il vit le portail. immense en fer noir horné de détails dorés qui saintillaient sous le soleil. Derrière un manoir blanc aux allures de palais entouré de jardins dignes d’un magazine. Jamal s’arrêta intrigué. Pas jaloux, juste curieux. Comment pouvait-on vivre dans un endroit pareil ? Il allait repartir lorsqu’un bruit attira son attention.
Une canette roulait sur le trottoir venue de l’intérieur de la propriété. Jamal courut la ramasser, puis en vite une autre et encore une. Quelqu’un avait visiblement jeté un sac de recyclage près du portail. “Merci mon Dieu”, murmura Jamal en commençant à trier le tout. C’est alors qu’il leva les yeux et la vie.
Une petite fille était assise dans un fauteuil roulant de l’autre côté du portail. Elle devait avoir 10x ans, des cheveux blonds attachés en queue de cheval, une robe bleue claire. Mais ce qui frappa Jamal, ce fut son visage. Elle pleurait. Ce n’était pas de gros sanglot bruyants. Non, c’était un chagrin silencieux de ceux qui font encore plus mal.
Les larmes coulèrent doucement et elle regardait le jardin comme si elle était prisonnière d’une cage invisible. Jamal sentit son cœur se serrer. Il connaissait cette tristesse là. C’était la même qui lui tordait le ventre quand la fin devenait insupportable, celle qui rendait le monde gris quand la solitude pesait trop. Sans trop réfléchir, Jamal laissa son chariot de côté et se mit à danser. Ce n’était pas chorégraphié.
Il bougeait les bras, tournoyait, tapait dans ses mains, enchaînait des pas rigolos à pris en regardant d’autres enfants dans l’escoir. Danser, c’était son moyen à lui de chasser la tristesse. En dansant, la faim disparaissait, ne serait-ce que pour quelques instants, la douleur aussi. La petite fille arrêta de pleurer.
Elle tourna la tête vers lui, les yeux grands ouverts, surprise ! Jamal sourit et dansa de plus belle. Il fit une pirhouette maladroite, faillit tomber, se rattrapa inextrémice et leva les bras comme s’il avait tout prévu. Et là, quelque chose se produisit. Elle rit. Un petit rire timide, presque gêné, mais sincère.
Ses yeux éteints quelques secondes plus tôt brillèrent. “Tu es drôle !” dit-elle d’une toute petite voix. “Moi, c’est Jamal. Et toi, Leila !” “Enchanté Leilla. Pourquoi tu pleurais ?” Elle baissa la tête. “Parce que je ne peux pas marcher et parce que ma maman est morte.” Jamal s’arrête à net. Ça, ça faisait mal aussi. Ma mère est morte aussi”, dit-il en s’approchant du portail.
“Ça 3 ans, parfois je pleure aussi, mais ensuite je danse et ça va un peu mieux.” Lla fixa avec curiosité. “Danser, ça t’aide à oublier ?” “Pas oublier, mais ça fait moins mal.” Elle resta silencieuse un moment, pensive, puis demanda, “Tu peux danser encore ?” Le sourire de Jamal s’élargit bien sûr. Et il dansa.
Dansa jusqu’à en être essoufflé, enchaînant des mouvements fous, imitant des robots, nageant dans l’air. L’la riait de plus en plus fort. Elle tapait dans ses mains. Pour la première fois depuis des mois, elle redevenait une enfant. Ce qu’aucun des deux ne savait, c’est qu’ils étaient observés. Depuis une fenêtre à l’étage, Samuel Colton les regardait.
42 ans, tempe grisonnante, costume impeccable, une fortune qui faisait de lui l’un des hommes les plus riches du pays. Mais tout cela n’avait plus d’importance. Depuis l’accident qui avait tué Kimberly, sa femme, et laisser Lella paralyser des jambes, Samuel se sentait vide. La maison était devenue silencieuse. Lélai plus. ne riait plus, ne vivait plus. Elle se contentait d’exister.
Les meilleurs médecins du monde avaient déclaré qu’elle ne marcherait plus jamais. Kinesse, psychologue, traitement hors de prix. Rien n’y faisait. Lea avait baissé les bras et Samuel aussi au fond. Mais là, il entendait un son oublié, le rire de sa fille. Il s’approcha de la fenêtre à l’abri derrière le rideau.
