Choc à France TV ! Anne-Sophie Lapix, après son licenciement, EXPOSE Léa Salamé. Une onde de choc médiatique. Et Salamé absente du 20h ce soir… Coïncidence ? Découvrez les coulisses explosives de cette affaire. Lisez l’article complet en commentaire !

C’est un séisme qui ébranle les fondations du paysage médiatique français, un “véritable coup de théâtre” qui se joue dans les coulisses feutrées de France Télévisions. La mèche a été allumée, et l’incendie se propage à une vitesse folle. Anne-Sophie Lapix, figure intouchable du journalisme, dont le départ a été vécu comme un licenciement, a décidé de briser le silence. Et elle ne l’a pas fait à moitié. Selon des informations explosives, elle aurait “complètement exposé” sa consœur, Léa Salamé, provoquant une “onde de choc” qui fait trembler les murs de la chaîne publique.

Comme si cette révélation incendiaire ne suffisait pas, un autre événement, en apparence anodin, est venu jeter de l’huile sur le feu : l’absence soudaine de Léa Salamé du JT de 20h ce mercredi 22 octobre 2025. Une absence qui alimente toutes les spéculations. La journaliste, devenue le visage emblématique de la grand-messe de l’information, laisse sa place à Jean-Baptiste Marteau, déclenchant un remaniement inattendu sur la tranche la plus regardée de la journée.

Bien sûr, la communication officielle tente d’éteindre l’incendie. Selon Nicolas Malabuf, il ne s’agirait “rien de plus” que de “congés bien mérités” pour la journaliste. Une pause qui n’aurait “rien à voir” avec la polémique récente de son interview controversée avec Marion Cotillard. Mais dans les couloirs de la rédaction, personne n’est dupe. Le timing est trop parfait, la tension trop palpable. L’impact médiatique est immédiat. Voir une figure phare ainsi évincée, même “temporairement”, crée un “véritable émoi” parmi les fidèles de la chaîne.

Car cette absence intervient dans un contexte électrique. Les “révélations chocs” d’Anne-Sophie Lapix ont ravivé les regards sur les jeux de pouvoir internes, laissant planer un “parfum d’intrigue” qui captive le public. Les déclarations de Lapix, dont la teneur exacte reste un secret de polichinelle, auraient “mis à nu des tensions que personne n’osait verbaliser publiquement”. Dans cette atmosphère, l’arrivée de Jean-Baptiste Marteau, simple “Joker” propulsé en première ligne, prend une “dimension dramatique”. Il ne s’agit plus de remplacer une collègue en vacances, il s’agit de gérer une crise.

Il faut dire que Léa Salamé traverse une zone de turbulences. Ces dernières semaines, l’image de la journaliste à la “rigueur” et au “charisme” incontestés s’est fissurée. Tout a commencé avec ce fameux moment face à Marion Cotillard. En choisissant d’aborder la “récente rupture” de l’actrice avec Guillaume Canet, Léa Salamé a marché sur un fil. La réponse de Cotillard, d’une froideur polaire, a résonné comme un coup de fusil : “Merci, ça va. Et vous, vous allez bien ?”. En un instant, le plateau a été “plongé dans un silence lourd, palpable”. L’”embarras” était total, la séquence est devenue virale, et les critiques ont fusé, accusant la journaliste de “manquer de tact”.

Malgré le soutien officiel de Delphine Ernot, présidente de France Télévision, qui a salué l’”excellence du journal”, le mal était fait. La machine s’est emballée. Les “gaffes” se sont enchaînées : elle appelle Henri Guaino par le nom de “Claude Guéan”, puis, sur le sujet délicat de l’attentat d’Arras, elle commet l’irréparable en confondant la victime, Dominique Bernard, avec “Samuel Paty”. Une erreur qu’elle a dû rectifier en direct le lendemain.

Le “flot des critiques” est devenu un torrent. Sur le plateau de “Tout beau Tout neuf”, Mathieu Delormeau n’a pas mâché ses mots, la qualifiant d’”incompétente” et lançant une phrase assassine : “Elle ne travaille pas. Ça se voit”. Chaque édition du 20h est depuis devenue un “véritable spectacle en direct”. Le public, “captivé par ces rebondissements”, scrute le moindre geste, la moindre “inflexion de voix”, comme si l’histoire se déroulait sous ses yeux, “minute après minute”.

Dans les coulisses, l’atmosphère est “électrique”. Les équipes s’activent à un “rythme effréné”. Chaque édition est désormais observée “comme un spectacle à haute intensité”. Les équipes techniques, conscientes de l’enjeu, ajustent caméras et prompteurs avec une “prision quasi chirurgicale”. Léa Salamé, au centre de ce “tourbillon médiatique”, doit naviguer entre le “poids des erreurs passées” et la pression de maintenir une image irréprochable. Le plateau est devenu une “scène” où se joue un “équilibre fragile entre sérieux journalistique et spectacle médiatique”.

Mais pourquoi cette chute potentielle fascine-t-elle autant ? Parce que Léa Salamé n’est pas n’importe qui. Son ascension a été fulgurante. C’est sur le plateau d’”On n’est pas couché”, aux côtés de Laurent Ruquier, qu’elle s’est révélée, maîtrisant “l’interview incisive” et les “dialogues difficiles”. Son “aisance” et son “autorité naturelle” ont immédiatement captivé. Elle a confirmé son talent avec “Stupéfiant”, avant le “tournant décisif” de sa carrière : sa nomination au 20h. Là, son “professionnalisme” et son “sens du rythme” ont conquis les téléspectateurs, faisant d’elle une “figure incontournable”.

Cette force de caractère, cette “résilience exceptionnelle”, elle la puise dans une histoire personnelle complexe. Née dans une famille d’origine libanaise, elle a été confrontée très tôt aux “complexités de l’exil”. Son enfance, loin des projecteurs, a été marquée par les “contraintes économiques” et les “responsabilités précoces”. Dans la cour d’école, elle a dû affronter les “moqueries issues de la différence culturelle”. Ces épreuves ont forgé son caractère. Les “discussions à table” familiales, intenses et animées, l’ont initiée “très tôt au goût des débats”. C’est ce “mélange de discipline, de curiosité et de résilience” qui constitue le “socle invisible mais solide” de sa carrière.

Cette armure de journaliste cache aussi une femme qui préserve farouchement sa vie personnelle. Son “équilibre fragile” repose sur sa relation “discrète” avec Raphaël Glucksmann et sur ses enfants. Son appartement parisien aux “lignes modernes” est son “refuge”, son “sanctuaire”, un “cocon loin des projecteurs” où la journaliste s’efface pour laisser place à la mère et à la compagne. Elle y maintient des “routines familiales” et des “rendez-vous sacrés” pour “résister aux tumultes extérieurs”.

Aujourd’hui, ce tumulte la rattrape. Les révélations fracassantes d’Anne-Sophie Lapix, couplées à ses propres “gaffes” et à cette absence qui tombe au pire moment, ont créé la tempête parfaite. Le public, “fasciné par les coulisses d’une télévision en pleine mutation”, retient son souffle. Le spectacle de la “rivalité” et des “imprévus” ne fait que commencer.