PERSONNE NE S’Y ATTENDAIT ! 🚨 Le Plateau de BFM TV Prend Feu : Ariane Anemoyannis DÉTRUIT Brigitte Macron en Direct ! “Sales Connes ??” La Réplique Cinglante qui Humilie l’Élysée ! Il est difficile de croire qu’une telle charge ait été lancée en direct à une heure de grande écoute. Ariane Anemoyannis n’a pas retenu ses coups et a livré un détail explosif sur le mépris de classe supposé de la Première Dame. Ce clash monumental va vous agacer ou vous galvaniser. Quel est le premier signe inquiétant que la jeunesse déclare la guerre ouverte au couple présidentiel ? Cette séquence virale change tout. Découvrez la vidéo du massacre verbal et la sidération des journalistes dans les commentaires ! 👇 Ne ratez pas ce règlement de comptes !

L’ambiance était électrique sur le plateau de BFM TV, mais personne n’avait anticipé une telle déflagration. Invitée pour réagir aux propos polémiques attribués à Brigitte Macron, qui aurait traité des féministes de “sales connes”, la militante Ariane Anemoyannis a littéralement “explosé”. Loin de la langue de bois habituelle des débats télévisés, elle a laissé éclater une colère froide et méthodique, transformant son temps de parole en un réquisitoire impitoyable contre la Première Dame.

La vérité qui éclate au grand jour est celle d’une rupture totale. En reprenant l’insulte “Sales connes ??” avec un regard d’acier, Ariane Anemoyannis a retourné la violence verbale contre l’Élysée. Elle a dénoncé ce détail explosif : selon elle, cette vulgarité n’est pas un dérapage, mais la preuve d’une déconnexion totale des élites face aux souffrances des femmes. Les journalistes, médusés par la virulence de la charge, ont peiné à reprendre le contrôle. Ce témoignage est le premier signe inquiétant pour Brigitte Macron que l’affaire ne se tassera pas. En direct, Anemoyannis a exigé des excuses publiques immédiates, prévenant que “l’insulte ne passera pas”. C’est David contre Goliath, et cette fois, David avait un micro sur BFM.

C’est une séquence qui restera gravée dans les annales de la télévision et qui marque sans doute un tournant dans la communication, jusqu’ici si contrôlée, de l’Élysée. Sur le plateau de BFM TV, l’atmosphère était irrespirable ce lundi soir. Invitée par Alain Marschall et Olivier Truchot pour réagir à la polémique qui enflamme la toile, Ariane Anemoyannis, figure de proue du mouvement Révolution Permanente, a livré une charge d’une violence inouïe contre Brigitte Macron. Au cÅ“ur de la tempête : une vidéo volée, des insultes vulgaires proférées par la Première Dame, et un soutien affiché à l’humoriste Ary Abittan qui ne passe pas.

L’étincelle : “S’il y a les sales connes, on va les foutre dehors”

Tout part d’une vidéo diffusée par le magazine Public, puis retirée, mais que l’internet n’a pas oubliée. On y voit Brigitte Macron, en visite dans les loges de l’humoriste Ary Abittan – dont le retour sur scène est contesté par des associations féministes suite aux accusations de viol (bien que l’affaire ait abouti à un non-lieu).

Alors que l’humoriste confie sa peur d’être perturbé par des manifestations, la réponse de la Première Dame fuse, brutale, sans filtre : “S’il y a les sales connes, on va les foutre dehors”. Elle qualifie également les militantes de “bandits masqués”.

Ces quelques secondes ont suffi à briser l’image de bienveillance maternelle soigneusement construite autour de l’épouse du Chef de l’État. Mais c’est sur le plateau de BFM TV que la riposte s’est organisée, et elle a pris le visage d’une jeune militante qui n’a pas froid aux yeux.

“Je l’assume, je suis une sale conne !”

Face aux éditorialistes et aux soutiens de la majorité tentant de minimiser les propos (parlant d’agacement ou de contexte privé), Ariane Anemoyannis a choisi l’offensive frontale. Loin de s’excuser ou de se justifier sur les méthodes des collectifs comme Nous Toutes, elle a retourné le stigmate avec une rhétorique implacable.

“Oui, je l’assume, je suis une sale conne comme toutes les féministes qui se sont battues avant moi”, a-t-elle lancé, le regard noir, fixant la caméra.

Pour la jeune étudiante, cette insulte n’est pas une bavure, elle est un révélateur politique. “C’est le symbole d’une politique”, martèle-t-elle. En revendiquant cette insulte, elle s’inscrit dans la lignée des femmes qui, de tout temps, ont été traitées de folles, d’hystériques ou de “salopes” (comme elle le rappellera en évoquant le manifeste des 343) pour avoir osé réclamer des droits.

Le soutien à Ary Abittan : La goutte d’eau

Au-delà de l’insulte, c’est le fond de l’affaire qui a provoqué la colère froide d’Ariane Anemoyannis. Que la Première Dame de France, censée porter la “Grande Cause du Quinquennat” (la lutte contre les violences faites aux femmes), aille rassurer un homme accusé de violences sexuelles en traitant celles qui protestent de “sales connes” est vécu comme une trahison absolue.

“Ce qui est choquant, c’est le témoignage accablant de cette femme [la plaignante contre Abittan], les lésions béantes constatées par le médecin”, a rappelé la militante, ramenant brutalement le débat à la réalité crue des violences sexistes.

Face à elle, les tentatives de diversion sur la “présomption d’innocence” ou la “violence des méthodes militantes” ont semblé dérisoires. Anemoyannis a dénoncé un système de protection des puissants, un “entre-soi” bourgeois où l’on se soutient dans les loges dorées pendant que les victimes sont méprisées dans la rue.

“Des propos déshonorants”

La charge ne s’est pas arrêtée là. Ariane Anemoyannis a qualifié les propos de Brigitte Macron de “déshonorants du point de vue de la fonction qu’elle occupe”. C’est une attaque directe contre la légitimité morale de l’épouse d’Emmanuel Macron.

L’argument porte : comment peut-on prétendre lutter contre le harcèlement scolaire ou les violences conjugales le matin, et traiter de “sales connes” des militantes associatives le soir ? Pour Révolution Permanente, le masque est tombé. Le “vernis progressiste” de la Macronie s’écaille pour révéler un conservatisme et un mépris de classe viscéral envers celles qui perturbent l’ordre établi.

Une fracture générationnelle et politique

Ce clash sur BFM TV est symptomatique d’une rupture totale. D’un côté, une élite politique qui ne comprend pas la radicalité des nouvelles luttes féministes et qui réagit avec le vocabulaire de l’ancien monde (“sales connes”, “foutre dehors”). De l’autre, une jeunesse représentée par Ariane Anemoyannis, qui ne demande plus poliment la permission d’exister et qui est prête à “exploser” les codes télévisuels pour se faire entendre.

Brigitte Macron pensait peut-être que ses mots resteraient confinés à l’intimité d’une loge de théâtre. Elle a eu tort. Ils sont devenus le slogan d’une opposition qui ne compte rien lâcher. En voulant défendre son ami Ary Abittan, elle a réussi un exploit involontaire : unir contre elle toutes celles qui, fièrement, se feront désormais appeler les “sales connes”.