Il vit ce garçon noir, sale, pied nu, qui dansait comme un fou sur le trottoir. Il vit l’élas sourire, taper des mains émerveillés. Les yeux de Samuel s’embuèrent : “Éta de la colère, du soulagement, de l’espoir ? Peut-être un peu de tout à la fois.” Quand l’Ala fit un signe d’au revoir à Jamal avant d’être raccompagné à l’intérieur par une infirmière, Samuel resta là figé, regardant le garçon qui reprenait son chariot et s’éloignait.
Qui était cet enfant ? Comment avait-il réussi en 5 minutes ce que des dizaines de professionnels n’avèrent pas su faire en 6 mois ? Samuel n’avait pas encore de réponse, mais une chose était sûre. Ce n’était pas la dernière fois qu’il voyait ce garçon. Ce soir-là, Léla mangea sans qu’on est à l’ forcer. Elle demanda même si elle pouvait prendre un dessert.
“Papa, tu crois que le garçon va revenir demain ?” demanda-t-elle, les yeux pleins d’espoir. Samuel ravala sa salive. Je ne sais pas, ma chérie. J’aimerais qu’il revienne. Samuel la regarda. Elle n’était plus la même. Il y avait de la couleur dans ses joues, de la vie dans ses yeux. Alors, je ferai en sorte qu’il revienne.
Cette nuit-là, Jamal dormit sous un Porsche, le ventre vide, mais il souriait. Il avait rendu quelqu’un heureux aujourd’hui et ça ça valait tout l’ors du monde. Le lendemain, en revenant près du manoir pour chercher du recyclage, il trouva le portail entrouvert et les l’attendait. “Tu es revenu ?” cria-t-elle toute joyeuse.
“Bien sûr, tu veux voir une nouvelle danse ?” Oui. Et Jamal dansa de toutes ses forces, malgré la faim, malgré la fatigue, parce qu’il avait désormais une raison, une amie. Depuis sa fenêtre, Samuel Colton observait encore et pour la première fois depuis des mois, il ressentit quelque chose qu’il croyait à jamais perdu. Il ressentit de l’espoir.
Une semaine passa. Jamal revenait chaque jour au manoir des Coltonnes toujours à la même heure juste après le déjeuner. Ce qu’il ignorait, c’est que Samuel avait donné l’ordre au gardien de laisser le portail entrouvert et de ne surtout pas l’en empêcher d’entrer. La routine était toujours la même.
Jamal dansait, chantait, racontait des histoires drôles qu’il inventait sur le moment. Et Léla riait. Elle riait tellement qu’il lui arrivait parfois d’enousser. raconte encore celle du chien qui voulait devenir un chat”, demandaiit-elle en tapant dans ses mains. “Encore ! Tu l’as déjà entendu trois fois ?” grognait gentiment Jamal le sourire aux lèvres.
“Mais elle est trop drôle !” Et il racontait en changeant quelques détails, à chaque fois, en inventant de nouveaux personnages, en prenant des voix différentes. Lea l’écoutait captivée, oubliant totalement qu’elle était en fauteuil roulant, qu’elle ne pouvait pas courir ni sauter comme les autres enfants. Samuel observait de loin, le plus souvent depuis la bibliothèque ou le salon. Il ne s’approchait pas.
Il ne voulait pas déranger, mais il entendait chaque rire, chaque échange, chaque moment de bonheur que ce garçon apportait à sa fille. Un après-midi, Samuel appela Rosa, l’infirmière de l’Éla, une femme de 50 ans qui s’occupait de la fillette depuis l’accident. Rosa, vous avez remarqué un changement chez Lla ? Remarqué, monsieur Samuel, elle est méconnaissable. Elle se lève de bonne humeur, mange correctement.
et elle parle tout le temps de ce petit. Hier encore, elle m’a demandé de faire ses exercices de kiné alors qu’elle refusait catégoriquement avant. Samuel sentit une boule dans la gorge. Il n’a rien demandé. Ni argent, ni nourriture, rien. Rien du tout. C’est moi qui lui ai proposé un petit encase. Un jour, il a accepté.
Mais au moment de partir, il a mis la moitié du pain dans son sac. Il a dit que c’était pour le dîner. Samuel ferma les yeux. Ce garçon avait faim, vivait dans la rue, mais consacrait toute son énergie à faire rire sa fille sans rien demander en retour. Rosa, préparez-lui une assiette bien garnie et donnez-la lui. Dites que ce sont des restes de la cuisine.
