Nagui a 63 ans, sa vie est tellement TRISTE : derrière les sourires, les applaudissements et la gloire, l’animateur cache un vide et des blessures que le public n’imagine pas une seconde — la vérité bouleversante de l’homme le plus aimé du PAF, cliquez pour tout découvrir.

Il a 63 ans, une carrière légendaire, des millions de téléspectateurs qui l’adorent, une épouse sublime, des enfants, la reconnaissance du métier. Et pourtant… derrière ce tableau parfait, Nagui traverse une période bien plus sombre qu’il ne le laisse paraître. Depuis quelque temps, ceux qui le côtoient parlent d’un homme plus fatigué, plus silencieux, presque mélancolique. Lui, toujours solaire à l’écran, dissimule un mal-être qu’il tente tant bien que mal de maîtriser. Derrière les rires de N’oubliez pas les paroles ou les concerts de Taratata, il y a désormais un homme qui s’interroge profondément : sur le sens de sa vie, sur la solitude, et sur la fin d’un cycle.

Le public ne le voit pas, mais Nagui doute. Depuis plus d’un an, ses proches ont remarqué un changement : moins de sorties, moins d’envie de mondanités, plus de repli sur soi. “Il se pose beaucoup de questions sur la suite”, confie un ami de longue date. “Nagui a toujours eu besoin de contrôler, d’anticiper. Aujourd’hui, il ne sait plus vraiment ce qu’il veut.” Ce constat, cruel pour un homme habitué à briller, traduit une crise existentielle discrète mais réelle. Après quarante ans de carrière, tout ce qu’il avait rêvé, il l’a atteint. Mais une fois le sommet conquis, que reste-t-il ?

Certains évoquent la pression du succès. Être Nagui, c’est ne jamais avoir le droit à la moindre faiblesse. Chaque sourire doit être sincère, chaque mot pesé. Sur les plateaux, il reste le même : drôle, vif, charmeur. Mais entre deux tournages, il s’éloigne. “Il regarde dans le vide, comme s’il était ailleurs”, raconte un technicien. Mélanie Page, sa femme, tente de le protéger. Ensemble depuis plus de vingt ans, ils ont construit une relation solide, à l’abri des scandales. Mais même elle reconnaît que la fatigue s’installe. “C’est un homme qui donne tout. Et parfois, il n’a plus rien pour lui-même.”

Nagui a toujours caché sa fragilité derrière l’humour. Ce mécanisme, forgé dès l’enfance, lui a permis de surmonter bien des blessures. Né en Égypte, déraciné très jeune, il a grandi avec la sensation de ne jamais être totalement “à sa place”. Cette impression d’étranger, il l’a transformée en force : séduire pour être accepté, divertir pour exister. Mais à 63 ans, le masque du showman pèse plus lourd. Il confiait récemment dans une interview à demi-mot : “Le rire, c’est une façon d’éviter le silence. Et le silence, parfois, fait peur.”

Les coulisses de Taratata ont d’ailleurs été marquées par plusieurs moments d’émotion. Lors d’une répétition, Nagui aurait fondu en larmes en écoutant une chanson de Calogero sur le temps qui passe. “Ce n’est pas le titre, c’est ce qu’il y a derrière”, aurait-il dit, la voix tremblante. Ces instants de fragilité, rares mais sincères, révèlent un homme à bout de souffle. Car oui, derrière l’énergie qu’il donne à ses émissions, Nagui s’épuise. Il ne supporte plus les faux-semblants, la superficialité du milieu, les critiques gratuites sur les réseaux. Il continue, bien sûr, par respect pour son public, mais son cœur n’y est plus tout à fait.

Les fans, eux, ne voient que le professionnel exemplaire. Celui qui plaisante avec les candidats, qui soutient les jeunes talents, qui se bat pour la musique en direct. Ils ignorent que, le soir, Nagui préfère s’isoler dans le silence de sa maison. Là, loin des projecteurs, il retrouve ses doutes et ses souvenirs. “Il repense beaucoup à ses parents”, raconte un proche. “Son père, disparu depuis longtemps, reste une figure immense dans sa vie. Et sa mère, il la chérit plus que tout. Mais la distance du temps, ça pèse.” Ces souvenirs réveillent une nostalgie douloureuse, celle de l’enfance, des débuts, des premières fois.

Malgré tout, Nagui refuse la plainte. Il n’est pas du genre à se laisser abattre. Au contraire, il transforme sa mélancolie en moteur. C’est peut-être pour cela qu’il reste si vrai à l’écran. Même quand il rit, il y a quelque chose dans son regard — une profondeur, une gravité. Il sait que tout peut s’arrêter du jour au lendemain. “Je n’ai plus rien à prouver”, a-t-il récemment confié. “Je veux juste que les gens se souviennent de moi comme de quelqu’un d’honnête.” Cette phrase, d’une simplicité désarmante, en dit long sur son état d’esprit actuel.

Ses enfants sont aujourd’hui sa plus grande source de réconfort. Il s’émerveille de les voir grandir, s’épanouir, choisir leurs chemins. Mais là encore, il ressent le passage du temps. “Ils n’ont plus besoin de moi comme avant”, dit-il avec une tendresse teintée de tristesse. Nagui, l’homme public, c’est un roc. Mais Nagui, le père, le mari, l’homme seul face à son miroir, c’est quelqu’un de profondément humain, parfois désorienté, souvent nostalgique.

À 63 ans, le roi du PAF mesure la fragilité de la lumière. Il continue de briller, certes, mais d’une lumière plus douce, plus consciente. Ce n’est pas la gloire qui l’anime désormais, mais la quête de sens. Il parle de ralentir, de se consacrer à des projets plus personnels, loin des studios. Peut-être un livre, peut-être un documentaire, peut-être rien. Juste du temps pour lui. “J’ai envie de vivre autrement”, glisse-t-il. “De profiter sans prouver.”

Triste ? Peut-être. Mais aussi lucide. Car Nagui, dans sa mélancolie, touche à quelque chose de profondément universel : cette peur du vide, après avoir tout donné. Et si, finalement, sa plus belle victoire était justement là — dans cette capacité à oser la fragilité, à avouer qu’il n’est qu’un homme ?