‘animateur de France 2 est l’invité exceptionnel de puremedias.com.
Clap de fin pour notre grande journée spéciale Nagui sur puremedias.com ! Après avoir évoqué le prime de “Taratata” prévu demain soir, “N’oubliez pas les paroles” et ses primes sur France 2, “Tout le monde veut prendre sa place” et la radio, l’animateur vedette de France 2 nous parle des “Victoires de la musique”, de sa relation avec Delphine Ernotte, et jette un regard apaisé sur sa déjà longue carrière à la télévision.
Propos recueillis par Kevin Boucher et Benjamin Meffre.
En 2006, “Tout le monde veut prendre sa place” instaurait le champion “récurrent”, qui revient d’un jour sur l’autre. C’est un vrai vecteur d’audience ?
Oui, ça rejoint un peu la logique du feuilleton. C’est un héros dont les téléspectateurs découvrent la personnalité au quotidien, auquel ils s’attachent ou pas, qu’ils veulent voir gagner ou perdre.
Quand vous tenez un champion, vous êtes content car vous savez que ça va booster l’audience ?
Je vais être très sincère. Quand j’ai un candidat qui s’installe longtemps dans une ou l’autre des émissions, je me demande surtout si je vais m’attacher ou pas humainement à lui. C’est quand même quelqu’un avec qui je vais vivre un certain temps (rires). Tu as ou pas des atomes crochus. Avec Marie-Christine, Renaud, Kevin, les larmes me viennent quand ils perdent. Ce n’est pas feint, je le jure. On a nos numéros de téléphone. On se revoit après l’émission parce que tu partages des mois avec eux ! Kevin, par exemple, est venu sur le tournage du dernier “Taratata” au Zénith. Plus que l’audience, c’est donc cette question que je me pose. Il y a des maestros qui sont restés longtemps mais qui avaient un petit côté suffisant qui ne plaisait pas. Ca n’accrochait pas. C’est comme ça. Après, quand Renaud est à ça de rattraper Kevin, je sais évidemment qu’on a quelque chose de bon pour l’audience en tournant les émissions. De là à ce qu’on me soupçonne d’avoir fait exprès de le faire perdre (une référence à une polémique autour de la présence du mot “mais” dans la chanson “Cassé” de Nolwenn Leroy, ndlr) pour qu’il s’en aille, c’est vraiment mal connaître mon désir d’audience (rires).
“On ne s’est pas entendu avec l’organisation des Victoires”Nagui
En tant que “monsieur musique” de France 2, ne serait-il pas logique que vous animiez les “Victoires de la musique” ?
Oui, mais on ne s’est pas entendu avec les Victoires. C’est une organisation qui a pris tout ce que je pouvais leur proposer comme de l’ingérence, et pas de l’échange. Le plus beau reproche qu’on m’ait fait était : “On ne va pas te confier les Victoires à nouveau parce que le problème c’est qu’on pense trop à ‘Taratata’”. J’ai répondu que je n’avais jamais prononcé, en quatre ou cinq ans de présentation et de production des Victoires, le mot ‘Taratata’ – ce qui n’a d’ailleurs pas toujours été le cas de mes co-animateurs qui ont souvent fait la promotion de leurs émissions. J’ai dit cela et le gars en question, qui n’est plus là puisqu’il s’agit d’une présidence tournante m’a répondu : “Oui mais quand on te voit, on pense ‘Taratata’ !”. Qu’est-ce que tu veux que je fasse ? Je ne peux plus rien dire ! (Rires) J’avais par exemple instauré un jingle au bout d’une minute de remerciement, tout le monde m’a envoyé chier. Maintenant, ils font cela aux César et tout le monde trouve cela génial… A un moment donné, tu ne peux pas te battre contre les éléments. En tout cas, moi je sais que je ne proposerai plus rien et je ne participe plus aux appels d’offres.
Vous votez aux Victoires ?
Non. J’ai le bulletin mais non. A un moment, il faut être cohérent.
“L’homme blanc de plus de cinquante ans ? C’est le moment où je dis que je suis arabe !”Nagui
Vous parlez souvent à Delphine Ernotte ? Certains animateurs se plaignent de ne pas avoir de contact avec elle…
On échange par texto. Je vais bientôt déjeuner avec elle. Il y a eu un moment de trouble où il fallait qu’on se parle. Dans ces cas-là, je l’appelle. On se voit soit pour cadrer le contrat cadre, soit pour le plaisir de, soit quand elle vient au Zénith comme pour le dernier “Taratata”. Je croyais qu’elle allait rester une heure et partir. Elle est restée trois heures !
Vous avez 57 ans. N’avez-vous pas peur de la jurisprudence actuelle à France Télévisions concernant les animateurs dépassant la barre des 50 ans ?
C’est bien “l’homme blanc de plus de cinquante ans”, non ?
Oui…
C’est le moment où je dis que je suis arabe ! (Rires) Il faut bien que ça me serve un jour. Il y a eu trop de moment où c’était un boulet.
“C’est la meilleure partie de ma vie d’homme”Nagui
Dans votre longue carrière, vous avez tout connu : la gloire à la traversée du désert, la renaissance. Vivez-vous aujourd’hui la meilleure partie de votre carrière ?
