« « Et Dieu… créa la femme » : le film avec Brigitte Bardot, longtemps sous-estimé et jugé improbable, révèle aujourd’hui son impact légendaire, bouleversant le cinéma et surprenant le public par le scandale et l’émotion qu’il a suscités à sa sortie. »

« Et Dieu… créa la femme » : le film avec Bardot auquel personne ne croyait
En 1956, un jeune réalisateur français du nom de Roger Vadim décide de lancer un projet audacieux qui allait bouleverser le cinéma mondial : « Et Dieu… créa la femme ». À l’époque, le film ne suscite guère l’enthousiasme dans les cercles cinématographiques. Le scénario, centré sur une jeune femme libre et provocante, Juliette, incarnée par une Brigitte Bardot encore méconnue, est jugé scandaleux, trop moderne et potentiellement sulfureux. La société française, à la morale traditionnelle, voit mal comment un tel personnage pourrait trouver sa place sur grand écran.
Brigitte Bardot, âgée seulement de 21 ans, était alors une actrice débutante, connue pour son visage angélique et sa silhouette fragile mais encore loin de l’icône mondiale qu’elle allait devenir. Son rôle dans ce film était audacieux : une jeune femme sensuelle, indépendante, refusant de se plier aux conventions sociales et qui, par sa seule présence, ébranlait la perception de la féminité à l’époque. Beaucoup prédisaient un échec cuisant. Les producteurs eux-mêmes étaient sceptiques et redoutaient la censure.
Pourtant, derrière le scepticisme ambiant, Roger Vadim croyait fermement au potentiel du film et à l’éclat unique de Bardot. Il sut exploiter sa jeunesse, sa beauté et son naturel dans des scènes à la fois suggestives et innocentes, créant une tension fascinante qui captiva les spectateurs. Les dialogues simples, presque crus, et les images audacieuses pour l’époque contribuaient à donner au film une modernité et une énergie inédites dans le cinéma français.
Lors de sa sortie, les réactions furent immédiates et contrastées. Les critiques les plus conservateurs dénonçaient le caractère provocateur du film et le comportement « immoral » de Juliette, tandis qu’une jeune génération d’auditeurs et de spectateurs reconnaissait en Bardot un symbole de liberté et de modernité. Le succès commercial dépassa toutes les attentes. « Et Dieu… créa la femme » devint un phénomène culturel, propulsant Bardot au rang d’icône mondiale et marquant le début de l’ère où la sensualité et l’indépendance féminine pouvaient être célébrées au cinéma.
Le film ne se limitait pas à la simple exposition de la beauté de Bardot. Il abordait subtilement les contradictions de la société française des années 1950, entre conservatisme et désir de modernité, et questionnait les normes imposées aux femmes dans le mariage, l’amour et la sexualité. Juliette, par son comportement libre et son refus de se conformer, incarnait une révolution silencieuse, celle d’une femme capable d’exister par elle-même, sans compromis.

L’impact de « Et Dieu… créa la femme » ne se fit pas sentir seulement en France. À Hollywood et dans toute l’Europe, le film fut redécouvert comme une œuvre audacieuse et visionnaire, faisant de Brigitte Bardot une star internationale. Les magazines et journaux du monde entier s’emparèrent de son image, créant un mythe qui allait durer des décennies. Bardot, par son charme et sa personnalité, devint le symbole d’une nouvelle ère : la libération sexuelle, la sensualité assumée et l’indépendance féminine.
Aujourd’hui, plus de soixante ans après sa sortie, « Et Dieu… créa la femme » reste une œuvre emblématique du cinéma français. Son influence se retrouve dans la manière dont les personnages féminins sont construits au cinéma et dans la culture populaire. Le film a ouvert la voie à des représentations plus audacieuses, à des histoires où les femmes ne sont plus cantonnées à des rôles passifs mais deviennent des actrices de leur propre destin.
Ce qui était autrefois perçu comme scandaleux est désormais célébré comme révolutionnaire. Brigitte Bardot, par sa performance, a redéfini le rôle des femmes à l’écran et a montré qu’un film considéré comme risqué ou improbable peut, grâce au talent et au charisme de ses interprètes, devenir un classique intemporel. « Et Dieu… créa la femme » n’est pas seulement le récit d’un film : c’est l’histoire d’une transformation culturelle, d’un bouleversement des codes sociaux et d’une consécration internationale inattendue.
En fin de compte, ce qui aurait pu être un simple échec s’est transformé en triomphe. Bardot, Vadim et le film lui-même ont marqué une génération, rappelant que l’audace et la sincérité peuvent surmonter le scepticisme, et que parfois, ce que personne ne croit possible devient un symbole éternel.
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