“‘Il y a une autre France qui existe’ : Patrick Sébastien a pensé à se présenter à l’élection présidentielle en 2027 – Une annonce surprenante qui bouleverse le paysage politique et suscite l’enthousiasme et les interrogations des Français !”

Alors qu’il est très régulièrement demandé à Patrick Sébastien s’il compte se présenter à l’élection présidentielle, l’animateur reconnaît avoir pensé à faire le grand saut pour représenter une France trop souvent caricaturée.


L’animateur voulait se présenter, mais pas pour être élu. © SYSPEO/SIPA

« Ça serait rigolo… mais pas pour être élu, évidemment. » Oui, Patrick Sébastien l’avoue. L’idée de se présenter à l’élection présidentielle a trotté dans sa tête. L’animateur a reconnu, sur le plateau de Tout beau, tout neuf, sur W9, être souvent interpellé afin de représenter les Français en 2027 : « Les jeunes de 20 ans me disent toujours « Patoche Président » et viennent ensuite me répéter : « Tu pourrais te présenter ». ». « J’ai entendu une émission la dernière fois, où un politologue affirmait que tu serais peut-être le bon candidat du peuple », rétorquait l’animateur du talk-show Cyril Hanouna.

Patrick Sébastien affirme avoir pensé à se présenter pour « être le porte-parole d’une autre France, celle que je connais, celle qui en a marre de se faire manipuler, qui en a marre de se faire exploiter, qui en a marre qu’on les prenne pour des cons ». Selon lui, l’idée de montrer qu’il existe une France « à qui on ne donne plus la parole » a germé. « Si jamais il y a un mouvement comme ça, le nom est très facile, c’est : « Ça suffit » », explique-t-il.

« Je veux continuer à être artiste »

Néanmoins, celui qui officiait sur l’antenne de France Télévisions ne souhaite pas comparer son engagement avec celui de Coluche et sa candidature en vue de l’élection présidentielle de 1981. « C’était mon pote. Je l’ai vécu quand il y est allé. Je ne veux pas faire ça. Je n’ai pas envie de tomber là-dedans. Je veux continuer à être artiste », confie Patrick Sébastien. Même s’il n’exclut pas de jouer le rôle de « porte-parole du peuple », d’une France trop souvent caricaturée. « Pour beaucoup, ces gens-là sont des beaufs, des blaireaux, des incultes. Ce n’est pas vrai. Moi, je les connais. Ils en ont marre qu’on leur interdise de vivre », a-t-il ajouté.