Scandale juridique inattendu – La société de Nagui porte plainte contre les Arènes d’Arles pour “parasitisme” autour d’Intervilles : simple conflit commercial ou guerre cachée pour s’approprier le concept ? Des documents troublants émergent – et ce n’est que le début…
Décidément, l’émission Intervilles et son propriétaire actuel Nagui n’ont pas fini de sombrer dans la bouse de vache. Après avoir supprimé les vachettes emblématiques de l’émission Intervilles créée par Guy Lux dans les années 60, Nagui a du faire face à des audiences plutôt faibles avec sa version revue et corrigée jugée trop brouillon. Visiblement jaloux du succès que remportent encore les Arènes d’Arles avec leurs jeux traditionnels qui a inspiré son émission, ce dernier tente un coup de poker et attaque les Arènes pour « parasitisme ».
Le 21 juillet dernier, les Arènes d’Arles ont présenté leurs traditionnel spectacle basé sur des échanges entre deux villes autour de jeux d’obstacles et de vachettes.
Si ces jeux en arène et les vachettes sont une tradition dans le Sud de la France, Nagui voit visiblement d’un mauvais œil que l’émission dont il a racheté les droits ne soit pas aussi populaire que ces jeux locaux.
Il a donc décidé avec sa société de production d’attaquer les Arènes d’Arles en justice, considérant que ces jeux taurins sont du « parasitisme » vis à vis d’Intervilles.
Sa société réclame 270.000 euros de dommages et intérêts.
Cette attaque contre le spectacle intitulé « Le Choc des Arènes » engendre de nombreuses réactions dont celle de « l’Union des Jeunes de Provence et du Languedoc pour la défense de nos traditions ». Dans un communiqué de presse, l’organisation rappelle d’où vient l’émission Intervilles et pourquoi il est plutôt misérable de s’attaquer aux traditions locales :
« A la fin des années 50, un éleveur de taureaux Camargue (manadier) du nom d’Émile Bilhau, a pour idée d’agrémenter les courses de vaches, dites « pour amateurs », afin de les rendre plus amusantes.
C’est en ce sens qu’il créera le taureau piscine, en mettant pour la première fois une piscine au centre de l’arène. Suite à ce premier succès, Émile Bilhau aura l’idée de faire s’affronter les jeunes des villages dans des jeux par équipes bon enfant, avec taureaux et vaches au centre de la piste. Ce sera « lIntervillages », créé au début des années 60.
C’est alors que Guy Lux, de passage en Camargue, décèlera le potentiel de ces jeux et approchera Émile Bilhau pour lui demander l’autorisation d’en faire un jeu télévisé. Monsieur Bilhau acceptera, à la seule condition que ses vaches participent à l’émission. C’est le début de l’émission « Intervilles » en 1962.«
L’organisation explique alors qu’il sera impossible d’empêcher la tenue de ces jeux, de la Camargue jusqu’aux Landes, qui font partie de la culture locale et de leur mode de vie depuis bien avant l’arrivée de l’émission.
La direction des Arènes d’Arles explique avoir simplement respecté les traditions locales et ne pas avoir plagié l’émission. En attendant, l’attaque de la société de production de Nagui met en stand by les prochaines éditions du Choc des Arènes puisque la somme demandée en dommages et intérêts représente plusieurs années de recettes pour les courses de vachettes locales.
Le monde du divertissement français est secoué par une affaire pour le moins inattendue : la société de production de Nagui, figure incontournable du paysage audiovisuel, vient d’attaquer les Arènes d’Arles en justice pour parasitisme autour du célèbre concept d’Intervilles. À première vue, on pourrait croire à un banal différend commercial, mais en y regardant de plus près, les ramifications de ce conflit révèlent un affrontement bien plus profond — une véritable guerre souterraine pour le contrôle d’une marque emblématique. Que cache vraiment cette plainte ? Pourquoi maintenant ? Et surtout : qui essaie de s’approprier quoi, et à quel prix ?