Je ne veux pas qu’il pense qu’on lui fait la charité. Bien, monsieur. Ce soir-là, alors que Jamal s’apprêtait à partir, Rosa apparut avec une grande boîte rempli de riz, haricot, viande et salade. Jamal, la cuisinière a fait trop à manger aujourd’hui. Ça va se perdre si personne ne le prend. Tu veux emporter ça ? Jamal ouvrit de grands yeux. Chez lui, c’était sous un pont.
Mais ça, il ne comptait pas le dire. Bien sûr, madame Rosa. Merci beaucoup. Il saisit la boîte comme s’il s’agissait d’un trésor et partit en courant saluant Leilla. Salut Leila, à demain. À demain Jamal. Ce soir-là, Jamal partagea le repas avec trois autres enfants des rues qui dormaient sous le même pont. Ils mangèrent jusqu’à ne plus pouvoir avaler une bouchée.
Et une fois couché, Jamal resta allongé. regardant les étoiles. “Maman, je crois que j’ai trouvé une amie”, murmura-t-il au ciel. “Elle est gentille et je crois que je l’aide à retrouver le sourire.” Pendant ce temps, au manoir, Lella dînit avec Enrain, racontant à son père tout ce que Jamal avait fait ce jour-là.
“Papa, il a dit qu’il allait m’apprendre à danser, même en fauteuil, il dit que c’est possible.” Samuel sourit mais c’était un sourire triste. Ma chérie, tu sais que ce garçon, il n’a pas de maison, n’est-ce pas ? Oui, il me l’a dit. Il vit sous un pont. Et ça ne te dérange pas ? Lla fronça les sourcils.
Pourquoi ça me dérangerait ? C’est mon ami et il est gentil. Samuel resta silencieux. L’innocence de sa fille le désarmait complètement. Et si je te disais qu’il pourrait rester plus longtemps ici, tu aimerais ça ? Les yeux de Léla s’illuminèrent. Oh oui, je peux vraiment. Je vais y réfléchir. Mais Samuel avait déjà pris sa décision.
Il devait simplement trouver la meilleure façon de faire les choses. Le lendemain matin, lorsque Jamal arriva au manoir, ce fut Samuel lui-même qui l’accueillit. Le garçon fut surpris. C’était la première fois qu’il le voyait de près. Bonjour monsieur, dit Jamal un peu gêné. Bonjour Jamal, tu peux m’appeler Samuel, j’aimerais te parler. Jamal déglutit. Avait-il fait quelque chose de mal ? Samuel l’emmena jusqu’à un banc dans le jardin à l’écart de la maison.
Il s’assirent côte à côte. Jamal, tu sais qui je suis ? Oui, le père de Leilla, c’est ça. Et tu sais que je suis un homme très riche, n’est-ce pas ? Jamal aucha la tête sans comprendre où il voulait en venir. Alors, tu dois sûrement te demander pourquoi un homme riche comme moi n’arrive pas à faire sourire sa propre fille.
Pourquoi il a besoin d’un gamin des rues pour y arriver ? Jamal ne savait pas quoi répondre. Samuel continua. J’ai engagé les meilleurs médecins du monde. J’ai tout essayé. Médicaments, traitement, thérapie, mais rien n’a marché. Tu sais pourquoi ? Parce que ce dont ma fille avait besoin, ce n’était pas d’argent, c’était de joie.
Et c’est toi qui la lui a redonné. Jamal baissa les yeux. Je fais que danser, monsieur Samuel. C’est pas grand-chose. Tu fais bien plus que tu ne crois, garçon. Samuel inspira profondément. Je voudrais te proposer quelque chose, un emploi, disons. Jamal ouvrit de grands yeux. Je voudrais que tu viennes ici tous les jours, le matin, l’après-midi, aussi souvent que possible. Que tu continues à faire sourire ma fille.
Et en échange, je te donnerai à manger, des vêtements propres et un endroit où dormir ici si tu veux. Jamal n’en croyait pas ses oreilles. Vous êtes sérieux ? Très sérieux ? Mais pourquoi ? Je suis juste un gamin des rues. Tu n’es pas juste un gamin. Tu es celui qui a ramené la vie dans les yeux de ma fille.
