Un candidat pas comme les autres dans Les 12 Coups de Midi : fan inconditionnel des Beatles, il surprend l’animateur Jean-Luc Reichmann et les téléspectateurs par ses connaissances musicales hors normes. De “Hey Jude” à “Let It Be”, rien ne lui échappe ! Mais ce n’est pas tout : sa passion influence ses réponses et même son attitude sur le plateau. Est-ce que cette admiration pour le groupe mythique l’aidera à devenir Maître de Midi ? Entre anecdotes, humour et talent, cet épisode intégral a conquis le public – cliquez sur le lien pour en savoir plus.

Il est fan des Beatles et brille dans Les 12 Coups de Midi : un candidat pas comme les autres

Dans l’émission Les 12 Coups de Midi diffusée cette semaine sur TF1, un candidat a marqué les esprits autant par sa culture que par sa passion peu banale. Paul, 36 ans, originaire de Nantes, s’est présenté sur le plateau avec une énergie contagieuse et une passion peu commune pour un groupe mythique : les Beatles. Dès les premières minutes, son admiration pour les Fab Four s’est imposée au centre du jeu, provoquant sourires, étonnement et bienveillance.

À peine entré en scène, Paul a commencé à fredonner quelques notes de “Here Comes the Sun” sous les rires amusés de l’animateur Jean-Luc Reichmann. Micro en main, regard pétillant, il n’a pas hésité à partager son histoire avec le groupe britannique, expliquant que son père était un grand collectionneur de vinyles et qu’il a grandi en écoutant les albums de John, Paul, George et Ringo. “C’est avec eux que j’ai appris l’anglais”, a-t-il confié. “Quand les autres enfants écoutaient des comptines, moi, j’étais déjà sur ‘Revolver’ et ‘Abbey Road’.”

Très vite, cette passion s’est traduite en avantage dans le jeu. Une première question tombe : “Quel est le nom de naissance de Ringo Starr ?” Paul n’a pas attendu la fin des choix possibles pour répondre avec assurance : “Richard Starkey.” Un sans-faute. Jean-Luc Reichmann, amusé, a réagi immédiatement : “On sent que vous n’avez pas besoin du téléphone à un ami pour celles-là.”

Tout au long de l’émission, Paul a su mêler culture générale et anecdotes musicales. Lorsqu’une question portait sur les années 60, il a raconté comment les Beatles avaient révolutionné l’industrie musicale en imposant des albums concepts, une première à l’époque. Il a également expliqué que la chanson “Yesterday” avait été composée par Paul McCartney après un rêve, une histoire peu connue mais avérée. Chaque réponse devenait prétexte à partager un morceau de cette passion, sans jamais tomber dans la prétention.

Son aisance et sa spontanéité ont conquis le public sur le plateau, mais aussi les téléspectateurs à la maison. Sur les réseaux sociaux, les commentaires positifs se sont multipliés dans les minutes qui ont suivi la diffusion. “Enfin un candidat qui ne vient pas seulement pour gagner, mais pour transmettre quelque chose”, écrit une internaute. Un autre commente : “Un vrai rayon de soleil dans cette émission. On a envie de lui laisser le micro et de l’écouter parler musique pendant des heures.”

Mais Paul ne s’est pas contenté d’être sympathique. Il a également su briller dans le jeu. Face à des questions parfois piégeuses sur la géographie, l’histoire ou la science, il a su garder son calme et faire preuve de logique. Sa méthode ? Toujours chercher un lien, une référence. “Quand on aime les Beatles, on s’intéresse forcément au contexte historique. Le mouvement hippie, la guerre du Vietnam, l’essor du rock psychédélique… tout est lié”, a-t-il expliqué entre deux manches.

Son parcours dans l’émission s’est poursuivi de manière impressionnante. Il a éliminé deux adversaires avec fair-play et est parvenu jusqu’à l’étape finale. Même s’il n’a pas remporté le jackpot, il a accumulé une belle cagnotte et, surtout, a laissé une empreinte mémorable. Jean-Luc Reichmann, qui anime l’émission depuis plus d’une décennie, l’a salué chaleureusement à la fin du programme. “Vous êtes un candidat comme on en voit rarement. Merci pour votre passion, votre simplicité et cette belle énergie.”

Au-delà du jeu, ce passage sur TF1 semble avoir été pour Paul un moment fort, presque une reconnaissance. “J’ai toujours été un peu l’original dans mon entourage”, a-t-il confié hors antenne. “Être fan des Beatles aujourd’hui, à mon âge, ce n’est pas forcément courant. Mais voir que ça touche encore les gens, que ça parle à toutes les générations, ça me réconcilie avec le monde.”

Cette émission a aussi été l’occasion de rappeler l’impact intergénérationnel des Beatles. Plus de 60 ans après leur apparition sur la scène musicale, leurs chansons continuent d’émouvoir, de rassembler et d’inspirer. Le passage de Paul dans Les 12 Coups de Midi en est une preuve supplémentaire. À travers ses références, ses mots, ses sourires, il a ramené un peu de Liverpool sur un plateau de télévision français.

Ce genre de moment, rare à la télévision, réconcilie parfois le public avec des jeux que l’on pourrait croire trop formatés. En quelques minutes, un candidat peut changer l’ambiance, faire vibrer une corde sensible, rappeler que derrière les bonnes réponses se cachent souvent des histoires humaines. Paul n’est pas seulement venu pour jouer, il est venu partager. Et ça, ça ne s’oublie pas.

Interrogé après le tournage, il a indiqué qu’il souhaitait continuer à transmettre sa passion, pourquoi pas en lançant une chaîne YouTube ou en animant des ateliers pour les jeunes. “La musique des Beatles, c’est universel. Si je peux aider les enfants à découvrir cette richesse, je le ferai avec plaisir.” Un projet qu’on ne peut que saluer.

Ainsi, l’émission de ce jour-là n’a pas vu un simple participant répondre à des questions. Elle a vu un passionné vivre pleinement son moment, transmettre quelque chose d’authentique et rappeler que la télévision peut encore être un lieu de sincérité. Grâce à lui, Les 12 Coups de Midi a chanté un air différent, plus doux, plus mélodique, comme un écho lointain venu d’Angleterre.

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