Scandale et frisson ! đŸ˜± À 75 ans, VĂ©ronique de VillĂšle, icĂŽne du fitness tĂ©lĂ©visĂ© des annĂ©es 80, fait une rĂ©vĂ©lation glaçante sur une addiction qu’elle cache depuis des annĂ©es. “Ça fout les jetons”, confie-t-elle, la voix tremblante, en Ă©voquant une dĂ©pendance dont personne ne soupçonnait l’existence. DerriĂšre son sourire et son Ă©nergie lĂ©gendaire, une lutte silencieuse, entre honte, peur et besoin vital de contrĂŽle. Était-ce un simple excĂšs de volontĂ© ou une vĂ©ritable obsession qui a failli lui coĂ»ter la santĂ© ? 💣 Ce qu’elle avoue aujourd’hui change tout — 👉 Voir le 1er commentaire 👇👇

Dans le monde scintillant de la tĂ©lĂ©vision française des annĂ©es 80, VĂ©ronique de VillĂšle incarnait la vitalitĂ©, le bien-ĂȘtre et la perfection. Aux cĂŽtĂ©s de Davina, elle faisait danser, sauter et transpirer la France entiĂšre sur le gĂ©nĂ©rique mythique de Gym Tonic. Tout semblait parfait : un corps athlĂ©tique, une discipline de fer, un sourire contagieux. Et pourtant, derriĂšre cette image de santĂ© et de maĂźtrise absolue, se cachait une obsession — un engrenage qu’elle ne contrĂŽlait plus.

Tout a commencĂ©, raconte-t-elle, par une envie de se dĂ©passer. “Je voulais ĂȘtre toujours meilleure, toujours plus tonique. Le public attendait ça de moi. Alors j’ai poussĂ©, encore et encore.” Mais ce “plus” permanent est vite devenu un piĂšge. Chaque sĂ©ance d’entraĂźnement ne suffisait plus. Il fallait recommencer, repousser les limites, effacer la fatigue par un effort encore plus violent.

“C’était comme une drogue,” confie-t-elle. “Quand je ne faisais pas de sport, je me sentais vide, inutile, coupable.” Peu Ă  peu, la frontiĂšre entre passion et dĂ©pendance s’est effacĂ©e. Ce qui, autrefois, relevait du plaisir, s’est transformĂ© en besoin irrĂ©pressible. VĂ©ronique s’entraĂźnait parfois plusieurs heures par jour, sans repos, sans Ă©couter les signaux de son corps.

Son entourage commençait Ă  s’inquiĂ©ter. Davina elle-mĂȘme, son amie et partenaire de toujours, aurait tentĂ© Ă  plusieurs reprises de la raisonner. “Je la voyais s’épuiser. Elle ne dormait plus, ne mangeait presque rien. Son Ă©nergie, ce n’était plus de la joie, c’était de la nervositĂ© pure.”

Mais VĂ©ronique, Ă  l’époque, refusait d’entendre. “J’avais peur de m’arrĂȘter. Peur que tout s’écroule. Si je ne bougeais pas, je me sentais disparaĂźtre.”
Ce qu’elle ne savait pas encore, c’est que son corps, lui, commençait Ă  lĂącher. Douleurs articulaires, vertiges, malaises — autant de signaux d’alerte qu’elle ignorait par fiertĂ©. “Je me disais que c’était normal. Que la douleur faisait partie du chemin. Mais Ă  un moment, j’ai compris que j’étais en train de me dĂ©truire.”

Le dĂ©clic, raconte-t-elle, est venu un matin, devant le miroir. “Je ne me reconnaissais plus. J’avais les traits tirĂ©s, les yeux creux. Ce jour-lĂ , j’ai eu peur. Peur pour la premiĂšre fois.”

Alors, elle a dĂ©cidĂ© de consulter. Le diagnostic a Ă©tĂ© sans appel : surmenage extrĂȘme, troubles hormonaux, et une dĂ©pendance psychologique Ă  l’effort physique. “Ça fout les jetons,” dit-elle aujourd’hui avec un sourire amer. “On ne pense pas qu’on peut devenir accro au sport. Et pourtant, c’est une vraie addiction.”

Commence alors une longue reconstruction. Apprendre Ă  ralentir, Ă  s’écouter, Ă  accepter de ne rien faire. “Au dĂ©but, c’était insupportable. Je culpabilisais dĂšs que je restais assise. J’avais l’impression de trahir la VĂ©ronique de Gym Tonic.”

Mais peu Ă  peu, le silence et la lenteur ont pris la place du mouvement incessant. “J’ai redĂ©couvert le plaisir de marcher, de respirer, de lire, de simplement vivre.”

Aujourd’hui, Ă  75 ans, VĂ©ronique de VillĂšle revendique une nouvelle forme d’équilibre. “Je ne veux plus ĂȘtre parfaite. Je veux juste ĂȘtre vivante.” Son message, dit-elle, s’adresse Ă  tous ceux qui confondent discipline et punition. “Le corps n’est pas une machine Ă  entretenir, c’est une maison Ă  habiter. Il faut l’aimer, pas le dominer.”

Et si cette confession bouleverse tant, c’est parce qu’elle met des mots sur une rĂ©alitĂ© souvent passĂ©e sous silence : l’obsession du contrĂŽle, l’injonction Ă  la performance, le culte du corps parfait. Une pression qui ne touche pas que les stars, mais toute une gĂ©nĂ©ration nourrie aux images de perfection tĂ©lĂ©visĂ©e.

VĂ©ronique, avec son parcours et sa luciditĂ©, offre une leçon d’humilitĂ©. “J’ai passĂ© ma vie Ă  prĂȘcher la forme, mais je n’avais pas compris que le repos faisait partie de la santĂ©.”

Ses fans, bouleversĂ©s par cette rĂ©vĂ©lation, saluent aujourd’hui son courage. Sur les rĂ©seaux sociaux, les messages affluent : “Merci pour votre sincĂ©ritĂ©â€, “Vous nous avez fait bouger, maintenant vous nous faites rĂ©flĂ©chir.”

Dans un monde oĂč l’image domine encore, VĂ©ronique de VillĂšle choisit enfin la vĂ©ritĂ©. Une vĂ©ritĂ© simple, dĂ©sarmante, mais essentielle : “La plus belle forme, c’est celle d’un cƓur en paix.”