Il y a quelques heures 😱 : Michel Sardou, 78 ans, fait une confession bouleversante aprĂšs l’arrĂȘt de sa carriĂšre – “Je n’ai plus la santĂ©â€ đŸ•Šïž. Les fans sous le choc, les proches inquiets, certains parlent de dĂ©pression, d’autres d’un adieu dĂ©guisé  Que cache vraiment cette dĂ©claration poignante ? đŸ”œ Tous les dĂ©tails dans les c🗯mmentaires 👇👇

Dans une rĂ©cente interview, Michel Sardou s’est longuement confiĂ© sur les raisons qui l’ont poussĂ© Ă  s’éloigner de la scĂšne.


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Un cap important pour Michel Sardou ! À l’occasion du soixantiĂšme anniversaire de sa carriĂšre, l’artiste a pris la dĂ©cision de sortir de sa retraite. Ce dimanche 2 novembre 2025, il Ă©tait donc le prestigieux invitĂ© d’Audrey Crespo-Mara sur le plateau de Sept Ă  Huit. Durant son interview avec celle qui a rĂ©cemment perdu son Ă©poux, l’interprĂšte de La maladie d’amour a eu l’opportunitĂ© d’aborder plĂ©thore de sujet, dont l’utilisation de son titre Les lacs du Connemara lors d’un meeting du Rassemblement national. Un usage dont il ignorait tout et qu’il n’a pas manquĂ© de commenter avec ferveur !

Michel Sardou aux anges depuis son départ à la retraite

Si Michel Sardou s’apprĂȘte Ă  cĂ©lĂ©brer ses 60 ans de carriĂšre, le chanteur a derniĂšrement pris la dĂ©cision de tout arrĂȘter. Et il ne s’est jamais senti aussi bien que depuis son dĂ©part Ă  la retraite ! “Je ne fais rien. Mais rien ! Un effort, c’est aller dans le jardin, dans la piscine. Je n’ai jamais Ă©tĂ© aussi bien. Je ne vois personne, je suis un loup solitaire cachĂ© dans la montagne“, a-t-il confiĂ© Ă  Audrey Crespo-Mara. “Je ne m’ennuie jamais seul“.

“Je n’ai plus la santĂ© pour le faire”

MalgrĂ© de belles annĂ©es sur le devant de la scĂšne, Michel Sardou s’est Ă©loignĂ© pour une bonne raison. “Non ! J’ai dit adieu parce que je sais que physiquement, je n’ai plus la santĂ© pour le faire“, a-t-il expliquĂ©. “Question vocal, question corps. Tenir deux heures sur scĂšne sur des tessitures trĂšs Ă©levĂ©es, je ne peux plus le faire maintenant“. Outre son Ă©tat de santĂ©, l’artiste s’est aussi ouvert sur une autre question : la polĂ©mique concernant sa position sur le consentement.

L’artiste rĂ©pond aux fĂ©ministes qui ne cessent de le critiquer

Lors de son dernier concert Ă  Paris La DĂ©fense Arena, Michel Sardou a ironisĂ© sur le consentement. Un moment qui n’avait pas manquĂ© de faire rĂ©agir les fĂ©ministes auxquelles il a choisi de rĂ©pondre : “Oui, elles ont toujours tort, les fĂ©ministes. Je dis une chose sur scĂšne, c’est comme une piĂšce de théùtre, je joue un rĂŽle. Je ne suis pas exactement ce que je suis et je ne dis pas qui je suis. De plus, je peux avoir une position dans une chanson, puis le contraire dans la chanson qui suit […] les fĂ©ministes qui prennent ça au pied de la lettre, sont des connes”, a-t-il tranchĂ©. Des mots qui risquent de dĂ©chaĂźner les passions…

Tristesse immense 💔 : Michel Sardou, l’un des derniers gĂ©ants de la chanson française, brise le silence Ă  78 ans – “Je n’ai plus la santĂ©â€ confie-t-il, la voix tremblante. Fin de carriĂšre, solitude, peur du vide
 Les confidences d’un homme face Ă  sa lĂ©gende 😱

Il y a des mots qui rĂ©sonnent comme un coup de tonnerre dans le silence. Quand Michel Sardou, 78 ans, a prononcĂ© ces quelques mots – “Je n’ai plus la santĂ©â€ –, la France entiĂšre a retenu son souffle. C’est un aveu simple, mais chargĂ© de tout ce qu’un artiste redoute le plus : la fin, le vide, l’usure du temps.

