Guerre des Égos chez les Miss : Cyril Hanouna Révèle le « Blacklistage » Humiliant de Cindy Fabre, Victime d’une Querelle Infernale avec Sylvie Tellier et la Direction

Le concours Miss France, malgré sa façade glamour et ses sourires figés, a toujours été le théâtre de joutes en coulisses, de luttes d’influence et de conflits d’égo dignes des plus grands feuilletons. Mais rarement un scandale n’a été exposé avec une telle brutalité que celui qui entoure Cindy Fabre, l’ancienne directrice du comité, désormais reléguée au statut de « persona non grata ». Les révélations fracassantes de Cyril Hanouna et de ses chroniqueurs sur le plateau de Tout beau, tout n9uf (TBT9) ont mis en lumière une vérité glaçante : Cindy Fabre a été « blacklistée » de l’élection de Miss France 2026, victime d’un climat toxique où les querelles d’égo et les rivalités professionnelles seraient devenues la norme au sommet de l’organisation.

L’humiliation est d’autant plus cuisante qu’elle touche une ancienne reine de beauté et une directrice qui avait succédé à la figure historique de Sylvie Tellier. Que Cindy Fabre n’ait « même pas été invitée » par le groupe pour le sacre de la nouvelle Miss France 2026 est, selon les mots de Cyril Hanouna, « un truc de dingue », et un signe clair d’une éviction orchestrée en coulisses, loin de la transparence prônée par la nouvelle direction.

Le Spectre de la Rivalité : La Répétition de l’Histoire

L’analyse des chroniqueurs de TBT9, en particulier de Gilles Verdez, fait froid dans le dos, car elle dessine un schéma récurrent au sein de la société Miss France. Selon Verdez, l’histoire ne fait que se répéter : « Il y avait deux personnes, deux femmes pour une place ». Cindy Fabre, qui avait pris ses fonctions le 30 août 2022, se serait retrouvée, comme Sylvie Tellier avant elle, prise dans un conflit d’égo au sommet de l’organisation.

L’ombre de Sylvie Tellier, qui a longtemps incarné l’autorité forte et la discipline du concours, plane lourdement sur cette affaire. Géraldine Maillet a rappelé que Cindy Fabre avait été présentée, dès sa prise de fonction, comme « la nouvelle Sylvie Tellier ». Ce statut, loin d’être un compliment, aurait immédiatement suscité « crispations et jalousies ».

Gilles Verdez est allé plus loin, affirmant que les tensions n’étaient pas seulement latentes, mais explosives. Il y aurait eu des « querelles d’ego avec Sylvie Tellier », même si celle-ci avait démenti ces révélations. Mais, le chroniqueur insiste : « ça s’est mal passé dès le départ ». Le conflit se serait également étendu à Alexia Laroche-Joubert, présidente de la société Miss France de 2021 à fin 2023. L’éviction de Cindy Fabre apparaît ainsi comme la conclusion inévitable d’une « rivalité telle que ça a clashé, c’était pas possible ».

Cette dynamique de conflit au sommet, où les femmes fortes se succèdent pour une même place dans une ambiance de jalousie et de tension, soulève des questions sur la culture interne du comité. Il semble que l’autorité et la personnalité, jadis essentielles pour diriger l’institution, sont devenues des facteurs de risque et d’exclusion.

L’Humiliation Silencieuse : Payer Son Billet pour Exister

Au-delà des querelles d’ego, les chroniqueurs ont révélé des indices troublants de l’éviction progressive de Cindy Fabre, des humiliations silencieuses qui préfigurent le « blacklistage ». Gilles Verdez a ainsi souligné que l’ancienne Miss France 2005 avait dû, à certaines occasions, « payer elle-même son billet pour assister au concours ».

Pour une figure censée être au cœur de l’organisation et ambassadrice de la marque, se retrouver à devoir acheter son propre siège pour un événement qu’elle était censée diriger est une humiliation rare. C’est un signe clair qu’elle était devenue une « persona non grata » bien avant l’annonce officielle de son non-renouvellement. Le fait de ne pas avoir été invitée pour le sacre de Miss France 2026 est le coup de grâce, l’acte final d’une mise à l’écart progressive orchestrée par la direction.

La Stratégie Cynique : Privilégier les « Profils Faciles »

L’analyse la plus cinglante de l’équipe Hanouna concerne la nouvelle orientation stratégique de la société Miss France. Selon les révélations des chroniqueurs, la direction chercherait désormais à imposer une culture de la docilité, quitte à sacrifier la personnalité.

Cyril Hanouna et ses chroniqueurs ont pointé du doigt le choix de Frédéric Gilbert, le nouveau président qui a succédé à Alexia Laroche-Joubert. Selon Gilles Verdez, Gilbert aurait été placé à ce poste dans un but précis : la direction privilégierait désormais des profils « beaucoup plus faciles à gérer ». Le chroniqueur de TBT9 n’a pas mâché ses mots à propos du nouveau président, allant jusqu’à dire : « on va dire qu’il a moins de personnalité ».

Cette recherche de « profils plus faciles » est une dénonciation directe de la volonté de la production d’éviter tout conflit d’ego ou toute autorité trop affirmée, comme celle qu’incarnaient Sylvie Tellier et, plus tard, Cindy Fabre. L’objectif serait de garantir une gestion plus lisse, plus corporative et moins sujette aux turbulences médiatiques.

En d’autres termes, le comité aurait choisi d’écarter Cindy Fabre et les figures à forte personnalité non par incompétence, mais par peur du conflit, préférant une figure moins influente pour assurer la mainmise du groupe sur l’institution Miss France. Cette stratégie, si elle se confirme, est profondément cynique et en dit long sur la place accordée à l’autorité féminine au sein du comité.

L’Héritage Toxique et le Cri de Cyril Hanouna

La polémique révélée par Cyril Hanouna et ses chroniqueurs ne fait qu’épaissir le mystère et le trouble qui planent autour du concours Miss France, déjà secoué par le « dérapage de deux prétendantes au titre » et par des accusations plus anciennes.

Pour Cyril Hanouna, l’éviction de Cindy Fabre, qui a dû s’exprimer sur ses réseaux sociaux pour dénoncer son absence, est une « humiliation rare » et un « truc de dingue ». Son indignation est celle d’un homme de télévision qui constate la cruauté du milieu, surtout lorsqu’elle touche une figure aussi impliquée que Cindy Fabre, une ancienne Miss qui avait dévoué une partie de sa vie à l’organisation.

Aujourd’hui, la question qui reste en suspens est celle de l’avenir : Cindy Fabre, humiliée par son propre comité, prendra-t-elle la parole pour révéler les détails précis de cette éviction ? Son silence est attendu, mais le mal est fait. L’histoire de son « blacklistage » est devenue un cas d’étude sur les rivalités internes et la recherche de docilité dans le monde du spectacle.

Le concours Miss France, malgré ses audiences et son aura nationale, se révèle une fois de plus un champ de bataille où les rêves et les égos s’affrontent violemment. L’ère des reines de beauté au caractère bien trempé semble bel et bien révolue, remplacée par la quête de profils malléables, qui ne font pas de vagues. Et c’est là que réside la véritable tragédie de cette révélation : le prix de la paix interne a été l’humiliation publique d’une ancienne reine, victime d’une guerre des égos qui ne dit pas son nom.