Lors d’un épisode inoubliable de « Tout le monde veut prendre sa place », Nagui reste sans voix face à un candidat qui raconte comment il a caché, par pur hasard, une immense star américaine de la musique chez lui. Une histoire incroyable qui a surpris tout le plateau. Cliquez sur le lien pour voir les détails.

L’émission « Tout le monde veut prendre sa place », animée par le charismatique Nagui depuis de nombreuses années, est connue pour ses moments de complicité, de culture générale… mais aussi pour les anecdotes parfois inattendues de ses candidats. Et ce jour-là, sur le plateau de France 2, un candidat a littéralement laissé Nagui sans voix en partageant une histoire digne d’un scénario hollywoodien.

Tout commence de manière tout à fait classique. Le candidat, un homme d’une cinquantaine d’années, se présente avec le sourire et répond aux questions habituelles de Nagui. Mais lorsque l’animateur lui demande s’il a déjà vécu une situation improbable ou un souvenir marquant, le ton change. Le candidat marque une pause, sourit, et lance : « J’ai déjà caché une superstar américaine de la musique chez moi… sans même le savoir au début. »

À ces mots, le public éclate de rire, pensant à une plaisanterie. Mais très vite, le silence s’installe alors que le candidat commence à raconter son histoire avec calme et précision. Cela remonte à une dizaine d’années, lors d’un festival de musique en France. À l’époque, il vivait dans une petite maison non loin d’un lieu de concert très fréquenté l’été. Ce soir-là, il rentrait chez lui quand une voiture banalisée s’est arrêtée près de sa maison. Un homme en est sorti, visiblement stressé, demandant s’il pouvait s’abriter quelques minutes avec « une amie » car un souci de sécurité venait d’arriver à leur hôtel.

Surpris mais bienveillant, le candidat accepte sans poser trop de questions. Quelques instants plus tard, il se retrouve dans son salon face à une femme discrète, portant des lunettes noires et un sweat à capuche. Il lui offre un verre d’eau, engage timidement la conversation, mais elle reste très réservée. Une demi-heure passe, puis une équipe de sécurité revient la chercher rapidement.

Ce n’est que le lendemain qu’il comprend ce qui s’est réellement passé. En allumant la télévision, il voit cette même femme… en train de chanter devant des milliers de spectateurs. Il n’en revient pas : il a hébergé chez lui, quelques heures, Beyoncé, l’une des plus grandes stars de la musique mondiale.

Nagui, d’abord bouche bée, réagit avec humour : « Vous êtes sérieux ? Vous avez hébergé Beyoncé dans votre salon comme si c’était votre cousine du dimanche ? » Le public éclate de rire, et le candidat confirme que tout s’est passé de manière simple et inattendue. « Je pense qu’ils cherchaient un endroit sûr, à l’écart. Ma maison étant juste à côté du site, c’était parfait. »

Cette anecdote provoque une vague de réactions sur les réseaux sociaux dès la diffusion de l’émission. Les internautes s’amusent à imaginer Beyoncé assise dans un canapé français, buvant de l’eau minérale en attendant que le calme revienne. D’autres saluent le sang-froid du candidat et son honnêteté. Ce moment devient rapidement viral, avec des extraits vidéos partagés des milliers de fois sur X, TikTok et Instagram.

Au-delà de l’aspect amusant et insolite, ce moment souligne aussi la spontanéité qui fait le succès de « Tout le monde veut prendre sa place ». Loin des formats figés, l’émission permet à des anonymes de briller, non seulement par leurs connaissances mais aussi par leurs histoires de vie parfois extraordinaires.

Nagui, fidèle à lui-même, en profite pour rappeler à quel point il aime ces moments d’authenticité : « C’est pour ça que je fais ce métier. Pour découvrir que des gens ordinaires ont parfois des histoires bien plus folles que celles qu’on voit dans les films. »

L’émission se termine sur une note joyeuse, avec un public ravi et un Nagui encore sous le choc de ce qu’il vient d’entendre. Le candidat, quant à lui, quitte le plateau avec un large sourire… et une anecdote qu’il n’est pas près d’oublier. Et nous non plus.