Oui, la meilleure partie de ma vie d’homme même ! J’ai en effet connu plusieurs périodes dans ma carrière. A partir de 1993, ça commence à être une belle histoire avec “Que le meilleur gagne”, “Taratata” et puis “N’oubliez pas votre brosse à dents”. Mais après, pétage de câble total ! Je suis le maître du monde (il mime une tête quadruplant de volume, ndlr). Célibataire, la tête qui tourne dès qu’il y a une jupe qui passe, aucune stabilité, beaucoup de suffisance et beaucoup de : “Gérard réalise, Jean-Philippe éclaire, j’anime ! Ca va marcher !”. Bah non ! (rires)
On a l’impression qu’il y avait une folie générale à la télévision à cette période-là…
Tant que tu n’es pas tombé à vélo dans un virage où il y a des graviers, tu ne sauras pas qu’il ne faut pas trop pencher ou freiner du frein avant dans un virage avec des graviers. On a beau te dire 25 fois de ne pas toucher le four parce que c’est chaud, tant que tu n’as pas touché et que tu ne t’es pas brûlé, tu ne sais pas à quel point c’est chaud. C’était pareil pour moi. Tant qu’on ne s’est pas brûlé les ailes, tant qu’on n’a pas pété un câble, qu’on ne s’est pas fait tacler, quitter, tant qu’on n’a pas perdu un proche, on se croit immortel. Ce n’est qu’après avoir vécu cela qu’on relativise beaucoup de choses. Tu perds moins de temps à t’énerver avec des gens que tu n’aimes pas, et plus de temps à t’intéresser à des gens que tu aimes.
News
Surprise totale à Sète : Jean-Luc Reichmann débarque dans Demain nous appartient, et ses premiers instants à l’écran font déjà trembler les réseaux sociaux. L’animateur star, connu pour sa bienveillance et son humour, apparaît soudain dans un rôle inattendu qui brouille les pistes : clin d’œil amical ou nouvelle aventure qui va bouleverser sa carrière ? Les producteurs entretiennent le mystère, les fans spéculent, et une rumeur folle circule : et si Reichmann préparait en secret une double vie entre le jeu télévisé et la fiction ? Ce qui semble n’être qu’un caméo cache-t-il plus ? Révélations imminentes…
Surprise totale à Sète : Jean-Luc Reichmann débarque dans Demain nous appartient, et ses premiers instants à l’écran font déjà…
“« Cette année, j’ai décidé de… » : en prononçant ces mots, Jean-Luc Reichmann a déclenché une vague de spéculations sans précédent. L’animateur phare de TF1, dont la carrière semblait tracée, brouille les cartes et laisse entendre qu’un bouleversement majeur se prépare. Départ inattendu, engagement personnel, révélation intime ou annonce professionnelle explosive ? Le mystère reste entier, mais son regard sérieux et ses propos mesurés laissent présager une décision plus grave qu’on ne l’imagine. Pourquoi choisir aujourd’hui pour semer le doute ? Et surtout, que cache vraiment Reichmann derrière cette phrase inachevée ? Réponses bientôt, et elles pourraient choquer.”
“« Cette année, j’ai décidé de… » : en prononçant ces mots, Jean-Luc Reichmann a déclenché une vague de spéculations…
“Jean-Luc Reichmann brise le silence et surprend tout le monde : dans une déclaration énigmatique, il annonce que « cette année, j’ai décidé de… », laissant ses fans et les observateurs perplexes. Nouveau départ, projet secret, changement radical ou simple effet d’annonce ? Derrière ces mots lourds de promesses se cache peut-être une transformation personnelle ou professionnelle qui bouleversera son image publique. L’animateur préféré des Français, habituellement transparent et jovial, sème volontairement le doute, attisant toutes les spéculations. Est-ce la fin d’une ère ou le début d’une autre ? Les révélations à venir pourraient tout changer…”
“« Cette année, j’ai décidé de… » : en prononçant ces mots, Jean-Luc Reichmann a déclenché une vague de spéculations…
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Un livre qui fait trembler Miss France : ce qui devait rester un conte de fées vire au scandale d’État médiatique. Accusations de violences sexuelles, règlements de comptes, tabous brisés et coulisses que le public n’aurait jamais dû voir… La réalité derrière les strass et les couronnes apparaît dans toute sa brutalité, mettant en cause non seulement des individus mais aussi tout un système vieux d’un siècle. Pourquoi certains nient tout en bloc, quand d’autres décrivent l’enfer sous les projecteurs ? Entre rêve et cauchemar, Miss France n’a jamais semblé aussi fragile qu’aujourd’hui.
Un livre qui fait trembler Miss France : ce qui devait rester un conte de fées vire au scandale d’État…
“Un livre qui fait trembler Miss France : ce qui devait rester un conte de fées vire au scandale d’État médiatique. Accusations de violences sexuelles, règlements de comptes, tabous brisés et coulisses que le public n’aurait jamais dû voir… La réalité derrière les strass et les couronnes apparaît dans toute sa brutalité, mettant en cause non seulement des individus mais aussi tout un système vieux d’un siècle. Pourquoi certains nient tout en bloc, quand d’autres décrivent l’enfer sous les projecteurs ? Entre rêve et cauchemar, Miss France n’a jamais semblé aussi fragile qu’aujourd’hui.”
“Un livre qui fait trembler Miss France : ce qui devait rester un conte de fées vire au scandale d’État…
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