Et ça ça vaut plus que tout l’or du monde. Jamal sentit les larmes monter. Il n’avait pas été traité avec autant de respect depuis la mort de sa mère il y a 3 ans. J’accepte monsieur Samuel mais je veux pas d’argent. Je veux juste pouvoir rester avec l’élas. C’est mon ami. Samuel sourit. Ce garçon n’était décidément pas comme les autres. Alors c’est entendu. À partir d’aujourd’hui, tu fais partie de cette maison.

Le garçon partit en courant vers la terrasse où les l’attendait. Quand elle le vit arrivé, elle s’écria : “J’amal, viens vite, je veux te montrer quelque chose.” Samuel resta là, les regardant et pour la première fois depuis l’accident, il sentit qu’il venait de faire quelque chose de juste. Rosa s’approcha, les yeux brillants, un mouchoir à la main.
“Vous êtes un homme bon, monsieur Samuel.” Non, Rosa, je suis juste un père désespéré qui a trouvé un miracle dans la rue. Et il avait raison. Jamal n’était pas seulement un garçon, il était la guérison dont cette famille avait besoin. 3 mois s’étaient écoulé depuis que Jamal avait commencé à vivre dans le manoir des Coltonn.
Il avait désormais sa propre chambre, un vrai lit, une armoire remplie de vêtements neufs et une salle de bain où il pouvait prendre une douche chaude quand il le voulait. Au début, il se réveillait au milieu de la nuit, pensant que tout cela n’était qu’un rêve. Mais non, c’était bien réel. La vie de Jamal avait changé du tout au tout.
Il allait à l’école le matin, une école privée payée par Samuel. Et l’après-midi, il la passait entièrement avec Lela. Il jouait, regardèrent des films, dessin et Jamal continuait de danser et d’inventer des histoires. Mais le plus grand changement venait de Lla. Elle avait repris la kinésithérapie. Rosa venait trois fois par semaine accompagnée d’une kinésithérapeute pour faire des exercices de renforcement musculaire. Au début, l’élas se plaignait.
Ça faisait mal, c’était trop dur, ça ne servirait à rien. Mais Jamal restait toujours à ses côtés, lui tenant la main. Tu peux le faire Llac ? Ça fait mal, Jamal. Je sais, mais tu es forte, plus forte que la douleur. Alors, elle recommençait pour lui, pour elle-même, pour tous ceux qui croyaient en elle. Samuel observait tout cela partagé entre l’espoir et la peur. Les médecins avaient été formels.
L’élas ne marcherait plus jamais. Les lésions à la colonne étaient irréversibles, mais en même temps, il n’avait jamais vu un tel progrès. Les muscles de ses jambes, jusqu’ici atrophiés, répondaient de plus en plus aux stimulations. “C’est impossible”, disait un médecin. “Et pourtant, c’est en train d’arriver”, rétorquait un autre.
Un jeudi après-midi, Léla faisait ses exercices dans le salon. La kinésithérapeute l’aidait à se mettre debout, soutenue par deux barres parallèles. Lla parvenaient à tenir quelques secondes debout, mais ses jambes tremblaient tellement qu’elle devait toujours se rattraper. Jamal était assis par terre, diffusant de la musique entraînante sur le téléphone portable que Samuel lui avait offert.
Une de ces chansons qui donne envie de danser. Allez les là, tu peux tenir debout toute seule, encourageait Jamal en tapant des mains en rythme. J’y arrive pas, c’est trop dur. Mais si tu peux, je le sais. La kinésithérapeute regarda Samuel qui se tenait dans l’encadrement de la porte et lui fit signe d’approcher. Ce moment pouvait être crucial.
Lea prit une grande inspiration. Elle se cramponna au bar. Ses jambes tremblaient comme des feuilles. Et alors, lentement, laa leva un pied. Un petit mouvement presque invisible, mais un mouvement tout de même. C’est ça. Bravo ! S’exclama la kiné. Tu y arrives, les là ! S’écria Jamal sautant de joie.
Samuel se retint au mur. Ses jambes faiblissaient. Ce n’était pas possible. Les médecins avaient dit que laa leva l’autre pied et pendant une fraction de seconde, elle teint debout sans appui, toute seule. Et là cela arriva. Leilla fit un pas petit, tremblant, incertain, mais un pas, un vrai. Puis elle chuta.
