PERSONNE NE S’Y ATTENDAIT ! 🚨 De Retour de Chine, Macron Lâche une BOMBE et Imite Trump : “C’est une Question de Vie ou de Mort” ! La Vérité Éclate sur la Guerre Économique ! Il est difficile de croire que le Président français ait opéré un virage protectionniste aussi brutal, mais la vérité éclate au grand jour : il menace désormais de frais douaniers massifs ! Ce détail explosif sur la survie de notre industrie va vous agacer par la gravité de la situation. Quel est le premier signe inquiétant que l’Europe est au bord du gouffre face à l’ogre asiatique ? Cette décision radicale change tout. Découvrez les coulisses de ce bras de fer mondial et la liste des produits menacés dans les commentaires ! 👇 Ne ratez pas cette alerte rouge !

C’est un véritable séisme géopolitique qui vient de secouer l’Élysée à peine l’avion présidentiel posé sur le tarmac parisien. Emmanuel Macron, d’ordinaire chantre du libéralisme et de la diplomatie mesurée, a opéré une métamorphose spectaculaire et inquiétante. De retour de son voyage crucial en Chine, le chef de l’État a brisé tous les codes pour adopter une posture que l’on croyait réservée à Donald Trump : la menace directe et brutale. La vérité qui éclate au grand jour est celle d’une Europe au bord de l’asphyxie industrielle. En prononçant cette phrase fatidique, « C’est une question de vie ou de mort », Macron ne fait pas de la rhétorique, il tire la sonnette d’alarme sur une malédiction économique imminente.

Ce détail explosif concerne l’instauration potentielle de frais douaniers punitifs pour contrer la concurrence déloyale chinoise, une stratégie de “la terre brûlée” qui risque d’embraser les marchés. Le Président semble avoir réalisé, avec effroi, que sans un protectionnisme agressif, l’industrie française est condamnée à disparaître. Ce revirement est le premier signe inquiétant d’une nouvelle ère de guerre commerciale où tous les coups sont permis. S’agit-il d’un coup de bluff désespéré ou d’une lucidité tardive ? En imitant les méthodes radicales de l’Amérique, Macron joue sa dernière carte pour sauver ce qui peut l’être, quitte à provoquer une crise diplomatique majeure.

À peine rentré de son voyage officiel de trois jours à Pékin, le président français hausse le ton contre la Chine et brandit la menace de représailles commerciales. Une posture qui n’est pas sans rappeler celle de son homologue américain.

C’est un Emmanuel Macron offensif qui s’est exprimé dans les colonnes des Échos ce dimanche 7 décembre. Le Président de la République, qui vient de conclure une visite d’État auprès de Xi Jinping, n’a pas mâché ses mots : si Pékin ne rééquilibre pas ses échanges commerciaux avec l’Europe, l’Union européenne sera contrainte de riposter. Et de brandir l’arme des droits de douane, cette même stratégie que Donald Trump a érigée en doctrine économique depuis son retour à la Maison-Blanche.

« J’essaie d’expliquer aux Chinois que leur excédent commercial n’est pas soutenable parce qu’ils sont en train de tuer leurs propres clients, notamment en n’important presque plus rien de chez nous », a déclaré le président français. Une formule choc qui traduit l’exaspération de Paris face au déséquilibre abyssal des échanges franco-chinois.

Les chiffres donnent le vertige. Le déficit commercial de la France avec la Chine a atteint environ 47 milliards d’euros l’an dernier, selon le Trésor français. À l’échelle européenne, l’excédent commercial chinois avec l’UE a explosé pour atteindre près de 143 milliards de dollars au premier semestre 2025. Un record historique pour une période de six mois.

Mais c’est surtout la position inconfortable de l’Europe qu’Emmanuel Macron a tenu à souligner. « Aujourd’hui, nous sommes coincés entre les deux, et c’est une question de vie ou de mort pour l’industrie européenne », a-t-il alerté, qualifiant au passage l’approche américaine vis-à-vis de la Chine d’« inappropriée ». Selon lui, la politique tarifaire agressive de Washington aurait aggravé la situation européenne en détournant les produits chinois vers le marché du Vieux Continent.

Le président français a également révélé avoir évoqué ce dossier avec Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne. Mais il reconnaît un obstacle de taille : l’Allemagne, première économie du continent et fortement dépendante de ses exportations vers la Chine, ne partage pas entièrement la position française.

Cette sortie médiatique est d’autant plus étonnante que la situation entre Paris et Pékin est déjà tendue. L’an dernier, la France avait soutenu la décision de l’UE d’imposer des droits de douane sur les véhicules électriques chinois. La riposte de la Chine ne s’était pas faite attendre : des exigences de prix minimum ont été imposées sur le cognac français, et la Chine a laissé planer la menace d’une extension aux producteurs de porc et de produits laitiers.

Emmanuel Macron en Trump européen ?

Pendant ce temps, de l’autre côté de l’Atlantique, les relations sino-américaines semblent paradoxalement s’apaiser. Jamieson Greer, représentant américain au Commerce, a affirmé dimanche que la Chine respectait jusqu’ici les termes des accords commerciaux bilatéraux, notamment sur les achats de soja. « Tous ces engagements que nous avons convenus récemment avec les Chinois sont très concrets, nous pouvons les surveiller facilement, et jusqu’à présent, nous constatons qu’ils sont respectés », a-t-il déclaré sur Fox News.

Le secrétaire au Trésor Scott Bessent a confirmé cette dynamique positive. Et d’indiquer que les prix du soja ont augmenté de 12 à 15 % depuis l’accord avec Pékin. Une trêve tarifaire a été prolongée fin octobre entre Donald Trump et Xi Jinping, accompagnée d’un assouplissement des contrôles à l’exportation et d’une réduction des barrières commerciales.

Ironie de l’histoire : Emmanuel Macron adopte une rhétorique musclée inspirée de Trump précisément au moment où l’administration américaine semble récolter les fruits d’une approche plus diplomatique avec Pékin. Le président français se retrouve ainsi dans une position délicate, contraint d’emprunter les méthodes qu’il critique pour défendre les intérêts industriels européens.

Au-delà du commerce, le Président français a appelé la Banque centrale européenne à faire évoluer sa politique monétaire pour prendre davantage en compte la croissance et l’emploi, et non plus seulement l’inflation. Un rappel que la bataille économique avec la Chine ne se gagnera pas uniquement à coups de droits de douane, mais aussi par un renforcement en profondeur de la compétitivité européenne.

Emmanuel Macron menace la Chine de droits de douane européens si Pékin ne réduit pas son excédent commercial record avec l’UE
Le président français dénonce une Europe « coincée » entre les États-Unis et la Chine, dans une situation qu’il qualifie de « vie ou mort » pour l’industrie européenne
Paradoxalement, les relations commerciales sino-américaines s’améliorent, Washington affirmant que Pékin respecte ses engagements sur les achats de soja