“Pierre Richard (91 ans) brise le silence et choque avec ses révélations sans filtre sur une relation inédite avec une prostituée : ‘Elle m’offrait une…’ – un secret explosif qui stupéfie ses fans et le public !”


Pierre Richard est une sommité du cinéma français. A la fois acteur et réalisateur, il s’est spécialisé dans la comédie tel un lointain héritier de Buster Keaton.

Difficile de présenter Pierre Richard tant la carrière du bonhomme est riche et longue. Impossible, toutefois, de ne pas revenir sur son tandem comique avec Gérard Depardieu sous la houlette de Francis Veber. Ou tout simplement cet archétype de gentil naïf distrait et maladroit qu’il a incarné durant sa carrière. Pierre Richard est aussi passé quelques fois derrière la caméra. Notamment pour le (très) mésestimé On peut toujours rêver, au début des années 90. Ou encore sa nouvelle réalisation, en salles ce mercredi 17 septembre 2025 : L’Homme qui a vu l’ours qui a vu l’homme. Pierre Richard, toujours très disert en interview, revient sur une anecdote des plus surprenantes avec une prostituée !

Pierre Richard : des rôles cultes avec Gérard Depardieu

On ne peut pas parler de Pierre Richard sans parler de Gérard Depardieu. Si ce dernier, empêtré actuellement dans les scandales sexuels, est aujourd’hui en disgrâce, fut un temps où il partageait l’affiche avec Pierre Richard. Les deux démontraient alors une alchimie détonante notamment dans une trilogie informelle composée de La ChèvreLes Compères et Les Fugitifs. Trois comédies aujourd’hui cultes signées du taulier en la matière, Francis Veber.

Le duo fonctionnait à plein régime, se calquant sur une dynamique humoristique imparable. A savoir les différences entre ses deux interprètes. Une brute, un maigrichon. Un bourru, un cœur tendre. Un instinctif, un réflexif. Un idéaliste, un naïf. Un sanguin, un doux dingue. Bref, le prototype Laurel et Hardy poussé à son paroxysme. C’est cette dichotomie-là, propre au genre du ‘buddy movie’, comprendre film de binôme, qui a popularisé ce tandem.

Le comédien est passé plus d’une fois derrière la caméra

La carrière faste de Pierre Richard compte de nombreux films emblématiques d’une époque aujourd’hui révolue. Du cinéma à papa, presque, qui continue à garder une aura nostalgique auprès de nombreux spectateurs et autres cinéphiles. Le comédien, de son côté, est également passé plus d’une fois derrière la caméra. Au commencement, il réalise Le Distrait en 1970. Il enchaîne ensuite avec Les Malheurs d’Alfred et Je sais rien, mais je dirais tout.

Ces réalisations posent, en quelque sorte, les jalons du personnage-type que va incarner Pierre Richard durant la quasi-totalité de sa carrière. Car il est aussi devant la caméra. Toutefois, il opte pour le drame, mâtiné de comédie, pas folle le Pierre, avec On peut toujours rêverChronique ordinaire d’un PdG dépressif qui retrouve la joie de vivre grâce à un banlieusard. Intouchables avant l’heure, en somme. Le succès commercial en moins.

Pierre Richard, à la rencontre d’une “péripatéticienne

Saut dans le temps : 2025. Pierre Richard sort son nouveau long-métrage en tant que réalisateur, L’Homme qui a vu l’ours qui a vu l’hommeUne comédie, une de plus, dans laquelle il se met également en scène. Le film est actuellement diffusé au cinéma au moment où nous écrivons ces modestes lignes. Pour l’occasion, l’acteur-réalisateur nonagénaire donne un entretien fleuve à Guillaume Pley dans LEGEND sur YouTube. Pierre Richard revient sur sa vie, son œuvre et… une histoire touchante avec une prostituée.

L’interprète de La Chèvre revient sur une anecdote lorsqu’il était gamin. “J’ai connu à Paris, c’était pendant la guerre…”, raconte Pierre Richard à l’animateur. “Je promenais mon petit chien tous les matins avant d’aller en classe. J’avais quoi… 10 ans ? J’étais tout blond, tout bouclé, j’étais mignon, ouais.” L’acteur-réalisateur s’improvise ainsi conteur de sa propre histoire, non sans un certain sens du timing, voire du suspens. Il ajoute ensuite : “Et j’habitais près de Pigalle, et là, en promenant mon chien, il y avait une péripatéticienne [autre nom pour une prostituée, NDLR] qui m’adorait.” Avant de préciser : “Je parle pas sexuellement […] A chaque fois, elle m’offrait une tablette de chocolat. Elle me dit : ‘C’est mon fiancé qui me l’a offert’. C’est après que j’ai compris que le fiancé, ça devait être un officier allemand !” Une relation amicale aussi touchante que surprenante. A 91 ans, Pierre Richard semble toujours bon pied bon œil, et, surtout, toujours débordant de cette malice qui le caractérise tant.