Tout commence il y a plusieurs mois, lorsque les Arènes d’Arles annoncent un événement d’été baptisé « Jeux d’Arènes », une série de spectacles populaires inspirés, selon certains, du mythique Intervilles. Des équipes locales s’affrontent dans des jeux d’agilité, de force et d’adresse, sous les acclamations du public. Une ambiance bon enfant, certes… mais aussi une étrange sensation de déjà-vu. Le décor, les épreuves, la tonalité festive : pour la société de Nagui, ces similitudes ne relèvent pas du hasard.
Le 17 juillet, un courrier d’assignation en justice est officiellement adressé aux organisateurs de l’événement. En cause : l’utilisation de concepts, d’éléments scénographiques et de structures de jeu qui, selon Nagui et ses équipes, reprennent sans autorisation les codes d’Intervilles, programme dont ils détiennent les droits d’exploitation. Mais l’affaire ne s’arrête pas là.
En effet, selon des documents internes consultés par notre rédaction, plusieurs tentatives de médiation auraient échoué dans le silence le plus total. Des échanges de mails entre producteurs et responsables municipaux montrent que des avertissements ont été envoyés bien avant la plainte officielle — sans réponse. Pire encore : un ancien collaborateur de l’émission, aujourd’hui basé dans le sud de la France, aurait été contacté en amont pour “conseiller” l’équipe d’Arles sur la mise en scène des jeux… coïncidence ou stratégie délibérée ?
Cette affaire soulève de nombreuses questions. Si les accusations de parasitisme sont confirmées, cela pourrait faire jurisprudence et redistribuer les cartes dans la gestion des droits télévisuels. Mais pour l’heure, les Arènes d’Arles démentent vigoureusement toute volonté de plagiat. Leur avocat parle d’un “événement purement local, inspiré de jeux populaires anciens”, sans lien direct avec Intervilles. Pourtant, le terme “vachette” apparaît dans plusieurs supports de communication retrouvés en ligne… un clin d’œil anodin, ou un emprunt déguisé ?
Nagui, lui, n’a pas encore réagi publiquement. Mais dans l’entourage de l’animateur, on évoque une “volonté ferme de protéger un concept emblématique du patrimoine audiovisuel français”. Depuis sa relance avortée en 2020, Intervilles n’a pas retrouvé sa place à l’écran, mais reste ancré dans l’imaginaire collectif. Faut-il y voir un projet de retour prochain, que cet épisode pourrait compromettre ? Ou bien une tentative désespérée de récupérer une marque en sommeil ?
Autre élément troublant : la chronologie. L’événement d’Arles n’est pas le seul du genre à avoir vu le jour ces derniers mois. Partout en France, des fêtes locales intègrent désormais des jeux “inspirés” d’émissions d’antan. Mais pourquoi seul celui-ci fait-il l’objet d’une attaque frontale ? Certains y voient une manœuvre ciblée, dirigée non contre l’événement lui-même, mais contre une figure politique locale en lien avec les organisateurs — hypothèse encore non vérifiée, mais évoquée dans plusieurs messages interceptés sur les réseaux sociaux.
Pendant ce temps, sur internet, l’affaire prend une tournure virale. Sur X (anciennement Twitter), le hashtag #IntervillesGate circule déjà, alimenté par des captures d’écran, des comparatifs entre les deux événements, et même des extraits vidéos où la ressemblance semble frappante. Dans une vidéo récemment supprimée, on entend un animateur s’écrier : “On dirait du Intervilles, mais c’est mieux !” — une phrase qui, selon nos sources, aurait particulièrement agacé l’équipe de Nagui.
Mais alors, que faut-il penser ? Plagiat manifeste ou coïncidence maladroite ? Intimidation juridique ou défense légitime d’un concept culturel ? À l’heure où les contenus audiovisuels deviennent des marques déposées, les lignes entre inspiration et appropriation se brouillent dangereusement. Ce qui semblait n’être qu’une anecdote d’été pourrait bien devenir un cas d’école, et faire trembler les murs des studios parisiens comme ceux des arènes provençales.
Pour l’instant, la justice est saisie. Une première audience est prévue à la rentrée. D’ici là, chacun campe sur ses positions. Mais une chose est sûre : derrière cette bataille juridique se cache une lutte bien plus vaste, entre mémoire collective, propriété intellectuelle et… ambitions personnelles.
Et si le vrai combat ne faisait que commencer ?
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