Intervilles faisait son grand retour très attendu, mais l’accueil n’a pas été à la hauteur des espérances : critiques sévères, audiences en demi-teinte, et une avalanche de messages négatifs sur les réseaux sociaux. Face à ce déferlement, Nagui ne se démonte pas : dans une déclaration cash, il assume pleinement les choix faits, parle de « haine ordinaire » et affirme ne plus être touché, car il dit avoir « l’habitude des haters »… Ce retour raté cache-t-il des tensions internes ou une déconnexion avec le public d’aujourd’hui ? Cliquez sur le lien pour lire la suite.
Le retour d’Intervilles était annoncé comme un événement festif et nostalgique. Une émission culte ressuscitée pour séduire à nouveau le public français, sous la houlette de Nagui. Mais quelques jours après sa diffusion, le bilan est contrasté : audiences décevantes, critiques multiples, et une vague de réactions négatives sur les réseaux sociaux. Pour Nagui, cependant, cette réception glaciale ne semble pas l’ébranler. Avec sa franchise habituelle, il déclare : « J’ai l’habitude des haters. »
Ce retour d’Intervilles, sur lequel France Télévisions misait beaucoup, devait mêler modernité et esprit bon enfant. Les équipes ont travaillé pendant des mois à repenser les épreuves, recruter des candidats de tous horizons, et mettre en avant une présentation plus rythmée. Pourtant, dès les premières minutes de diffusion, les commentaires ont fusé : certains ont trouvé le montage confus, d’autres ont regretté le manque de folie ou l’absence de repères historiques comme les vachettes, emblèmes du programme originel.
Sur Twitter, les hashtags liés à l’émission ont rapidement été détournés. Des extraits ont circulé, accompagnés de moqueries ou de critiques cinglantes. « Intervilles version Nagui, c’est Interdéprime », écrit un internaute. Un autre ajoute : « Plus personne n’ose rire, tout est policé, et ça devient chiant. » D’autres dénoncent un “format aseptisé”, vidé de sa substance initiale.
Nagui, habitué aux projecteurs et aux polémiques, ne tarde pas à réagir. Dans une interview accordée à une radio partenaire, il livre son ressenti :
« Je savais que ce serait difficile. Il y a toujours un effet loupe avec les programmes cultes. Chacun a son Intervilles dans la tête, alors forcément, on déçoit. Mais j’assume tous les choix. Et franchement, je ne suis pas surpris par la violence des réactions. J’ai l’habitude. »
Cette phrase – « j’ai l’habitude des haters » – résume à elle seule le climat tendu dans lequel les personnalités publiques évoluent aujourd’hui. À 62 ans, Nagui n’est pas un novice. Mais même lui semble las de devoir se justifier en permanence.
Dans les coulisses, certains membres de la production confient leur déception. Non pas face aux critiques, mais face à leur virulence. « On peut ne pas aimer, c’est le jeu, mais ce qui est difficile, c’est la haine gratuite. » Une technicienne ajoute : « On a bossé comme des fous. Voir tout ça réduit à trois tweets moqueurs, c’est dur. »
Mais faut-il pour autant tout rejeter en bloc ? Plusieurs voix, plus mesurées, tentent de nuancer. Certains téléspectateurs saluent les efforts de modernisation, la diversité des candidats, la volonté de respecter certaines sensibilités modernes. « On ne pouvait pas refaire Intervilles comme dans les années 80, ce serait irresponsable », note un journaliste média.
C’est là tout le dilemme : comment réinventer un programme culte sans trahir son ADN, tout en répondant aux attentes d’un public de plus en plus fragmenté ?
Nagui, lui, dit ne rien regretter. Et rappelle qu’il n’est pas seul décisionnaire : « Il y a une chaîne, des producteurs, des contraintes. On a fait au mieux. »
Le présentateur rappelle également que ce n’est pas la première fois qu’un programme qu’il anime est accueilli froidement au début. « N’oubliez pas que Taratata a été supprimé puis relancé. Et aujourd’hui, c’est une émission culte. » Une manière de relativiser les débuts difficiles d’Intervilles.
Cependant, certains observateurs notent un certain décalage entre la posture de Nagui et la réception du public. « Il donne l’impression de ne pas vouloir entendre les critiques. Ce qui est dommage, car certaines sont constructives », estime un chroniqueur télé.
D’autres soulignent que Nagui est devenu, malgré lui, une figure clivante. Très engagé sur les questions sociales, écologiques, parfois moralisateur dans ses prises de position, il divise. Ce que certains trouvent courageux, d’autres le jugent donneur de leçons.
Il n’empêche : l’homme reste l’un des animateurs préférés des Français. Mais cette popularité est aujourd’hui bousculée par l’instantanéité des jugements en ligne. « Les haters ont toujours existé, mais aujourd’hui, ils s’expriment à très haute voix », résume un sociologue.
Que va devenir Intervilles ? Pour l’instant, aucune annulation n’est prévue. Les équipes espèrent un rebond. Peut-être qu’avec quelques ajustements, le programme trouvera son rythme. Ou peut-être faudra-t-il accepter que certaines légendes télévisuelles appartiennent au passé.
En attendant, Nagui continue. Droit dans ses bottes. Un brin amer, peut-être. Mais fidèle à lui-même.
« Je préfère faire ce que je crois juste que de chercher à plaire à tout le monde. »
Un pari risqué. Mais cohérent. Et peut-être, au fond, le seul possible dans le monde télé d’aujourd’hui.
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