“Demain Nous Appartient” accueille Jean-Luc Reichmann dans un rôle qui va tout changer : il se confie sur ce nouveau défi captivant. Cliquez sur le lien pour tout savoir.

🎬 Jean-Luc Reichmann débarque dans “Demain Nous Appartient” !
🌟 Un nouveau rôle qui va vous surprendre… et bouleverser l’intrigue.
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De passage au Festival de la Télévision de Monte-Carlo, l’acteur et présentateur vedette s’est confié sur son arrivée dans “Demain Nous Appartient” cet été. On en sait désormais plus sur son personnage qui débarque le 9 juillet prochain dans la célèbre quotidienne (sur La Une et Auvio) !

Jean-Luc, vous débarquez dans “Demain Nous Appartient”, qu’est-ce qui s’est passé ?

Jean-Luc Reichmann : Une proposition de fou de la production, un coup de fil à TF1 qui me dit “Mais évidemment”, et moi qui me dit : “Pourquoi ne pas profiter de la vie telle qu’elle vient, d’avoir de très belles expériences et de montrer un visage qu’on n’a peut-être jamais vu ?”

Qui est votre personnage dans la série ?

Un papa en détresse dont le fils s’est laissé entraîner dans les affres de la société et dans les méandres de la drogue. C’est la première fois que je joue un rôle pareil, et je suis super content. En plus, Demain Nous Appartient, c’est ma famille de cœur et même bien plus que ça. Les rapports que j’entretiens avec Ingrid et Alexandre sont fraternels. Et j’ai déjà tourné avec d’autres dans des anciennes productions.

Vous connaissez déjà tout le monde donc…

Oui, je connais bien tout le monde. J’ai aussi déjà tourné avec Nicolas Herdt, l’un des réalisateurs, pour Joséphine, Ange Gardien. Donc voilà, c’est que du plaisir. Je ne voyais aucune raison de refuser. On a juste dû planifier ça très longtemps en avance, parce que comme vous le savez, mon agenda est assez serré.

La bande-annonce de votre arrivée est récemment sortie, et elle laisse entendre que vous allez sauver Sète d’un requin. Est-ce que vous pouvez nous en dire plus ?

J’ai été choisi, parce que je suis le seul comédien en France à avoir été mangé par un requin. Et donc ils se sont obligatoirement dit que j’étais la bonne personne pour représenter ce sauveur-là. Mais non, c’est totalement faux bien sûr (rires).

Racontez-nous votre premier jour de tournage sur DNA. Dans quel état d’esprit êtes-vous arrivé ?

C’était très émouvant. J’étais très stressé, j’avais peur de décevoir, de ne pas être à la hauteur. On a tout de suite reconnecté avec Ingrid, ça a matché tout de suite, c’était instinctif. Tout comme avec Alex d’ailleurs. Nos personnages sont deux pères de famille qui sont dans une détresse insupportable puisque leurs enfants sont mêlés à ce trafic de drogue. Ce sont des parents en détresse. Mais pour répondre à votre question sur le premier jour, ça a été : “Pourvu que je ne les déçoive pas”. C’était ça qui me tenait beaucoup à cœur, car quand on me fait confiance comme ça, j’ai envie d’être à la hauteur du défi.


Jean-Luc Reichmann en interview pour la RTBF au Festival de la Télévision de Monte-Carlo. © Noémie Jadoulle / 2025

Vous avez aussi vu les coulisses du tournage d’une série quotidienne. Qu’avez-vous découvert ?

C’est effectivement un rythme fou. On tourne 5, 6, 7 séquences par jour, avec 3, 4, 5 pages par jour de script. Donc 7 x 5, 35, multiplié par 12 jours de tournage. Imaginez en 12 jours le nombre de pages que l’on doit apprendre. C’est un petit marathon. À l’intérieur de chaque scène, on essaie à chaque fois d’aller chercher quelque chose d’autre, de plus profond, de se surprendre entre nous, et de se dire : “Qu’est-ce qu’un papa en détresse peut ressentir à ce niveau-là de souffrance ?” C’est quelque chose que je n’avais jamais montré dans mes précédents rôles.

Vous avez une technique pour apprendre un texte rapidement comme ça ?

Aucunement. J’ai fait 3 semaines de tournage et pendant 3 semaines, je suis resté sur place. Je ne suis pas rentré chez moi. Tous les week-ends, j’apprenais mes textes pour bien m’imprégner du personnage, pour être au plus proche des messages que je devais faire passer. C’est le jour, la nuit, c’est tout le temps. Les textes, je m’endors avec, je me réveille avec, je prends la douche avec mes textes. Oui, madame ! Je me brosse les dents avec mes textes, j’ai toujours cette petite musique en tête. Pour moi, c’est la tempête en permanence.


Jean-Luc Reichmann en interview pour la RTBF au Festival de la Télévision de Monte-Carlo. © Noémie Jadoulle / 2025

Il y a donc un requin dans cette intrigue. Personnellement, c’est un animal qui vous fait peur ?

Ah ben attendez, moi quand Les dents de la mer est sorti, j’étais adolescent. Et après l’avoir vu, je ne me suis pas baigné dans l’océan pendant deux ans, vous voyez ce que je veux dire ? Tellement j’étais terrorisé.

Donc là, vous n’allez à nouveau plus vous baigner pendant deux ans…

Si si, je vais me rebaigner. Tout va bien, ça a cicatrisé (rires).

Mais alors, c’est quoi votre plus grande phobie ?

Le vide sous toutes ses formes : physiquement, visuellement. C’est peut-être pour ça que je me nourris beaucoup de travail. Je suis toutes les semaines à la radio, je suis sur les planches au théâtre, je fais de la télévision… Et plus concrètement, j’ai aussi le vertige. Si je suis au troisième étage de la Tour Eiffel et que je monte encore sans m’arrêter, je vais avoir peur du vide.

Combien de temps allez-vous rester dans DNA ?

Là, pour l’instant, j’ai fait une seule arche. Il faudra voir quel est l’accueil. Laissons-nous une chance d’avoir du plaisir et de faire plaisir aux téléspectateurs. Dans tous les cas, ce que j’ai montré là, je ne l’ai montré nulle part ailleurs. Je me suis mis totalement à nu. La télé est le monde de l’éphémère, on ne sait pas de quoi demain sera fait. Restons donc dans cette magie-là. Pour le reste, c’est les auteurs, l’audience, les dirigeants qui prennent ce genre de décision, pas moi. Loin de là.

L’intrigue estivale de “Demain Nous Appartient” avec Jean-Luc Reichmann

À 59 ans, Pierre Dalvin est un restaurateur ambitieux qui a bâti sa carrière dans les Alpes, mais le succès n’a pas réussi à combler le vide laissé par la perte tragique de sa femme. Perdu dans son travail, il a laissé la distance s’installer avec son fils Emmanuel, convaincu qu’il pouvait gérer ses propres problèmes. Mais lorsque celui-ci disparaît et que Pierre apprend qu’un corps a été retrouvé sur la plage de Sète, son monde s’écroule : ce cadavre pourrait-il être le sien ?

Déterminé et animé par l’amour de son fils, Pierre va se lancer dans une quête désespérée, prêt à braver tous les obstacles. Pour cela, il n’hésitera pas d’ailleurs à envisager des alliances inattendues, quitte à naviguer dans un monde où la vérité et le mensonge s’entrelacent.

Rendez-vous avec Jean-Luc Reichmann et ce nouveau personnage à partir du 9 juillet sur La Une et Auvio.