😶 Jean-Luc Reichmann a pris une décision claire : ne plus jamais dire le nom de Christian Quesada.
🔕 Une absence de mot… mais pas de message.
👁️ Ce silence est tout sauf anodin.
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🎙️ Jean-Luc Reichmann – « J’ai envie de vomir… »

Quelle horreur. Quel dégoût. J’ai envie de vomir. Évidemment.

[Silence… regard fixé sur la caméra]

Je suis en colère. Mais au-delà de la colère… je suis profondément bouleversé. J’ai mal.

Parce que ce n’est pas qu’une histoire d’un homme. C’est l’histoire d’un monstre qui s’est caché derrière le sourire d’un champion. Et qui a profité de notre confiance, de nos regards bienveillants, pour faire le pire.

Je ne veux même pas prononcer son nom. Il ne le mérite pas.

Moi, je viens d’une famille recomposée. J’ai des enfants. Ce que je défends à travers mes émissions, à travers mes fictions comme Léo Matteï, c’est la protection des plus fragiles. Des enfants. Des innocents.

Et pour ça, je suis allé en immersion avec les brigades de protection des mineurs. Pour comprendre. Pour ne pas me tromper. Pour agir avec justesse et vérité.

Ces femmes et ces hommes, dans l’ombre, travaillent jour et nuit. Ils géolocalisent, ils pistent, ils tombent sur l’innommable. Et c’est grâce à eux que cet individu s’est fait attraper. Et c’est très bien.

Mais on n’en parle pas assez.

Parce que derrière chaque clic, chaque image, il y a une victime. Il y a un enfant.

Et si aujourd’hui, ma voix peut servir, alors je la donne.

Quelle horreur… Quel dégoût. Oui. J’ai envie de vomir.

Mais je resterai debout. Pour les enfants. Pour les victimes. Pour le monde de demain.