La kinésithérapeute la rattrapa juste à temps, mais personne ne s’inquiétaent les larmes aux yeux. Tous regardaient les là, sidérés. J’ai marché, balbucia Lea, incrédule. Papa, j’ai marché. Samuel courut vers elle. Il la serra dans ses bras avec tant d’émotions qu’il manqua de la faire tomber à nouveau. Il pleurait comme un enfant.
Incapable de parler, il sanglotait simplement. Jamal sautait partout en criant : “Tu l’as fait, tu l’as fait. Je le savais.” Lea pleurait aussi de bonheur. Jamal, merci, c’est toi qui m’a fait croire que je pouvais. Ce n’est pas moi, Lela, c’est toi. C’est toi qui est forte. Samuel regarda Jamal avec une reconnaissance impossible à exprimer.
Ce garçon qui ramassait des déchets dans la rue quelques mois plus tôt venait de lui rendre sa fille. Il avait fait l’impossible. Ce soir-là, une petite fête fut organisée au manoir. Rosa fit le gâteau préféré de Lél. Lella n’arrêtait pas de parler. Demain, j’essaierai encore et après-demain aussi. Je vais marcher, papa. Vraiment marcher.
Je le sais, ma chérie, je le sais. Avant d’aller se coucher, Samuel passa voir Jamal dans sa chambre. Il frappa doucement à la porte. Je peux entrer ? Oui, bien sûr, monsieur Samuel. Samuel s’assit au bord du lit. Il resta un moment en silence, observant le garçon. Jamal, je ne sais pas comment te remercier. Vous n’avez pas besoin de me remercier. Moi aussi, je suis heureux.
Tu as changé notre vie. Tu as changé la mienne. Vous avez aussi changé la mienne. Avant, j’avais rien. Maintenant, j’ai une famille. Samuel sentit sa gorge se nouer. C’est vrai, tu as une famille et tu l’auras toujours. L’impossible était en marche et rien ne serait plus jamais comme avant. Un an s’était écoulé depuis le tout premier pas de l’Éla.
À présent, elle marchait pas parfaitement, pas sans effort, mais elle marchait. Elle utilisait une canne pour les longues distances, mais chez elle, elle se déplaçait seule. Elle courait dans le jardin, montait et descendait les escaliers. Elle vivait. Les médecins parlaient de miracles.
La presse parlait d’un cas extraordinaire. Mais Samuel et Jamal, eux, connaissaient la vérité. Ce qui avait guéri l’élas, ce n’était pas la médecine, c’était l’amour, c’était l’amitié, c’était la foi en l’impossible. Jamal avait maintenant 13 ans. Il avait grandi, s’était fortifié et excellait à l’école.
Samuel découvrit en lui un garçon intelligent, curieux, avec un vrai talent pour les mathématiques. Il engagea des professeurs particuliers pour l’aider à rattraper les années d’école perdu dans la rue. Mais tout n’était pas rose.
Quand la nouvelle que Samuel Colton avait accueilli un garçon des rues chez lui commença à circuler dans les cercles mondins, les critiques fusèrent. Des amis de Samuel, riches, influents, lui demandèrent des rendez-vous. Samuel, tu devrais réfléchir à ce que tu fais, dit Richard Harding, propriétaire d’une chaîne d’hôtel. Ce gamin, tu ne connais rien de son passé. Il pourrait être dangereux.
Dangereux ? Il a sauvé ma fille. Aujourd’hui peut-être, mais demain, qui sait ? Ce genre de gens n’a pas de moral, Samuel, c’est dans leur nature. Samuel sentit la colère montée. Ce genre de gens, Richard, tu parles d’un enfant. Je parle de la réalité. Tu mets ta fille en danger. Cette discussion est terminée. Tu peux partir. Tu vas le regretter, Samuel. La seule chose que je regrette, c’est de t’avoir considéré comme un ami.
Richard partit en claquant la porte. D’autres firent d’eux-mêmes. En quelques semaines, Samuel perdit la moitié de son cercle social. Les invitations cessèrent d’arriver. Certains changeaient même de trottoir en le croisant. Mais Samuel s’en fichait. Il avait bien plus précieux, une famille heureuse.
