Tragedy in the Arènes d’Arles – Nagui déclenche une guerre juridique à 270 000 € contre un spectacle local : plagiat ou manœuvre pour faire taire la concurrence ? Des élus s’indignent, le public se rebelle, et une pétition affole déjà les compteurs – Que cache vraiment cette attaque ? Pourquoi maintenant ? Et surtout… que cherche-t-il à protéger ? La vérité pourrait tout bouleverser. Click to uncover the full story.
Tragedy in the Arènes d’Arles – Nagui déclenche une guerre juridique à 270 000 € contre un spectacle local : plagiat ou manœuvre pour faire taire la concurrence ?
Arles, juillet 2025. Ce qui devait être une fête populaire a viré au scandale national. Le “Choc des Arènes”, un événement organisé dans l’un des lieux les plus emblématiques de l’Occitanie, est devenu en quelques jours le théâtre d’un affrontement juridique retentissant entre le géant du divertissement Nagui et une petite organisation locale : Ludi Arles.
Au cœur du conflit ? Des vachettes camarguaises, des épreuves bon enfant, des équipes représentant différentes villes de la région… et surtout, une accusation explosive de « parasitisme » lancée par la société de production de Nagui, qui réclame ni plus ni moins que 270 000 € à Ludi Arles pour avoir, selon eux, plagié le concept de l’émission Intervilles.
Mais est-ce réellement un simple dossier de droits d’auteur ou une tentative brutale d’étouffer une initiative régionale qui commence à faire de l’ombre à l’empire médiatique du présentateur ? Car ce qui choque aujourd’hui, c’est moins le montant réclamé que la violence symbolique de l’attaque, jugée disproportionnée et injuste par de nombreux élus et habitants.
L’affrontement commence
Le 21 juillet 2025, plus de 5000 spectateurs se sont massés dans les arènes d’Arles pour assister à un spectacle familial, festif et entièrement centré sur les traditions locales : courses de vachettes, défis aquatiques, jeux entre Arlésiens et Nîmois. Un moment de légèreté… qui n’aura pas plu à tout le monde.
Nagui, via sa société de production Banijay, a vu dans ce spectacle une copie quasi conforme du concept d’Intervilles, émission qu’il a tenté de relancer récemment, sans réel succès. Pire encore, dans la plainte déposée, ses avocats évoquent un “acte délibéré de parasitisme”, visant à capitaliser sur l’image de la marque Intervilles pour en tirer un profit injustifié.
La riposte locale : colère et dérision
La réaction locale ne s’est pas fait attendre. Mandy Graillon, élue à la culture à Arles, dénonce une plainte “absurde” : “Je ne vois pas en quoi on plagie une émission juste en organisant un jeu entre villes voisines avec des vachettes, ça existe depuis des siècles ici !” Quant au député Pierre Dharréville, il est allé encore plus loin en publiant un communiqué au vitriol : “Le parasite, c’est lui !”, visant directement Nagui et l’accusant d’avoir bâti sa fortune sur les fonds publics tout en méprisant les gens du terroir.
Son texte, devenu viral en moins de 48 heures, dénonce “un homme gavé sur fonds publics” qui “se permet de faire la morale à tout le monde” tout en attaquant “ceux qui font vivre la culture locale avec passion”. Un hashtag a même vu le jour sur les réseaux : #SoutienAuxArènes.
Une pétition massive
En parallèle, une pétition en ligne a été lancée pour soutenir Ludi Arles et demander l’abandon de la plainte. Résultat : plus de 100 000 signatures en trois jours. Sur les forums, les groupes Facebook locaux, ou dans les cafés, les débats s’enflamment. Certains accusent Nagui de “tuer la culture populaire”, d’autres s’interrogent : “Pourquoi un animateur si puissant craint-il autant un petit événement local ?”
La rumeur enfle : l’audience catastrophique de la dernière saison d’Intervilles aurait poussé Nagui à chercher des boucs émissaires pour masquer un échec embarrassant. Une théorie confortée par des confidences anonymes dans la presse : un collaborateur aurait confié que le présentateur vivait “très mal la perte d’influence d’un format qu’il considérait comme sacré”.
La question qui dérange : à qui appartient la tradition ?
Au-delà du buzz, une question fondamentale secoue le débat : peut-on vraiment s’approprier une tradition populaire ? Les jeux d’arènes, les défis entre villes, les vachettes… tout cela existait bien avant Intervilles, et continuera sans doute d’exister. Le spectacle du 21 juillet ne prétendait pas être une émission télé, mais un hommage à une culture enracinée.
Certains y voient une tentative claire de privatisation de l’imaginaire collectif. D’autres pointent la logique d’un système où quelques grands groupes verrouillent tout ce qui peut devenir rentable, quitte à attaquer les plus petits pour “donner l’exemple”.
Et maintenant ?
La justice devra trancher dans les prochaines semaines. Mais déjà, l’image de Nagui est sérieusement écornée. De chouchou du public, il est devenu pour certains le symbole d’un monde médiatique déconnecté, prêt à tout pour défendre ses intérêts commerciaux.
L’affaire du “Choc des Arènes” révèle un affrontement bien plus vaste : celui entre la culture populaire spontanée et l’industrie du divertissement formaté. Et si derrière cette guerre de vachettes, se cachait une question bien plus profonde : à qui appartient la joie de vivre ?
Le combat ne fait que commencer.
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