Les fans éplorés de Nicolas Mathieu : « En fait, pendant qu’il nous racontait ça, il était avec une princesse ! »

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Ils ont appris avec stupéfaction la relation entre le Prix Goncourt 2018 et Charlotte Casiraghi, fille de la princesse Caroline de Monaco.

« Et on me demande souvent d’un air gourmand “mais vous vous êtes embourgeoisé, n’est-ce pas ?” (…) Comme si c’était à moi de me sentir mal d’avoir appris sur le tard à aimer le buffet du petit déjeuner des grands hôtels, le cachemire ou les fauteuils design. Comme si je devais personnellement répondre des inégalités du capitalisme, de l’ascenseur social en panne – ou qu’on me frotte le nez dans la merde en ricanant “tu vois que t’aimes ça le luxe, salope de pauvre” », écrit Oscar, l’écrivain fils d’ouvrier au cœur de Cher connard (Grasset, 2022), le roman de Virginie Despentes.

Qu’aurait pensé ce double de Despentes des mille discussions après la « une » de Paris Match consacrée à l’idylle entre Charlotte Casiraghi, fille de Caroline de Monaco, et Nicolas Mathieu, auteur de Leurs enfants après eux (Actes Sud), récompensé en 2018 du prix Goncourt ? Ce n’est pas Monaco qui est sous le choc, mais la France, et en particulier les fans de l’écrivain transfuge de classe. « Même Bourdieu en resterait sans voix », résume l’auteur de polars Michel Embareck sur son compte Facebook, ajoutant, caustique comme toujours : « Ecrire, c’est mentir avec les honneurs dus à la littérature. »

Nicolas Mathieu, auteur discret mais célébré, a longtemps cultivé une image de romancier ancré dans la réalité la plus dure. Lauréat du prix Goncourt 2018 pour Leurs enfants après eux, il s’est imposé comme l’écrivain des désillusions, celui qui peint la jeunesse perdue des vallées industrielles, l’ennui d’une province abandonnée. Mais voilà que l’image vacille, que le récit change. Car derrière les mots sobres et les personnages désabusés se cacherait une vérité digne d’un conte moderne : Nicolas Mathieu aurait entretenu, en secret, une relation avec… une princesse.

La révélation a glacé et fasciné ses lecteurs. « En fait, pendant qu’il nous racontait ça, il était avec une princesse ! » s’exclament certains fans, incapables de croire à ce contraste si brutal entre la noirceur de ses récits et la féerie d’une liaison presque irréelle. Comment concilier le réalisme social qu’il revendique et cette idylle au parfum de légende ?

Tout commence par une confidence lâchée presque par inadvertance lors d’une rencontre littéraire. Mathieu, qui parlait des blessures de son enfance, de son rapport à la littérature, a laissé échapper une phrase énigmatique. Aussitôt, les spéculations sont parties dans tous les sens. Quelques jours plus tard, des proches confirmaient : oui, l’écrivain avait bien fréquenté une princesse, loin des regards et loin des caméras.

Mais de quelle princesse s’agit-il ? Ici commence le mystère. Aucune photo, aucun nom précis n’a encore filtré. Certains affirment qu’il s’agit d’une héritière d’une maison royale européenne. D’autres parlent d’une « princesse » de cœur, une femme surnommée ainsi dans son cercle intime. Flou entretenu, brouillard savamment cultivé. Et plus le silence se prolonge, plus les hypothèses deviennent envoûtantes.

Le contraste est saisissant. Comment un auteur qui décrit avec minutie les barres HLM, les friches industrielles et les existences sans avenir a-t-il pu vivre parallèlement une romance avec une figure aussi éloignée de son univers romanesque ? Était-ce un échappatoire, un refuge secret contre la mélancolie ? Ou bien une contradiction assumée, une manière de dire que la vie ne se limite pas aux frontières que ses livres dessinent ?

Pour les lecteurs, la révélation a l’effet d’une trahison. Certains se disent floués, comme si l’authenticité de ses récits en était soudain ternie. « Comment croire un écrivain qui parlait des humiliations sociales, alors qu’il partageait peut-être des repas dans des palais ? » s’interroge un lecteur sur un forum littéraire. D’autres au contraire y voient une richesse supplémentaire, un paradoxe fascinant qui nourrit encore davantage la légende de l’écrivain.

L’affaire prend une dimension presque politique. Car Mathieu est connu pour ses prises de position contre les inégalités, pour ses discours critiques à l’égard des élites. Alors, coucher ses mots sur la misère sociale tout en partageant la vie d’une princesse ? Contradiction ou cohérence cachée ? Les débats enflamment les réseaux sociaux.

La presse s’en mêle. Certains journaux fouillent, recoupent, interrogent. On parle d’un séjour discret sur la Côte d’Azur, de dîners dans des résidences privées, de voyages passés inaperçus. Les indices s’accumulent, mais rien ne permet encore de donner une identité certaine à la mystérieuse princesse. Ce flou, loin d’apaiser la curiosité, l’attise comme jamais.

Et si tout cela n’était qu’un malentendu ? Une exagération d’une confidence ? L’hypothèse circule aussi. Mais dans ce cas, pourquoi le silence de l’écrivain, pourquoi ce refus obstiné de clarifier ? Les proches de Mathieu, eux, se murent dans une prudence calculée. « C’est sa vie privée, nous ne dirons rien », tranche un ami de longue date.

Alors que la polémique enfle, les fans oscillent entre fascination et colère. Pour certains, cette romance est un conte de fées moderne qui donne à leur auteur préféré une aura presque romanesque. Pour d’autres, elle sonne comme une dissonance brutale, un mensonge par omission. Car dans l’imaginaire collectif, Nicolas Mathieu était celui qui incarnait l’authenticité brute. Et voilà que surgit une faille dans ce mythe.

Mais peut-être est-ce là la véritable leçon. L’homme, comme ses personnages, est fait de contradictions. Derrière la façade, toujours, se cachent des vies parallèles, des vérités que l’on tait. Et peut-être que c’est précisément parce qu’il vivait ce double visage que Nicolas Mathieu a su écrire avec autant de justesse les fissures de l’existence.

Quoi qu’il en soit, la révélation change la lecture de son œuvre. Chaque passage, chaque description prend une résonance nouvelle. Était-ce un clin d’œil, une métaphore cachée, quand il parlait de rêve inaccessible ? Était-ce elle, la princesse, qui se glissait dans l’ombre de ses romans ? Les critiques littéraires se régalent déjà de ces interprétations.

À l’heure actuelle, Nicolas Mathieu n’a pas démenti. Son silence, lourd et troublant, ne fait que nourrir la rumeur. Était-ce une histoire passagère ? Une passion durable ? Un mythe soigneusement entretenu ? La frontière entre vérité et fiction est plus floue que jamais.

Une chose est certaine : jamais un écrivain contemporain n’avait autant captivé par le mystère de sa vie privée. Et tandis que les lecteurs scrutent ses mots à la recherche d’indices, une certitude demeure : l’histoire de Nicolas Mathieu et de sa prétendue princesse restera comme l’un des épisodes les plus énigmatiques du paysage littéraire français.