Quand une figure emblématique de la télévision française comme Pascal Praud s’exprime de manière directe sur les prises de parole de Nagui, cela crée forcément un débat intense sur la liberté d’expression, la partialité médiatique et les tensions internes dans le paysage audiovisuel : mais qu’a-t-il réellement dit, et pourquoi cette phrase en particulier, « Mais lui il peut faire ce qu’il veut en fait », fait-elle autant réagir ? Pour comprendre les dessous de cette déclaration controversée et ses implications profondes, il faut revenir sur les faits. Cliquez sur le lien pour en savoir plus.
« Mais lui il peut faire ce qu’il veut en fait » : une simple phrase, lancée par Pascal Praud lors de son émission, a suffi à relancer un débat passionné sur la télévision française, ses vedettes, et les rapports de force qui y règnent. Derrière cette déclaration, en apparence anodine, se cache un ressenti bien plus profond et révélateur du climat actuel dans les médias. Que voulait-il vraiment dire ? Pourquoi Nagui est-il ciblé ? Et surtout, que dit cela de notre rapport aux figures médiatiques ?
Pascal Praud, journaliste et animateur reconnu, n’est pas étranger aux polémiques. Ancien chroniqueur sportif devenu éditorialiste et présentateur d’émissions d’actualité, il est aujourd’hui une voix influente du paysage audiovisuel français. Lorsqu’il parle, ses propos ne passent pas inaperçus. Cette fois, c’est à propos de Nagui, animateur emblématique de France Télévisions, qu’il s’est exprimé. Nagui, connu pour son humour, son franc-parler et son engagement écologique, est l’un des visages les plus appréciés du service public. Mais cette popularité fait-elle de lui un intouchable ? C’est en tout cas ce que semble suggérer Pascal Praud.
Dans son émission, l’animateur a réagi à des propos de Nagui tenus quelques jours auparavant, où ce dernier critiquait ouvertement certaines orientations de la télévision française, notamment le manque de diversité des opinions. Pascal Praud, visiblement irrité, a alors lancé cette phrase : « Mais lui il peut faire ce qu’il veut en fait », laissant entendre une certaine injustice dans le traitement réservé à certaines personnalités. Selon Praud, Nagui bénéficierait d’une forme de « passe-droit » lui permettant d’aborder tous les sujets, parfois avec provocation, sans jamais être inquiété ou rappelé à l’ordre.
Cette remarque a immédiatement enflammé les réseaux sociaux. D’un côté, certains ont soutenu Pascal Praud, dénonçant une forme de deux poids deux mesures dans le monde médiatique. De l’autre, de nombreux internautes ont défendu Nagui, soulignant son professionnalisme, sa longévité et sa capacité à rester proche du public. Cette division met en lumière une tension grandissante : celle entre animateurs jugés « institutionnels » et ceux perçus comme « engagés », voire trop engagés.
Ce n’est pas la première fois que ces deux figures médiatiques se retrouvent indirectement opposées. Déjà en 2021, Nagui avait critiqué le manque de neutralité de certaines émissions d’actualité, ce qui avait été interprété comme une attaque à peine voilée envers CNews, chaîne où Pascal Praud officie. Ce dernier n’avait alors pas réagi publiquement, mais la tension semblait palpable. Aujourd’hui, avec cette nouvelle pique, la rivalité éclate au grand jour.
Mais au-delà des querelles de personnalités, cette affaire soulève des questions plus larges. Peut-on encore exprimer librement son opinion à la télévision sans être taxé de partialité ? Existe-t-il des animateurs « protégés », qui jouiraient d’une liberté que d’autres n’auraient pas ? Le débat est complexe. D’un côté, la télévision publique se doit d’assurer une pluralité d’opinions et une liberté de ton. De l’autre, elle doit aussi veiller à maintenir une certaine neutralité, surtout sur les sujets sensibles.
Le cas de Nagui est d’autant plus intéressant qu’il incarne une forme d’engagement rare dans le paysage télévisuel. Que ce soit sur les enjeux climatiques, la place des femmes ou la cause animale, l’animateur n’hésite pas à prendre position. Un choix assumé, mais qui peut parfois déranger. Pour Pascal Praud, qui défend une vision plus rigoureuse du journalisme et de l’expression médiatique, cette liberté peut apparaître comme une entorse aux règles du jeu.
En réalité, la phrase « Mais lui il peut faire ce qu’il veut en fait » n’est pas seulement une critique ; elle révèle une frustration, peut-être partagée par d’autres figures du paysage audiovisuel, face à un système perçu comme inégal. Elle met en lumière les tensions entre liberté d’expression et responsabilité médiatique, entre personnalisation des programmes et exigences de neutralité.
Cette affaire ne changera probablement pas les équilibres actuels de la télévision française, mais elle aura au moins eu le mérite de relancer un débat nécessaire. Car derrière les rivalités individuelles, c’est tout un modèle médiatique qui est interrogé : celui de la starisation des animateurs, de la concentration des opinions, de l’influence des audiences sur les contenus. Un modèle en pleine mutation, et dont les prochaines années diront s’il est encore capable de répondre aux attentes du public.
Au fond, peut-être que la vraie question n’est pas de savoir si Nagui peut tout faire, mais plutôt pourquoi il est l’un des rares à oser autant à l’antenne. Et cela, quoi qu’on pense de lui, mérite sans doute réflexion.
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