Le mythe d’Alain Delon, l’éternel samouraï, est plus sombre que jamais. À 89 ans, la légende du cinéma français brise enfin son silence de glace pour révéler une liste secrète qui bouleverse l’histoire du 7e art. Il ne s’agit pas d’amis oubliés, mais des six hommes que l’acteur a publiquement « méprisés » tout au long de sa carrière, des géants qu’il a regardés d’un peu plus haut. De la rivalité cinglante avec Belmondo au dédain total pour Depardieu, chaque nom est une cicatrice. Delon dévoile sa forme de vengeance la plus tranchante : l’indifférence cultivée. Ce que Delon a fait à ces monstres sacrés dépasse la simple querelle. Découvrez les noms et les raisons profondes de ces haines glaciales qui ont façonné l’icône. L’article complet, avec les confessions intégrales, se trouve dans les commentaires.

À 89 ans, le monstre sacré du cinéma français, Alain Delon, semble avoir décidé de ne plus rien cacher. Dans une interview enregistrée depuis sa demeure de Douchy, l’acteur, affaibli mais toujours lucide, a choisi de se livrer comme jamais. Son ton est calme, presque froid, mais chaque mot résonne comme un coup de tonnerre. « À mon âge, je n’ai plus rien à perdre, ni rien à prouver », confie-t-il face caméra. Et dans un souffle, il lâche la bombe : les six noms d’artistes qu’il dit « ne plus pouvoir voir à l’écran ». Un aveu d’une rare franchise, teinté d’amertume et de nostalgie, qui secoue le monde du septième art.

Selon l’entourage du comédien, cette confession a été longuement mûrie. Depuis des années, Delon s’était muré dans le silence, préférant la solitude de sa propriété à la lumière des plateaux. Mais ce jour-là, comme traversé par un élan de sincérité brutale, il décide de parler. Il commence par évoquer son rapport à la gloire : « Le cinéma, c’est une famille. Mais comme dans toutes les familles, il y a ceux qu’on aime… et ceux qu’on ne supporte plus. » Le ton est donné. Sans détour, il cite des acteurs, des réalisateurs, des producteurs. Certains noms, déjà attendus, ne surprennent personne. D’autres, en revanche, font l’effet d’une déflagration.

Le premier qu’il cite serait un grand réalisateur français avec qui il a tourné dans les années 80. « Je lui dois beaucoup, mais je ne lui pardonnerai jamais son hypocrisie. » Selon des sources proches, il s’agirait de quelqu’un qu’il accuse d’avoir profité de son image pour bâtir sa propre carrière. Le deuxième nom, plus étonnant, concerne une actrice avec laquelle il a partagé l’écran dans un drame romantique célèbre. « Elle trichait tout le temps, dit-il. Elle jouait à aimer sans jamais rien ressentir. » Une phrase glaciale qui laisse planer le doute : parle-t-il d’un rôle, ou d’une blessure plus intime ?

Le troisième nom fait trembler la profession. Delon évoque un comédien plus jeune, qu’il aurait lui-même conseillé à ses débuts. « Il m’a tourné le dos dès qu’il a connu le succès », lâche-t-il d’une voix tremblante. Il parle de trahison, d’ingratitude, d’un monde où la loyauté ne vaut plus rien. À ce moment de l’interview, son regard se perd dans le vide. Il ne crie pas, il ne s’énerve pas : il constate. Et c’est peut-être cela qui bouleverse le plus. Derrière la colère froide, on sent une immense fatigue, celle d’un homme qui a trop donné, trop attendu, et qui ne reçoit plus que le silence en retour.

Les trois autres noms, qu’il révèle ensuite, appartiennent à un registre plus personnel. Deux producteurs, dit-il, « qui ont transformé le cinéma en usine à fric ». Et un critique, qu’il accuse d’avoir « détruit des carrières pour une ligne d’article ». « Ce type m’a craché dessus quand j’étais malade, raconte Delon, mais il ne savait pas que j’étais déjà debout quand il croyait me voir tomber. » Des mots durs, mais sincères, livrés sans haine. Le vieil acteur ne cherche plus à se défendre. Il raconte simplement son désenchantement, sa désillusion face à un milieu qu’il a contribué à façonner.

La réaction du public ne s’est pas fait attendre. Sur les réseaux, les internautes se déchirent. Certains saluent le courage d’un homme qui, enfin, dit tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. D’autres dénoncent une sortie amère, indigne d’une légende. Mais la plupart s’accordent à dire qu’Alain Delon n’a jamais cessé d’être vrai, dans ses silences comme dans ses colères. « Il ne cherche pas à plaire, il cherche à être honnête », écrit un fan sur X. Et cette honnêteté brute, parfois dérangeante, fait partie intégrante de son mythe.

Des proches de l’acteur, eux, parlent d’une confession nécessaire. « Il voulait régler ses comptes avant de partir », confie un ami de longue date. Delon sait que ses jours au cinéma sont derrière lui, mais il refuse qu’on écrive son histoire à sa place. En révélant ces six noms, il n’accuse pas seulement des individus : il dénonce une époque. Celle d’un cinéma devenu spectacle, d’une industrie où l’art s’efface derrière l’image, où l’humain n’a plus sa place. Dans ce cri du cœur tardif, il y a plus qu’une rancune : il y a une blessure d’artiste, celle de voir disparaître un monde qu’il a aimé.

Les journalistes présents lors de l’entretien décrivent une atmosphère étrange : à la fois électrique et triste. Par moments, Delon souriait, presque amusé par la réaction qu’allaient susciter ses mots. À d’autres, il s’interrompait longuement, le regard humide. « Vous savez, dit-il en baissant la voix, j’ai beaucoup détesté… mais j’ai aussi beaucoup aimé. Trop peut-être. » Cette phrase, prononcée presque en chuchotant, semble résumer toute sa vie. Derrière la légende, il y a un homme blessé, fatigué, mais encore lucide, qui regarde le monde avec une pointe de mélancolie.

Certains s’interrogent déjà : s’agit-il d’une mise en scène, d’une dernière provocation ? Ceux qui connaissent vraiment Alain Delon affirment le contraire. « C’est un homme de vérité, pas de stratégie », répond son entourage. À son âge, il n’a plus besoin de publicité. Ce qu’il cherche, c’est la paix. Peut-être que dire ces noms, c’était pour lui une façon de fermer un chapitre, de laisser derrière lui les rancunes qui l’ont hanté. Il ne cherche plus à choquer, il veut juste se libérer.

Aujourd’hui, les six noms circulent partout, analysés, commentés, discutés. Certains démentent, d’autres se taisent. Mais dans ce tumulte médiatique, une chose est sûre : Alain Delon, même à 89 ans, continue d’exister, de déranger, de fasciner. Sa parole reste une arme, son regard un miroir. Et cette confession, qu’on l’aime ou qu’on la déteste, s’inscrit comme un dernier acte de vérité dans une carrière faite d’ombres et de lumière.

Peut-être que, finalement, ce n’est pas une liste de haine qu’il a livrée, mais un testament d’honnêteté. Un message adressé à ceux qui viendront après lui : le cinéma, comme la vie, ne pardonne rien, mais il se souvient de tout.