Jean-Luc Reichmann abandonne les plateaux de jeu pour devenir… vétérinaire de fiction ! Un virage radical qui a déconcerté ses fans et semé le trouble dans les coulisses de TF1. Pourquoi ce choix ? Que cherche-t-il vraiment à prouver ? Derrière le sourire de l’animateur star se cache une volonté farouche de réinventer sa carrière et de s’imposer comme acteur crédible. Mais ce pari risqué va-t-il vraiment payer ? Animaux indisciplinés, tensions sur le tournage, confidences inattendues : on vous révèle tout sur Victor Sauvage, le projet le plus personnel de Reichmann… cliquez sur le lien pour découvrir la suite.

Jean-Luc Reichmann Animateur et comédien. Victor Sauvage, qui est diffusé ce soir à 20 h 45 sur TF1, c’est votre téléfilm puisque vous en êtes le coproducteur… Et j’ai participé &agrave…

Jean-Luc Reichmann : « Victor Sauvage, c’est un projet que je porte dans mon cœur »

Ce soir à 20h45 sur TF1, les téléspectateurs retrouveront Jean-Luc Reichmann dans un registre inhabituel : celui du vétérinaire au grand cœur dans le téléfilm Victor Sauvage. Un rôle qu’il ne se contente pas d’interpréter, puisqu’il en est aussi le coproducteur. Rencontre avec un homme passionné, investi et plus engagé que jamais dans sa carrière de comédien.

Jean-Luc Reichmann, vous êtes à la fois acteur principal et coproducteur de Victor Sauvage. Que représente ce téléfilm pour vous ?
C’est bien plus qu’un simple projet télé. Victor Sauvage, c’est une histoire qui me touche profondément. J’ai participé activement au développement du scénario, au choix du casting, et même à certains ajustements sur le tournage. C’est un personnage auquel je me suis immédiatement identifié. Il est humain, généreux, parfois maladroit mais toujours animé par une volonté de bien faire. C’est un peu moi dans la vie, en plus poilu ! (rires)

Pourquoi avoir choisi de parler du métier de vétérinaire dans cette fiction ?
Parce que ce sont des héros du quotidien qu’on ne montre pas assez à la télévision. On parle beaucoup des policiers, des médecins, mais rarement de ceux qui se battent pour le bien-être animal. Et puis cela m’a permis de tourner avec des animaux incroyables. Il y a eu des moments de pure magie… et d’autres, beaucoup plus chaotiques ! (rires)

Quelle a été la plus grande difficulté pendant le tournage ?
Tourner avec des animaux, évidemment ! Rien ne se passe comme prévu. Une autruche qui décide de s’asseoir pendant une scène cruciale, un cochon qui mange les accessoires, un cheval qui refuse de sortir de sa loge… On a beaucoup ri, mais on a aussi beaucoup improvisé. Et c’est ce qui donne à ce téléfilm son charme si particulier.

En tant que coproducteur, vous avez aussi dû penser à l’aspect financier, logistique…
Absolument. C’est un autre regard sur le métier, mais que j’adore. J’aime être impliqué à tous les niveaux. Cela me permet de mieux défendre mes idées et d’apporter ma touche personnelle. J’ai eu la chance d’être entouré d’une équipe formidable, passionnée et patiente. Sans eux, rien n’aurait été possible.

Le public vous connaît surtout comme animateur. Est-ce difficile de se faire accepter comme acteur à part entière ?
C’est un défi permanent. Mais j’aime ça. Mon métier d’animateur m’a permis de tisser un lien fort avec le public, et j’espère que ce lien m’accompagne aussi dans mes aventures de comédien. Ce sont deux facettes d’un même métier : raconter des histoires et transmettre des émotions.

Des projets à venir dans la fiction ?
Oui, mais chut… je ne peux pas encore tout dire ! (sourire) Disons simplement que Victor Sauvage pourrait bien ne pas être une aventure isolée…