Sur le plateau oĂč il venait promouvoir son ultime tournĂ©e, le chanteur semblait Ă©mu, presque fragile. Son regard, d’habitude si vif, paraissait voilĂ© par une certaine mĂ©lancolie. Il a souri, mais un sourire triste, celui de quelqu’un qui sait que le rideau tombe pour de bon.

“Je ne peux plus, je n’ai plus la force physique. Monter sur scĂšne, c’est un bonheur, mais aussi une Ă©preuve. Et je ne veux pas devenir le chanteur fatiguĂ© qu’on regarde avec pitiĂ©.” Ces mots, durs et lucides, ont glacĂ© le public.

Pour beaucoup, Michel Sardou n’est pas un simple chanteur. Il est la voix d’une Ă©poque, celle des amours passionnĂ©es, des colĂšres sociales, des rĂȘves de grandeur et des blessures françaises. De “La maladie d’amour” Ă  “Je vais t’aimer”, il a traversĂ© des dĂ©cennies de succĂšs, imposant son timbre puissant et son caractĂšre bien trempĂ©.

Mais aujourd’hui, l’homme derriĂšre la lĂ©gende semble Ă©puisĂ©. Son entourage parle d’un artiste qui “ne dort plus”, qui “rumine la fin”, et qui redoute plus que tout “l’aprĂšs”. Car pour lui, vivre sans la scĂšne, c’est un peu comme vivre sans air.

Ses proches, dont sa femme Anne-Marie, veillent sur lui. “Il se bat contre le temps”, confie l’un de ses amis de longue date. “Mais il est lucide. Il sent que son corps ne suit plus. Il prĂ©fĂšre partir dignement, avant que la scĂšne ne le trahisse.”

Dans une rĂ©cente interview, Sardou a d’ailleurs Ă©voquĂ© ce rapport Ă  la vieillesse sans dĂ©tour. “Vieillir, ce n’est pas grave, c’est mĂȘme une chance. Ce qui est dur, c’est de perdre peu Ă  peu ce qu’on a toujours eu : la voix, la mĂ©moire, la vitalitĂ©. Moi, j’ai tout donnĂ©, et je crois que le moment est venu de me taire un peu.”

Ces phrases rĂ©sonnent comme une forme d’adieu, pudique et bouleversant. Depuis l’annonce de la fin de sa carriĂšre, les messages de soutien affluent. “Merci pour tout ce que vous avez donnĂ© Ă  la chanson française”, “Vous ĂȘtes une partie de notre vie”, “On ne vous oubliera jamais” — les internautes se relaient pour lui rendre hommage.

Pourtant, certains y voient aussi une alerte. Car derriĂšre les mots de Michel Sardou se cache une immense solitude. Dans une maison du sud, face Ă  la mer, l’artiste passe ses journĂ©es Ă  Ă©crire, Ă  lire, Ă  Ă©couter le silence. “J’ai peur de m’effacer”, aurait-il confiĂ© Ă  un proche.

Mais dans ce retrait, il y a aussi une forme de paix. L’homme qui a longtemps Ă©tĂ© au cƓur des polĂ©miques, celui qu’on disait colĂ©rique, s’apaise. Il regarde ses souvenirs, sans regret. “J’ai eu la chance de vivre mille vies en une seule”, a-t-il murmurĂ© rĂ©cemment.

Les fans espĂšrent toujours une surprise, un retour, un dernier album. Mais lui semble dĂ©cidĂ©. “J’ai donnĂ© tout ce que j’avais Ă  donner. Le reste appartient au public.”

Peut-ĂȘtre est-ce lĂ , la plus belle des leçons. Michel Sardou s’efface doucement, sans drame, sans Ă©clat, avec la dignitĂ© de ceux qui ont tout vĂ©cu. Et mĂȘme si ses mots rĂ©sonnent comme un au revoir, ils contiennent encore une lumiĂšre : celle d’un homme vrai, qui ose dire qu’il est fatiguĂ©, qu’il est humain.

Dans un monde oĂč tout va trop vite, il nous rappelle que les lĂ©gendes aussi ont le droit de s’arrĂȘter, de respirer, de se taire.

Et si, au fond, ce n’était pas la fin, mais simplement une autre forme de chanson — celle du silence, du repos et de la reconnaissance ?