Un matin, Llacit prendre son petit- déjeuner, marchant sans aide. Elle s’assit à table à côté de Jamal et lui vola une tartine. Eh ! Prends la tienne. La tienne est meilleure. C’est exactement la même. Samuel riait en les observant se chamailler comme de vrais frères et sœurs. Une scène banale, simple, mais d’une valeur inestimable à ses yeux.
“Papa, on peut t’emmener Jamal au parc aujourd’hui ?” demanda Lella. Bien sûr, mais seulement s’il promet de ne pas danser au milieu du parc et te faire rire au point que tu tombes encore. Je suis tombé une seule fois, protesta Lla en riant. Et c’est moi qui t’ai rattrapé, ajouta Jamal. La vie était belle, bien plus belle que ce que Samuel aurait un jour osé espérer.
Mais un samedi après-midi, alors qu’ils étaient dans le jardin, une voiture s’arrêta devant le portail. Une femme élégante en sortie, lunette de soleil sur le nez, sac de luxe au bras. C’était Hélène, la sœur de Kimberly, la défunte épouse de Samuel. Il ne s’était jamais bien entendu.
Hélène avait toujours pensé que sa sœur avait épousé en dessous d’elle, même si Samuel était milliardaire. Après l’accident, elle avait disparu. Aucune visite, aucun soutien. Que veux-tu Hélène ? demanda Samuel froid. “Je suis venu voir ma niè. J’en ai le droit. Tu avais ce droit depuis un an. Tu n’as jamais pris la peine de venir. J’étais occupé.” Bien sûr. Hélène entra dans le jardin. Elle vit Léla jouer avec Jamal. Les deux rient, couraient, s’amusaient.
Son visage se ferma. C’est lui le garçon des rues ? Il s’appelle Jamal. Et oui, c’est lui qui a ramené ma fille à la vie. Hélène observa puis dit : “Samuel, je suis venu te faire une proposition. Je suis prête à prendre l’élas chez moi. J’ai une belle maison, une bonne situation.
Je peux lui offrir un environnement plus adapté, loin de cette influence.” Quelle influence ? Ce garçon, tu as perdu la tête. un inconnu, un enfant de la rue et tu le laisses vivre ici avec ta fille. Kimberly serait torrifié. Samuel fit un pas en avant, les yeux brûlants. Non, n’ose pas parler au nom de Kimberly.
Elle aimait les plus que tout et Jamal a fait ce que toi, moi et tous les médecins du monde avons été incapable de faire. Il l’a ramené à la vie. Il a manipulé une enfant fragile. Ça suffit. Le cri de Samuel fit reculer Hélène. Mais c’est L qui prit la parole ensuite. Tata Hélène, Jamal ne m’a pas manipulé. C’est mon frère. Hélène la fixa.
Un frère ? Lla n’est pas ton frère. C’est un un quoi ? Dit Lela avançant avec sa canne mais droite fière. Un garçon qui s’est soucié de moi quand plus personne ne l’a fait, qui est resté à mes côtés quand toi tu as disparu. Le visage d’Hélène vira au rouge. Ton père t’a bourré le crâne. Mon père m’a sauvé et Jamal aussi.
Si ça ne te plaît pas, tu peux repartir. Hélène regarda successivement l’élau puis Jamal, immobile, ne sachant quoi faire. Vous allez le regretter. tous et elle repartit claquant la portière de sa voiture. Samuel serra l’élas dans ses bras. Tu as été très courageuse ma chérie. Je n’allais pas la laisser dire du mal de Jamal. Il fait partie de la famille.
Jamal s’approcha les yeux humides. Merci. Il est là. Pas besoin de me remercier, petit frère embêtant. Ce soir-là, après que les enfants furent couchés, Samuel resta dans la bibliothèque contemplant une vieille photo de Kimberly. “Tu l’aurais aimé, Kimy ?” dit-il en effleurant le cadre. “C’est un garçon bien, un garçon exceptionnel et il a sauvé notre fille.
Il nous a tous sauvé.” C’est ainsi qu’un milliardaire vit un garçon des rues danser pour sa fille paralysée. Et ce qui arriva ensuite surprit tout le monde. Une famille brisée fut guérie. Un garçon sans rien gagna tout et l’amour prouva une fois de plus qu’il est la force la plus puissante du monde.
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