On les connaît sérieux, pros, impeccables sur les plateaux. Mais cette fois, Jean-Luc Reichmann et Lorie ont montré un tout autre visage ! En plein tournage d’un épisode de série télé, les deux stars ont enchaîné fous rires, improvisations délirantes et surprises en cascade. Une ambiance bon enfant, captée par les caméras en coulisses, a rapidement fuité sur les réseaux. Le duo complice a-t-il improvisé des scènes ? Ont-ils vraiment chanté ensemble hors script ? Ce moment de tournage est déjà culte pour l’équipe. Cliquez sur le lien pour découvrir la suite.

Jean-Luc Reichmann et Lorie : quand le tournage devient une vraie partie de plaisir

Ce devait être une journée comme les autres sur le plateau de tournage d’un épisode de la série policière “Léo Matteï, Brigade des mineurs”. Mais pour Jean-Luc Reichmann et Lorie Pester, tout a basculé lorsque l’ambiance studieuse s’est transformée en véritable fête de l’improvisation et des éclats de rire.

Le lieu ? Un hangar réaménagé en décor de commissariat, quelque part en région parisienne. L’équipe technique est en place, les caméras alignées, les scripts imprimés. À 9h précises, Jean-Luc Reichmann arrive sur le plateau, ponctuel comme à son habitude. Souriant, énergique, il salue tout le monde par leur prénom. Lorie arrive peu après, en jogging noir et casquette vissée sur la tête, un café à la main. Très vite, les regards complices fusent : la journée promet d’être animée.

Ce jour-là, les deux comédiens doivent tourner une scène d’interrogatoire. Le scénario prévoit un échange tendu entre Léo Matteï (Reichmann) et un personnage joué par Lorie, une éducatrice spécialisée témoin d’un incident troublant. Mais dès la première prise, les choses dérapent légèrement. Lorie inverse une réplique, Jean-Luc improvise une réponse… et toute l’équipe éclate de rire.

Le réalisateur crie “coupez !” mais sans colère. Il sait que les deux acteurs sont en train de créer quelque chose de vivant. “Quand ils se lancent, on les laisse faire, raconte un assistant de réalisation. Ce sont deux pros qui savent exactement jusqu’où aller sans casser le rythme.”

Les prises s’enchaînent. À chaque pause, les deux stars se taquinent, jouent avec les techniciens, entonnent des chansons des années 80. À un moment, entre deux scènes, Jean-Luc sort son téléphone et fait écouter à Lorie une vieille version de “Sur un air latino”. Les rires fusent, et l’actrice ne peut s’empêcher de fredonner en playback, mimant une chorégraphie improbable. Le caméraman immortalise la scène, qui finira… dans les bêtisiers.

Ce qui marque le plus, c’est la sincérité de leur complicité. Pas de faux-semblant, pas d’égo démesuré. “Jean-Luc m’a accueillie comme une sœur sur ce tournage, confie Lorie. Il n’y a pas de hiérarchie, juste une envie commune de raconter des histoires fortes et de le faire dans la joie.”

Jean-Luc, lui, ne tarit pas d’éloges sur sa partenaire : “Lorie a une énergie incroyable. Elle est à l’écoute, sensible, drôle. Et puis elle connaît les plateaux par cœur. Elle n’a rien à prouver, et ça change tout.”

Cette journée-là, les imprévus s’enchaînent aussi du côté technique. Une coupure de courant retarde le tournage d’une heure. Plutôt que de se réfugier dans leur loge, Jean-Luc et Lorie décident d’improviser une session karaoké improvisée dans le décor du commissariat, en invitant les figurants à chanter avec eux. L’ambiance devient celle d’un spectacle. Quelques extraits filmés se retrouvent le soir même sur TikTok, générant des milliers de vues en quelques heures.

Ce tournage n’a rien d’ordinaire. Pourtant, selon l’équipe, cette atmosphère n’est pas exceptionnelle pour ceux qui ont l’habitude de travailler avec Jean-Luc Reichmann. “C’est toujours comme ça avec lui, raconte une maquilleuse. Il transforme une journée classique en moment de fête. Il veille à ce que tout le monde se sente bien.”

Même les scènes les plus graves, celles qui touchent à des sujets sensibles comme la maltraitance ou l’enfance en danger, sont abordées avec sérieux mais sans lourdeur. “On ne plaisante jamais sur le fond, précise Lorie. Mais on sait que pour bien traiter ces thèmes, il faut garder de l’humanité dans l’équipe.”

Le soir venu, après plus de dix heures de tournage, les dernières scènes sont en boîte. Mais personne ne semble pressé de partir. Lorie reste discuter avec les régisseurs, Jean-Luc signe des autographes pour les enfants figurants. Avant de quitter le plateau, il lance : “Même quand on joue la gravité, on n’est jamais obligés de s’ennuyer !”

Ce tournage restera comme l’un des plus mémorables de la saison. Non seulement parce que l’épisode a été tourné dans des conditions particulièrement fluides, mais surtout parce qu’il a permis de révéler une alchimie rare entre deux artistes venus d’univers très différents, et pourtant parfaitement synchrones.

L’épisode en question, diffusé quelques semaines plus tard, sera l’un des mieux notés de la série. Mais pour ceux qui y ont participé, le vrai succès reste invisible à l’écran : ce sont ces instants de partage, de folie douce, et d’amitié qui en ont fait un moment unique.