Explosive comeback 💥! “J’avais envie que ce soit dansant” – Vanessa Paradis brise le silence et signe un retour inattendu 🌈 Entre pop, soul et confidences brûlantes, la chanteuse dévoile un album intime, né d’une renaissance 💫 Après des années d’ombre, de doutes et de secrets, elle revient plus libre que jamais 🎶 Mais que cache vraiment ce disque aux paroles troublantes ? 😳 Coïncidence ou message caché à Johnny Depp ? 💔 👉 Lire plus dans le 1er c🗯mmentaire 👇👇

Pour créer l’album “Le retour des beaux jours”, la chanteuse s’est entourée d’Etienne Daho, mais également de ses deux enfants, Lily-Rose et Jack.

Cela faisait sept ans qu’on attendait le retour de sa discographie. Vanessa Paradis sort vendredi 10 octobre son huitième album, “Le Retour des Beaux Jours“, coécrit, composé et réalisé avec Etienne Daho. Un disque solaire, joyeux, romantique, qui marque une collaboration réussie entre ces deux amis de longue date.

La première rencontre entre Vanessa Paradis et Etienne Daho remonte à 1988. “On est devenus amis assez instantanément et on a toujours eu envie de travailler ensemble, se souvient-elle. Mais voilà, c’est maintenant que ça s’est fait.” Deux ans après avoir collaboré sur son album à lui, c’est tout naturellement que la chanteuse l’a emmené sur son disque à elle.

La “fierté” de travailler avec ses enfants

Avec Etienne Daho et son complice Jean-Louis Piérot, le trio est complet. Chacun a écrit des titres, composé de la musique, varié les thèmes, que les titres parlent d’amour ou de Los Angeles. Et ce n’est pas pour rien que ce huitième album, enregistré notamment aux studios Motorbass, à Paris, et Abbey Road, à Londres, s’appelle “Le retour des beaux jours“. “J’avais envie que ce soit dansant et j’avais envie que ça soit joyeux“, confie Vanessa Paradis.

“L’idée, c’était d’emmener les chansons dans la direction attendue, c’est-à-dire très colorée, très festive, très soul et après d’interpréter ces chansons par les meilleurs musiciens possibles.”

Vanessa Paradis

à franceinfo

C’est aussi un album comme on forme une famille, avec des musiciens de renom, on croise notamment le trompettiste Erik Truffaz. Mais aussi les enfants de Vanessa Paradis, Jack et Lily-Rose Depp, dont elle a utilisé les textes et la musique. “C’est magnifique, s’extasie la chanteuse. J’ai adoré ça parce que ce n’était pas prévu et leurs chansons figurent sur les listes parce que ce sont de très bonnes chansons, pas parce que ce sont les chansons de mes enfants. Ça me remplie de joie et de fierté.

Au cœur de ce nouveau disque, une volonté simple : le plaisir de retrouver la musique, l’immédiateté d’une chanson. Avec cet album, l’artiste souhaite se détacher de “ce monde du fast-food de l’image“, où “tout est filmé, tout est très en image“. Un retour en musique qui se veut comme un sentiment d’apaisement.

Vanessa Paradis a déjà prévu une tournée en 2026. Elle sera notamment le 26 mars à Aix-en-Provence, le 28 à Chambéry, le 5 avril à Lille, le 7 mai à Nantes, les 21 et 22 mai au Zénith de Paris et le 17 novembre à l’Accor Arena.

“J’avais envie que ce soit dansant.”
C’est avec cette phrase simple, presque naïve, que Vanessa Paradis signe l’un des retours les plus attendus de l’année.
Après des années de silence, de discrétion, et de blessures invisibles, la chanteuse et actrice française revient sur le devant de la scène avec un album pop et soul, lumineux, libre, et… étrangement mystérieux.

Les fans l’attendaient depuis longtemps.
Six ans après Les Sources, Vanessa Paradis refait vibrer les cœurs et les platines. Mais cette fois, l’ambiance n’est plus à la mélancolie. Finis les murmures feutrés et les balades rêveuses. Place au rythme, à la danse, à la légèreté retrouvée.
“Je voulais que ça bouge, que ça respire, que ça donne envie de vivre,” confie-t-elle dans une interview accordée à Le Parisien.

Et pourtant, derrière les mélodies ensoleillées, quelque chose de plus profond se dessine.

L’album, intitulé “Soleil Minuit”, explore la dualité de la chanteuse : la lumière et l’ombre, la joie et la nostalgie, le sourire public et la solitude intime.
“C’est un disque sur la reconstruction, sur le fait d’avancer malgré tout,” explique-t-elle.

Car Vanessa Paradis revient de loin.
Ces dernières années, elle a vécu dans l’ombre d’un tumulte médiatique dont elle n’était pas la protagoniste, mais l’écho.
La saga judiciaire entre Johnny Depp et Amber Heard a ravivé malgré elle les souvenirs d’un amour passé, immense et douloureux.
Elle s’en est protégée, en silence, en se réfugiant dans la musique.

“Je ne voulais pas me justifier, ni me cacher. Je voulais juste créer,” dit-elle, le regard apaisé mais ferme.

Et cette création, c’est cet album vibrant, à la fois doux et affirmé, traversé de soul vintage et d’une pop lumineuse qui rappelle les années Motown.
“Je me suis inspirée de ce que j’écoutais ado, Aretha Franklin, Stevie Wonder… J’avais envie d’énergie, de joie. Parce que j’en avais manqué.”

Mais l’énergie n’efface pas la profondeur.
Dans plusieurs morceaux, certains fans croient entendre des clins d’œil à son passé sentimental.
Des phrases comme “Je danse pour oublier tes tempêtes” ou “Tes silences m’ont appris à chanter” font mouche.
Est-ce un message caché à Johnny Depp ?
Elle sourit, esquive :
“Ce n’est pas un album sur quelqu’un, c’est un album sur moi. Sur ce qu’il reste après tout.”

Le ton est doux, mais la signification, puissante.

Sur scène, elle rayonne.
Son nouveau single “Danser avant minuit” a déjà conquis les radios.
Le clip, tourné à Marseille, la montre libre, pieds nus sur le sable, cheveux au vent, riant face à la mer.
Une image simple, mais bouleversante.
“C’est comme si elle respirait de nouveau,” confie un proche.

Et cette liberté retrouvée n’est pas que musicale.
Depuis quelques mois, Vanessa vit entre Paris et Los Angeles, où elle passe du temps avec ses enfants, Lily-Rose Depp et Jack Depp.
“Mes enfants sont grands maintenant. Ils m’ont appris la force tranquille, la beauté du silence,” dit-elle.
Mais cette fois, elle ne veut plus se taire.

Le titre “Soleil Minuit” n’a pas été choisi au hasard.
“C’est un paradoxe. Comme moi. J’ai toujours eu besoin d’un peu d’ombre pour faire briller la lumière,” explique-t-elle.
Un paradoxe qui la définit, elle, la jeune fille de 14 ans devenue icône en chantant Joe le taxi, propulsée trop vite dans un monde d’adultes, de jugements et de fantasmes.